[Event Shivalah] Soirée contes!!!

Myrren : Les Carmines a écrit:Connaissez vous l'origine du nom de la contrée des Carmines?
Et bien, j'ai rencontré un vieux radoteur qui m'a conté une histoire intéressante et fort... romantique sur ceci!
L’histoire de l’étrange et étonnante bourgade de Comté-du-lac est associée, dans certaines vieilles mémoires, à l’une des plus tragiques aventures amoureuses qui, jadis, éclaboussa les gorges et les falaises de ce magnifique terroir des
Royaumes du nord.
Sirmonde, épouse du terrible seigneur du lieu, était tombée en amour d’un jeune troubadour à la taille bien prise, au sourire charmeur et aux couplets gracieux.
*parle d'un voix claire*
Délaissée par un mari aux mœurs rustres, qui partait pour la chasse plus que de nécessaire, la sémillante Sirmonde s’en consola dans les bras de ce Guillaume de Caritan,, page et poète courtois, qui vivait au donjon, et ne pensait qu’à être agréable à sa dame, à lui plaire et à la distraire.
Dévoré par la jalousie, le triste sire de châtelain, qui n’avait cessé de faire espionner sa conjointe à laquelle il ne témoignait pas plus de confiance que d’attention ayant appris son infortune, tua sauvagement et rageusement son rival, d’un imparable coup de dague. *mine le geste d'un geste sec*
Et non content du meurtre, il fit ignominieusement dépecer le cadavre par ses gens et l’apprêter par son meilleur cuisinier.
Il offrit à sa femme un magnifique banquet au menu duquel figurait un mets des plus succulents.
Quand Sirmonde, ignorant la sordide et sinistre machination s’en fut amplement régalée, l’horrible Raymond lui avoua, éclatant d’un rire sardonique,qu’elle venait de déguster voluptueusement le cœur de son champion et amant.
Apprenant l’insupportable vérité, la malheureuse, atterrée, erra comme une âme en peine, le long des remparts, en proie aux pires tourments,
et courut se précipiter du haut des créneaux proches, teintant à jamais de son sang la terre où elle atterrit.
C'est de là mes chers amis, que vient la sinistre couleur rouge des terres des Carmines *sourit et s'incline*

Wilbur a écrit:Bon, c'est l'histoire d'une petite bande de jeunes gens.
Deux humains, un nain et un gnome, tous valeureux et volontaires.
Dès leur jeune âge, ils se lièrent d'amitié et décidèrent de partir à l'aventure !
Ils n'y connaissaient pas grand-chose !
" Faut-il une épée, tu crois ? "
" Non, gros nigaud, il faut surtout de la magie ! "
" Ah bon, ça s'achète où ? "
Vous voyez le genre.
Le nain et le premier humain étaient guerriers.
Enfin... ils n'ont jamais fait la guerre non plus.
Disons qu'ils avaient une arme blanche.
Enfin, bref, ils avaient une fourche et un coup à beurre.
L'autre humain voulait tous les soigner et choisit d'avoir un lot de bandages.
Enfin, le gnome, bruyant et courant partout, se dit qu'il allumerait bien des feux.
Leur aventure commence à l'orée d'une forêt sans histoire.
Sans histoire mais, selon l'histoire, pleine d'animaux sauvages et terrifiants.
Wilbur dit : Tadam ! Vous avez vu ? Je me déplace ! Mon conte est bourré d'effets spéciaux de ce genre !
Bref.
Ils entrent dans la forêt.
Et ne tardent pas à se disputer sur le butin qu'ils n'ont pas encore.
" De l'or ! Des diamants ! "
Alors qu'au mieux, il y a du bois mort et des feuilles jaunies.
Après deux heures de marche, ils sont déjà épuisés et veulent rentrer.
Mais voilà enfin le monstre ! La Bête !
Ils n'ont jamais vu une telle chose !
On dirait un ... un ...
Un porcelet égaré.
Princesse, me direz-vous ?
Presque !
Ils partent vaillamment à l'assaut !
" Sus au monstre ! "
" Un coup de fourche manque la cible ! "
Le gnome met le feu à la forêt par inadvertance.
Le couteau se casse sur le cuir de la bête.
Bref, c'est la raclée ! Les mini-aventuriers ont tourné en rond pour arriver sur un porcelet qui les défie.
Savez-vous comment se termine cette histoire simple et grotesque ?
Eh bien ! Demandez à Kurdran, Turalyon, le Grand Bricoleur et Danath.

