[Alliance - Humain] Seigneur Thomas "le Brave" Greyford

"Soyez braves. Soyez bons. Soyez terribles."

• Prénom: Thomas.
  
• Nom: Greyford.
  
• Surnom: le Brave.
  
• Classe ou Métier : Templier de l'Aube d'Argent, aventurier.
  
• Sexe : Masculin.
  
• Guilde ou Organisation : Cercle des Justes.
  
• Résidence: Sur la route.
  
• Lieu de naissance: Hameau d'Arenburg, Arathi, Royaume de Stromgarde.
  
• Age: 64 ans.
  
• Race: Humain.
  
• Famille: Abbé Thomas Greyford Senior (Père, tué lors d'un raid de bandits). Miranda Greyford (Mère, maléficiée par les trolls Fanécorces). Soeur Francesca l'Inflexible (Soeur jumelle, zombifiée lors du volt-face de Balnazzar). Migwel Greyford (Petit frère, porté disparu dans les Paluns).
  
• Amis: Seigneur Darnat Sombrecoeur. Président Thomas "Tom Blaireau" Rustwood. Vyrazh "l'Enchanteur" Landmaker. Magbeth "l'Artisane" Ironhead. Kregor de l'Aube d'Argent. Romhar de l'Aube d'Argent. Javer du Monolithe Scindé. Golgotha des Gardiens.
  
• Ennemis: Morts-vivants, démons et autres horreurs du vide. La dynastie Chemincour. La Croisade Ecarlate.
  
• Adore: Les alcools nains. Les léctures elfiques. Les gueuletons autour du feu de camp.
  
• Déteste: La dépravation. Le choux-rouge. Les grandes villes.
  

Farouche, le seigneur Thomas Greyford porte dans son visage toute l'amertume des vétérans du Nord, de ceux qui ont vu leurs villages brûlés par les orcs, puis rasés par les morts-vivants.

Une grimace sévère figée dans une gueule de guerrier, au naturel les traits du Brave sont tirés en une moue sévère et peu avenante. Troublé par une existence sacrifiée au nom de la Croisade Éternelle, les manières du sire n'ont rien à voir avec celles des aventuriers loufoques et fantasques. Maître de lui, Thomas ne se risque en rien aux grandes démonstrations sentimentales, réservé dans la gestuelle et sobre dans le parlé.
Cette allure mauvaise en est d'autant plus soulignée  par les magies qui coulent dans son regard. Tandis qu'il bat des cils, une aura mystique d'une couleur acier recouvre ses globes et son iris à la façon des races elfiques ou même des nains de feu. Ainsi, l'on pourrait penser Thomas possédé par quelques forces cosmiques, peut-être même par la Lumière à en juger par ses discours fiévreux et ses convictions radicales.

A l'image de son être, le corps de sire Thomas fut forgé dans les fourneaux de la guerre. Jadis abbé mollasson, son physique est aujourd'hui séché par l'âge et noué par les batailles. N'en déplaise aux vieux bourgeois envieux des belles citées, le templier fut préservé des plus grosses rafales du temps de par des rituels complexes liés à l'ascendance au travers de la Lumière. Si il n'a plus la même vigueur qu'à ses quarante ans, il n'en reste pas moins tout à fait capable de tenir tête aux chevaliers, aux paladins et peut-être même aux grunts enragés de Kalimdor.
Ci-et-là des balafres résorbées avec grand soin par quelques bienveillances de la très sainte Lumière. Le plus important à dénoter restera ses drôles de runes gravées à même la chair dans le bas de son dos et sur ses jambes, non sans rappeler les symboles mythiques sur les lames et les marteaux des paladins de tous les ordos d'Azeroth.

Pour avoir accompli les ultimes rituels hérétiques des templiers de l'Aube d'Argent, au grand jamais Thomas Greyford ne pourra espérer retour et rédemption auprès des ordos de l’Église de la Lumière ou même de la Main d'Argent. Héritier de cette tradition nouvelle datant des premières heurs de l'Aube, Thomas ne se voit plus comme serviteur mais comme incarnation de la Très Sainte, un pallié ultime où le dévot ne fait plus qu'un avec la révérée Lumière, véritable nœud de puissance dans la grande toile qu'Elle tisse entre les individus, la faune et les êtres.

Bretteur fantastique, l'étude des arcanes runiques a poussée Greyford a préférer le combat à l'épée longue plutôt qu'au marteau de guerre. Fulmen, son épée mythique, lui permet de déployer toutes ses magies et de faire étalage des puissants enchantements dont il est le propriétaire. Redoutable au corps à corps, Thomas peut en appeler à son équipement fantastique pour se donner de nouveaux pouvoirs contre les ennemis de l'Ordre, les morts-vivants et les démons. Somme-toute le templier peut compter sur sa dextérité dans un rapport de force conventionnel, n'égalant certes pas les plus fins bretteurs de ce monde.

Tout du moins il peut compter sur ses fantastiques pouvoirs de Templier. De par les rituels hérétiques, il a pu renier les enseignements conventionnels de la Lumière. Ainsi Thomas n'est guère plus capable de soigner ni même d'en appeler aux exorcismes les plus classiques. En revanche, l'Aube d'Argent lui a enseigné à transformer ses radiances en de puissants sorts semblables à des foudres de Lumière capables de bannir les engeances et même de blesser mortellement les vivants. A ses grands éclairs viennent s'ajouter tout un panel de sortilèges dérobés aux écoles magiques d'Azeroth puis réétudiées à la façon des templiers. Runes piégées par la Très Sainte, rejeton de Lumière, boule de feu saturée par la foi...

En plus de sa magie et de ses talents de guerrier, sire Greyford peut compter sur un savoir propre aux aventuriers, et ceux et celles qui ont baroudés dans tous les donjons et toutes les quêtes. Privé de ses bénédictions salvatrices, le paladin déchu a remplacé ses magies curatives par de l'alchimie bien plus conventionnelle. De plus l'aventurier solitaire se doit de posséder des compétences en enquête ainsi qu'en pistage. Finalement, le seigneur Thomas Greyford est un aventurier singulier mais parfaitement dans le carquant des autres quêteurs de ce monde.