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La Gazette de Hurlevent - Édition & Brève

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Message  Thêmys Mar 09 Sep 2014, 17:15

Thêmys faillit s'étrangler sur son cookie en découvrant la dernière édition de la Gazette, posée sur le coin de la table du petit déjeuner du 221. Abandonnant la moitié des victuailles qu'elle comptait engloutir, elle alla frapper à la porte de la chambre du rouquin.

"T'as intérêt à ouvrir Rislon sinon je me servirais de ta peau comme descente de lit !"

Seul le silence lui répondit.
Thêmys
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Message  Karven Stolen Mar 09 Sep 2014, 18:46

En ce début d'après-midi, la réaction de la Garde de Hurlevent fut quasi-instantanée : tous les revendeurs furent bientôt traqués par les factionnaires de la Cité ; afin de leur arracher des mains tous les journaux de cette nouvelle - et sans nul doute remarquée - édition. Il convenait d'empêcher la propagation de ces feuilles de chou farfelues. Certains, bien peu inspirés, pourraient être tentés de croire à ces nouvelles rocambolesques.
Si d'aventure on les questionne, les représentants des forces de l'ordre n'avaient qu'une réponse simple à offrir ; tout ceci n'est bien entendu qu'un tissu de mensonges grotesques !
En interne, une chose devenait plus qu'évidente et urgente aux yeux des gardes de la cité : mettre la main sur Rislon Milloin.
Et tel ordre fut donné en ce début d'après midi par le Capitaine Karven Stolen.
Karven Stolen
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Message  Rislon Milloin Ven 12 Sep 2014, 21:00

" Oyez Oyez demandez la Gazette de Hurlevent ! Ne lisez plus l'ancienne édition, demandez la nouvelle ! Encore plus surprenante ! Un démenti de première importance ! "


Editorial de la Gazette de Hurlevent

Mesdames, Messieurs, nobles, militaires, bourgeois, gens du commun,

Si vous lisez ces lignes, c'est que l'imprimerie de la Gazette de Hurlevent fut victime d'un odieux piratage et d'un détournement immoral de ses presses qui ont amené à l'édition du neuvième jour du septième mois de l'an 34. Notre d'ordinaire respectable journal fut souillé par le tissu d'inepties et de mensonges contenu dans ces pages.
Que tous aient conscience qu'il s'agit là d'un acte de sabotage honteux de la Gazette ; ayant pour but d'apporter le discrédit sur notre Roi, Sa Majesté Varian Wrynn 1er du nom, mais également sur ses agents de la Garde de Hurlevent et autres citoyens et notables de la ville, afin de semer le trouble et la zizanie au sein des murs de la cité.
Ne prêtez aucune attention et aucune valeur à cette fausse édition car elle ne fut rédigée que dans un seul but : vous abuser.
L'équipe éditoriale de La Gazette vous prie de bien vouloir lui pardonner cette tache qui aura hélas sali sa réputation jusqu'à lors irréprochable de journal sérieux, au service de la vérité et de Hurlevent.
Il nous faudra du temps pour que notre gazette soit lavée de cette souillure. Du temps également afin de regagner votre confiance, à vous lecteurs. Nous demandons pardon à tous nos lecteurs et plus particulièrement à tout ceux et celles qui ont été visés par cette édition, en premier lieu Sa Majesté le Roi Varian.

Son rédacteur en chef vous prie d'accepter ses excuses et fait, par la présente déclaration publique, amende honorable suite à cette tâche infâme qu'il n'a ni commis, ni choisie, ni décidée. Ledit rédacteur en chef fut victime de la folie blasphémateur de ceux qui, possédés par les démons et mus par le désamour du Royaume et son autorité suprême, ne voient pas notre monarque comme le Roi honorable qu'il est réellement. Les véritables articles qui devaient être publiés fin de semaine prochaine ont été détruits.

Pour conclure ce billet qui, espérons le, saura rétablir la vérité : L'Edition du neuvième jour du septième mois de l'an 34 est une fausse édition, imprimée bien malgré nous par nos presses depuis mises sous scellés, et nous démentons l'intégralité de ce que vous avez pu y lire.
La Gazette de Hurlevent et son équipe vouent et voueront toujours un profond respect aux Institutions du Royaume, aux lois et aux dignes représentants de ce dernier ; à commencer par l'homme qui siège sur le trône de ce Royaume.
Si d'aventure l'autorisation de publier nous est un jour de nouveau accordée, l'équipe de la Gazette s'évertuera toujours à informer ses lecteurs avec justesse, probité et respect.