Crileloup a écrit: Sous la voûte étoilée de la forêt d'Elwynn...
Ysera nous surveille, elle survole les cimes.
Nozdormu n'est pas loin, le plus grand des Aspects
Attentif lui aussi à ces rimes et secrets.
Ils ne sont pas tous seuls, mais qui sont les deux autres ?
Alextrasza.
Malygos ! Le vol bleu et...
Neltharion !
alors maintenant que tous sont là, invoqués par vos soins... sachez qu'ils vous écoutent.
Et savez vous quel était le dernier mot du dernier qui les a surpris à l'écouter ?
C'est un mot que seuls les plus valeureux plein de plaques connaissent, un nom de code d'usage presque militaire
C'était... "J'ai l'aggro !"
C'était une grande guerrière.
Juste avant de dire ça elle avait eu une idée magnifique !
Pour éviter d'être surprise, et sachant que ces créatures terribles avaient la possibilité de la projeter en l'air...
.. elle avait eu ces mots extraordinaires :
"J'préfère m'faire prendre contre un mur que j'me fasse envoyer en l'air !"

Caelth dit CHAT: Le rosier a écrit:
*pose un regard au loin en soupirant* Sans mon violon l'histoire va etre dur .
Bien * joue quelques notes, avant de jouer un air lent et doux* C'est l'histoire d'une femme et d'un rosier.. un rosier blanc ou poussait de fine rose, toute plus belle l'une que l'autre.
La femme voulu prendre une rose, ne se souciant pas de savoir si la fleur etait d'accord < la musique se fait plus ardente, plus violente > Elle se piqua, retirant vivement sa main, elle ne remarqua pas dans l'immédiat que le rosier avait prit une autre couleur, une couleur plus vive légèrement rose. < la mélodie se calme quelque instant > La femme s'occupa chaque jour du rosier, mais son époux n'arrivait pas a comprendre l'affection que sa femme portait à l'arbuste, il decida pars un plaisir purement égoiste d'arracher chaque fleurs du rosier < pose sa main sur les cordes stoppant les vibrations > A votre avis, qu'est ce qu'il y a eu ?
*reprend la mélodie sur un ton brut et aigre* Non l'homme se piqua, nous savons tous que les hommes sont peu soigneux sous l'effet de la colere, le rosier prit une nouvelle couleur plus vive se rapprochant légèrement du rouge...
< joue un air lent et serrein > l'homme compris les sentiments de sa femme, il décida de battir une maison à coté du rosier, pour en prendre soin avec sa femme.
Les jours passent, ainsi que les années, ils eurent un enfant, un enfant des plus banal, il avait tout, tout non a son gout le rosier avait l'amour qu'il n'avait pas.
< la musique se fait inquiétante et sinistre > Une nuit.. il se glissa a l'exterieur, pour mettre fin au regne du rosier..
Le lendemain... quand les parents mirent le nez dehors.. Le rosier etait rouge, rouge sang < la musique s'arrette doucement >
La fin de l'histoire..? a vous de la choisir.. l'insolent est il mort ou dort il dans son lit..?

