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Un étrange volume à la couverture noire

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Un étrange volume à la couverture noire  Empty Un étrange volume à la couverture noire

Message  Baron Mordris Dim 11 Jan 2009, 13:27

*Un étrange volume à la couverture noire semble prendre la poussière à force d'être sous la table de la caserne. Son titre semble trés simple...*

LES ORIGINES DU MAL (ou VOTRE HISTOIRE)

*Sur la première page apparaît quelques petites notes de l'auteur*

-Certains pensent que je suis diabolique ou violent, ils se font une idée de moi simplement sur la base de mon titre. Pour moi, les titres que je crée sont le masque qui me cachent.
-Comment un petit garçon comme les autres est-il devenu l'un des criminels les plus fascinants qui soit ? Au travers du parcours atypique d'un adolescent meurtri par les atrocités vécues pendant une nuit, suivez la naissance de la folie.
-Taché par des traces de sang noircies au fil du temps, abîmé.. Ce recueil raconte l'histoire de mon cauchemare.

*Après deux autres pages blanches, le bouquin semble enfin commencer...*

Vous êtes brusquement réveillé par des hurlements. Il fait nuit mais de la lumière semble provenir de l'exterieur et vous observez tout autour de vous, comme si vous ne reconnaissiez plus votre maison. Vous vous levé enfin et essayez de vous diriger à l'aide de la lumière diffuse qui perçait quelque l'obscurité. Vous arrivez, après vous êtres cogner quatre ou cinq fois sur divers objets ou meubles qui traînaient sur votre chemin, à vous poster devant un miroir un peu cassé. Après vous êtres longuement regardés avec un certain dégoût, vous fûtes néanmoins troublez par le brouhaha et de la lumière qui venaient toujours de l'exterieur mais aussi surpris de la chaleur étouffante de votre maison. Vous finissez par lever la tête au ciel et vous vous apercevez que votre toit est en train de se concumer en rejetant dans la pièce, une fumée que vous supposez être noire. D'un coup, des flammes qui jusqu'ici n'étaient apparentes que de dehors, commencèrent à enflammer votre plafond. Vous quittez rapidement les lieux sans mal, puisque le feu éclairait, pour ne pas dire brûlait, tout la maison. Une fois sorti, vous observez horrifié, la scène qui se passe devant vos yeux : les hommes d'une armée détruisaient et mettaient le feu aux habitations et à certaines personnes de votre village; des femmes et des enfants couraient mais finissaient par mourir d'une épée ou d'un pieu qui leur traversait le corp ou tout bonnement la tête ; la plupart des hommes du village se battaient avec de vulgaires outils (marteaux, pelles, pioches...) mais ne faisaient pas le poids contre des centaines d'épées et de lances maniées par des combattants, des professionnels. Sans que vous n'ayez pu comprendre, un énorme morceau de bois vous frappe violemment la tête, vous projeta en l'air pour que vous retombiez dans un tonneau jusqu'alors vide, où vous demeurez maintenant assomé.
Au petit matin, vous vous réveillez replié sur vous-même, vos fesses bien calée au fond d'un tonneau ; votre corp est allongé sur vos jambes, mais en verticale. Vous essayez tant bien que mal de vous sortir de cette position, mais rien n'à faire, vous êtes trop épuisé pour vous dégager de ce piège. Vous réussissez tout de même à vous basculer sur le côté, mais sans pouvoir toutefois vous litez coincé un long moment où vous apercevez qu'un mal de crâne terrible semble s'acharner sur vous depuis que vous êtes sorti de votre sommeil. Vous regardez avec une certaine difficulté autour de vous, il ne reste plus grand chose qui puissent vous faire encore penser à votre village. Plusieurs odeurs épouvantables flottaient dans l'air: celui du charbon mouillé, des hommes avaient dû assayer d'éteindre le feu à l'aide d'eau, et celui évidemment de la mort ; d'ailleurs il s'y baladait des centaines de mouches. Vous apercevez au bout de la route, une silhouette apparemment humaine, se rapprochant rapidement de vous et vous finissez par vous émerveiller de cette apparition ; en effet, c'est votre petite soeur, qui se tenait devant vous accroupie, vous sourit avec sa magnifique petite bouille de huit ans. Elle portait son pyjamas et avait ses longs cheveux qui retombaient dessus, laissant apparaître une de ses mèches entièrement ficelé de fils colorés, au bout laquelle se trouvait une sorte de grosse bille d'environ quatre centimètre de diamètre. Avec l'aide de cette petite fille, vous fûtes libéré en quelques minutes et vous commencer par faire quelques pas déséquilibrés mais vous ne mettez pas longtemps à reprendre le coup de main, de plus votre affreux mal de tête vient de cesser. Vous poursuivez donc par faire un petit tour du village en ruine, histoire de voir s'il reste des surivants et savoir s'ils connaissent la raison de cette attaque nocturne. Plusieurs personnes étaient bien en vie mais elles pleuraient de ce qui s'était produit cette nuit, elles avaient perdu des amis, de la famille.. Soudain, ce dernier mot résonna dans votre tête, vous n'osiez pas demander à votre soeur, ce qu'il était arrivé à vos parents. Maintenant, qu'allez-vous faire ? Posez quand même des questions sur ce qui est arrivé la nuit dernère à votre soeur ? Ou, préférez-vous en poser aux quelques survivants ?