Démogorgone : Le mal de Darnassus a écrit:

Il est dit que les elfes de la nuit vivent paisiblement leur jeune age à l'abri d'un arbre gigantesque
mais .. parfois, il arrive qu'arrivés à un certain age, ils aient envie de quitter cet arbre.. ils partent alors à l'aventure .. découvrir le reste du monde, ses joies et ses dangers
.. la plupart restent néanmoins sur place sans trop comprendre ce besoin de partir .. mais chaque elfe est libre de sa destinée
Cependant ..
Plus rarement encore, il arrive qu'un de ces elfes qui étaient partis reviennent à Darnassus
On les voit alors errer sans but dans la ville pourtant magnifique .. semblant chercher quelque chose qui leur semblerait à jamais enfui ..
comme des réminiscences de leur passé .. leur innocence enfuie .. qui peut savoir ?
Les elfes qui vivent sur place disent que ces elfes qui reviennent parfois souffrent du mal de Darnassus

Le récit d'Hichem : Dragon et pêcheur

Il était une fois, dans un pays lointain...
Un vieux pêcheur qui paressait au bord de l'eau.
Il fût dérangé par un immense dragon qui l'observait pacifiquement...
Tirannoc lance à Valdir un bonjour enthousiaste !
Pêcheur ! Pourquoi passe tu tes journées à paresser !
Messire Dragon...je pêche deux heures par jour afin de ramener de quoi nourrir ma femme et mes enfants...
*Voix du dragon* Et le reste du temps ? Que faîtes vous, paresseux !
*vieillard* Et bien...je me repose...je joue de la guitare...et je vais boire avec mes amis et danser avec ma femme le soir...
*voix du Dragon* Ne savez vous donc pas à quel point le temps est précieux ?!
Je vais vous donner un conseil. Demain, vous pêcherez 8 heures au lieu de 2. De la sorte, vous pourrez acheter un bâteau plus grand et pêcher plus !
Aligatör dit au revoir à tout le monde. Adieu !
Vous vendrez vos poissons au marché, et avec tout cet argent...
Vous pourrez engager d'autres pêcheurs qui pêcheront pour vous et vous reverserons une partie de leur pêche !
Puis, vendant ces poissons, vous pourrez être à la tête d'une immense flottille de pêcheur !
Vous pourrez ainsi acheter un immense entrepôt pour stocker le poisson et le garder frais plusieurs jours durant !
Votre empire poissonnier fonctionnera à plein régime...
Et alors, vous pourrez prendre votre retraite, profitant des fruits de votre travail !
*reprend la voix du vieillard* Mais, Messire Dragon...
Si vous pouviez prendre votre retraite, à ma place, qu'est-ce que vous feriez ?
*Voix sépulcrale du grand Dragon* Et bien...c'est une question à laquelle je n'ai jamais réfléchi. Si je pouvais prendre ma retraite...
Je suppose que je pêcherai quelques heures par jours, pour me détendre...
J'apprendrai à jouer de la guitare...
Et je passerai mon temps libre avec mes amis...
*prend un air pensif*
Mon ami le vieillard...
Je pense que vous m'avez appris une grande leçon aujourd'hui...
Ca vous dirait un bout de mon trésor ?
La première leçon à retenir de cette histoire...
C'est que beaucoup de gens passent leur temps à courir derrière des choses qu'ils ont déja.
C'est que les dragons sont incorrigibles.

Aénor : La femme Oiseau a écrit:

Il y a très longtemps, vivait un tailleur de voiles solitaire. Sa maison se trouvait au dessus de la mer, sur le sommet d'une colline. C'est là qu'il tissait ses voiles en regardant les marais salants où s'ébattaient des grues.
. Il ne possédait pas grand chose d'autre qu'une marmite et une théière.
Vint l'automne, la saison des orages. Les feuilles tombaient sur le porche de la maison. Une nuit, alors que le vent hurlait, il entendit frapper à sa porte… et découvrit une grande grue, assommée et immobile.
Stupéfait, il réchauffa le bel oiseau auprès du feu. Pendant trois jours, il la soigna avec tendresse puis la laissa s'envoler
Le temps passa et une nuit, une tempête éclata en mer. A travers la pluie battante, il entendit frapper à sa porte. Une belle jeune femme le dévisagea de ses yeux noirs et brillants. Elle était trempée et grelottante.
Il la fit entrer, lui servit du thé et de quoi se restaurer. Ils parlèrent longtemps… Le temps passa. Dehors le gel couvrit les branches noires et elle était toujours là. Il n'osait rêver qu'elle reste.
. Tandis que les jours passaient, l'amour grandit entre eux et, sans un mot, elle devint sa femme.
Mais, le pauvre tailleur n'eut bientôt plus d'argent pour subvenir aux besoins de sa famille… Elle s'en rendit compte et lui proposa de tisser une voile magique.
" Une voile magique ? " " Oui. Mais tu ne dois jamais me regarder travailler. " Intrigué, il acquiesça et elle disparut derrière le paravent.
Les heures passaient, la nuit tombait.. à l'aube elle travaillait encore derrière le paravent .
Elle réapparut, fatiguée, avec la voile. Il écarquilla les yeux… la voile ne pesait presque rien… elle avait tissé du vent…
De cette voile, il en tira tellement d'or qu'ils purent vivre plus d'une demie année sans souci.
Le temps passa. Et arriva le printemps. La pluie tomba, les marais reverdirent. Et les grues furent de retour… et l'or manqua à nouveau.
Il demanda à son épouse de tisser une autre voile. Elle refusa, cela l'épuisait trop. Il insista… et elle l'aimait.. alors elle disparut à nouveau derrière le paravent.
A la fin du deuxième jour, elle réapparut, épuisée tenant une seconde voile, plus belle que la première, bruissant comme le vent.
Et ils eurent assez d'argent pour vivre simplement heureux quelques mois.
Le temps passa. Et revient l'automne et la saison des tempêtes. Les grues dans les marais grandissaient. Alors qu'il était au port, un riche marchand lui promit assez d'or pour la fin de sa vie s'il pouvait avoir une voile aussi belle pour son bateau.
Attiré par l'or, il se précipita chez lui, demander à sa femme de tisser encore une voile.
"Tu te rends compte ? De l'or pour toute une vie! nous n'aurons plus jamais faim!"
"Mais.. ces voiles me coûtent si chers... Elles me prennent le meilleur de moi même..." Il insista.. Et elle céda, lui demandant de ne toujours pas regarder son travail.
Un jour passa. Puis un second. Puis encore un.
Jamais elle n'avait travaillé aussi longtemps.
L'homme se demandait pourquoi elle serait la seule à savoir tisser de telles voiles magiques... Lui aussi était un bon tisseur.
Il pouvait juste entendre glisser la navette et basculer le métier à tisser
Incapable de se maîtriser plus, il contourna le paravent.... et...
Des yeux noirs et tristes le dévisageaient... et un long bec se balança devant lui... C'était la grue qu'il avait recueillie et soignée.
Elle tissait ses propres plumes. Blanches et mêlées de vent, elle formaient une voile tremblante.
"tu.."... mais pour seule réponse, la femme oiseau fit un bruit étouffé, comme le ronronnement d'un chat dans les roseaux. Et elle ouvrit ses ailes abîmées, se glissa par la fenêtre et s'envola.
Il ne la revit jamais... Il tissa de simples voiles jusqu'à la fin de ses jours, là, à sa fenêtre, en regardant les marais et les grues....
Et chaque automne, à la saison des orages, il attendit que quelqu'un frappe à sa porte....

Olympia a écrit:

C’est l’histoire d’un petit garçon qui avait mauvais caractère. Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu’à chaque fois qu’il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture.
Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture.
Les semaines qui suivirent, à mesure qu’il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture... Il découvrit qu’il était plus facile de contrôler son humeur que d’aller planter des clous.
Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur.
Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu’il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture. Son père le prit par la main et l’amena donc face à la dites clôture.
Il lui dit : "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous. Elle ne sera plus jamais la même.
À chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci.
Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours.
Une offense verbale est aussi néfaste qu’une offense physique...