... à suivre...

(A vos claviers !!! J'en appelle à vous pour m'aider à écrire la suite de cette histoire. :p Je ne vous oblige pas à devenir de futurs écrivains, mais que vous me suggériez la suite, que vous me disez ce que vous aimeriez qu'il se passe, car c'est grâce à vous qu'avancera petit à petit "VOTRE HISTOIRE" :p Sinon j'ai déjà une petite suite d'Azar-Anath que je trouve pas mal Smile Je rappel que l'histoire raconte l'enfance de Mordris et pas de n'importe qui xD)

[PROPOSITION]

L'adorable fillette, vous fixait, avec un air non pas inhumain mais... Tellement dérangeant, qu'il vous paraissait en l'occurence monstrueux. Ce simple regard juvénil, ces insignifiantes pupilles vous dévorait de l'intérieur comme une flamme vengeresse. Soudain, votre bouche s'ouvre, vos cordes vocales tremblent pour former des mots, contre votre volonté. Ces paroles vous semblent provenir d'une voix étrangère, et pourtant, c'est bien la votre. Cela vous perce les tympans. "Pourquoi... Comment... Où sont-ils..?"
La fillette vous regarde avec une grimace. Vous vous sentez si coupable... Pour tout et rien, à vrai dire. Des larmes brûlent vos joues meurtries par le séjour en tonneau. Vous les regardez s'écraser au sol, rouler sur une pierre pour venir se noyer avec des éclaboussures de sang. Vous criez, de tous vos poumons, vous tremblez d'une colère sanguinaire, et vous acharnez sur la petite fille, vous cognez, cognez, encore et encore, puis tombez à genou devant le corps inerte de l'enfant, en larmes. Vous serrez la fillette, qui s'éffondre comme un chiffon contre votre torse. Vous la redéposez... Sans pouvoir contrôler ces larmes de douleur... Vous auriez vu du sang tomber sur le corps, à la place de larmes, vous n'auriez même pas été étonné. Vous tombez comme dans un rêve... Et un mot résonne dans votre tête : Stratholme. Il résonne, résonne, et vous êtes éffondré, perdu dans votre esprit torturé, devant le corps de la fille. Vous auriez tant aimé voir son visage souriant, comme autrefois.. Peu à peu, tout s'évanouit, vous vous croulez d'épuisement. ( A suivre ;D )
Baron Mordris
Baron Mordris


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