Demogorgone : La petite boulangère a écrit:
Bien .. voici donc l'histoire de .. la petite boulangère
Il était une fois .. très loin d'ici dans une contrée bien plus au nord dans un petit village en bord de mer .. .. une petite boulangère y vivait, connue pour sa grande gentillesse et son amour des enfants
si douce et gentille que le jeune noble du coin en tomba amoureux après l'avoir rencontré un jour dans sa boutique
La petite boulangère était intimidée de voir d'approcher d'elle un noble .. et les compagnons de ce noble lui disait que c'était juste une fille du peuple, pas assez bien pour lui
Mais l'un et l'autre étaient jeunes .. attirés l'un envers l'autre et le noble demanda la petite boulangère en mariage, elle accepta
Ce fut donc un jour de fête dans le petit village dans lequel le mariage fut organisé
La future mariée fut amenée vers la place a bord d'un petit chariot entouré d'enfants .. tout le monde était très heureux pour elle qui était toujours douce et humble
Le Noble arriva vêtue de sa plus belle armure d'apparat, entouré de ses gens les plus fidèles, ému de la beauté et de la gentillesse de la petite boulangère
A ce moment un cri d'alerte fusa ! des bruits de flèches .. on attaquait le village !!
Les nobles et les gardes se tournèrent vers les attaquants .. de mystérieuses silhouettes en armure sombre comme la nuit, montés sur des montures aux yeux flamboyants
Ce fut l'affolement dans le village .. le combat s'engagea entre les chevaliers noirs et les gardes ..
les paysans courraient de partout
Les chevaliers noirs tiraient des flèches enflammées sur les toits des maisons
La petite boulangère vis alors une maison avec un enfant qui n'osait bougé, affolé pendant que les murs brûlaient
n'écoutant que son courage et son grand cœur, elle sauta de la charrette et couru jusqu'à la maison, y entra et avec grande difficulté réussie à faire sortir l'enfant par l'arrière dans une petite ruelle
Essoufflée mais heureuse d'avoir réussi, elle entendit un bruit derrière elle, se tourna .. et reconnue la mort face à elle
La mort avait les traits d'un homme en armure couleur nuit .. son regard était tourné vers l'enfant sans voir la femme
Il sorti une épée qui poussa un sinistre gémissement .. la petite boulangère prie un vieux balai et s'interposa, criant à l'enfant de fuir
L'enfant réussit à s'enfuir .. courroucé et sans vraiment faire attention, le chevalier noir se fendit d'une attaque, la noire lame perforant le cœur de la petite boulangère ..
.. le monde fut comme figé .. tandis que la jeune femme se sentait chuter vers le sol .. chuter doucement .. sans cesse ..
.. sa dernière pensée fut que l'enfant était sauvé .. et qu'elle n'aura pas eu le temps hélas de se marier ...
.. l'impression de chute durait toujours ...
.. un sursaut ! La petite boulangère se releva .. elle .. vivait ?
Elle était dans un endroit sombre .. elle voyait pourtant comme en plein jour .. sans couleurs .. elle trouva des escaliers, les monta
.. et sortie d'un mausolée .. une terre de désolation .. et .. des réprouvés tout autour d'elle qui marchait d'un regard presque éteint ou l'espoir s'était enfui à tout jamais
.. la petite boulangère n'oublia jamais ce qu'elle fut .. et .. toute sa nouvelle vie durant ..
.. elle n'eu de cesse de trouver sans espoir une solution pour revenir à la vie .. tachant de protéger des enfants qui maintenant la haïssaient .. cherchant dans son cœur meurtri des raisons de garder espoir ..
.. on peut parfois la croiser lors de soirs sans lune .. errant autour du village maintenant abandonné ..
et .. si un jour vous croisez sur une plage garnie de ruines une réprouvée .. épargnez la .. car ce fut une petite boulangère autrefois