Rislon Milloin
Rislon Milloin

Personnages Joués : Ai-je vraiment l'air d'un coupable? (voir image)

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Message  Danny Onay Mer 15 Oct 2014, 00:39

*Alors que la soirée semblait relativement calme, la Gazette fut mise en marche en vitesse pour une édition brève urgente*

La Gazette de Hurlevent - Édition & Brève - Page 2 Urgent11


Dernière édition par Danny Onay le Mer 15 Oct 2014, 01:00, édité 1 fois
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Message  Rislon Milloin Dim 06 Sep 2015, 16:10

" Le retour de la Gazette de Hurlevent ! Vous l'avez attendu ! Vous l'avez espéré ! La voici ! Trouvez le murloc et gagnez votre poids en alcool de Murloc ! La Gazette n'est pas responsable d'une éventuelle attraction de Murloc sur votre personne ! La seule gazette de Hurlevent, et la plus vieille de son histoire encore en activité ! "


La Gazette de Hurlevent

 
Création d'un nouvel ordre militaire: Vengeurs des Sept Terres

Fanélia Cathules, reconnue dans le milieu militaire pour avoir été la Sénéchale d'Austrivage et la chef du Serment de Theramore, reforme un ordre militaire: Les Vengeurs des Sept Terres où elle ne tient à recruter (où elle n'y recrutera ?) que les meilleurs combattants qui soit et ce, dans un seul but: La lutte contre nos ennemis d'hier et d'aujourd'hui. Cependant, revenons sur la carrière militaire de celle que l'on a longtemps appelé et que l'on surnomme encore: La Sénéchale.

En l'an 28, Fanélia Cathules devient Sénéchale de la Rédemption de Lordaeron rejoignant ainsi Idrid à la tête de l'ordre basé à Austrivage et défendant Hautebrande de la Horde et des réprouvés. Ils leur tiendront ainsi tête, participant aussi à la prise d'Atreval et à la chute de la Purification -Ordre écarlate- en Janvier 30. Ses hommes ne purent cependant résister à la peste réprouvé qui détruisit Austrivage en Novembre 30, provoquant de très nombreuses victimes civiles ainsi que de l'ordre.
Ils décidèrent alors de continuer la lutte et de défendre l'Alliance sur un nouveau front: Les Tarides qui après le passage d'Aile de mort sont devenus un territoire défiguré et contesté. Ils se nommèrent le Serment de Theramore et se basèrent à Theramore où ils luttèrent contre les corsaires de la Horde, l'académie Maestria -ennemi éternel de Theramore- ou encore le Clan Noirsang. Ce fut en Septembre 32 que l'infamie militaire de Garrosh eut raison de la résistance du Serment avec la destruction de Theramore par une bombe à mana qui fit de très nombreuses victimes.
Restant ensuite plusieurs mois aux Tarides, les troupes d'Idrid et Fanélia reçurent la visite d'un cousin d'Idrid les avertissant que les terres familiales de la Famille Telennir en Alterac -déjà affaiblis par les raids du Syndicat- étaient menacées de tomber aux mains des réprouvés. Elle fonda ainsi avec Idrid les Rédempteurs en Alterac avec comme mission de rétablir la sécurité dans les terres de la famille et de repousser leurs ennemis. Cette lutte dura deux ans mais ils parvinrent à rétablir la sécurité et la paix sur ce territoire en construisant des défenses solides. Maintenant qu'elle a finalisé sa mission, elle relance un ordre pour un but plus large: La lutte contre nos ennemis d'hier et d'aujourd'hui.

Si vous êtes intéressés, contactez Fanélia Cathules ou Esan sur Hurlevent où ils résideront dans l'attente de partir sur le front.
R.M alias le Carnet

 
La Clef est morte ! Vive le Roi !

Habitants de Hurlevent et du Royaume, la nouvelle est tombée. Une Grande Nouvelle ! La Clef, la criminelle défias qui terrorisait encore Hurlevent récemment n'est plus, elle fut pendue avec son comparese Sif le 4 Septembre de l'an 35 à 00h22 après un procès qui aura en tout et pour tout duré deux heures et demi en présence de la population de Hurlevent, venue en masse pour assister à son procès. Leur corps git désormais sur nos remparts en symbole de justice auprès des victimes et de leurs familles et d'avertissement à tous ceux qui voudraient défier la Justice de Hurlevent. Son procès fut présidé par la Chancelière Gwaenadynn Farral et le procureur du roi fut Samuel Fizpatrick. La clef avait alors choisi de se défendre seule. Cependant, même après ce procès qui n'a donné aucun élément de l'affaire que Hurlevent ignorait, beaucoup de questions restent sans réponses.
Les accusés ont été reconnus coupable de tous les faits leur étant reprochés.
Pour Sif:
- Art. CR-27.1 Appartenance à divers ordres bafouant le Roy et son Royaume
- Art. CR-29.2 Meurtre d'un agent de la Couronne
- Art. CR-30.1 Complicité
- Art. CR-32 Rébellion
- Art. CR-33  Meurtre en série
- Art. DE-24 Tentative d'évasion & Évasion pour Sif uniquement
Pour la Clef:
- tous les faits reprochés à Sif sauf Art. DE-24
- Art. DE-17 Dégradation de biens
- Art. DE-21 Tentative d’agression & Agression
- Art. DE-22 Blessures volontaires
- Art. DE-23 Blasphème allant à l'encontre du Roy et de son royaume

La Clef s'était fait remarquer par l'attaque d'un navire qui faisait la liaison Pandarie-Hurlevent avec à bord les blessés des campagnes de l'alliance. Il n'y eut qu'une survivante: Juliette D'Arcelot et Sif, comparse de la clef, fit livrer à la garde la tête de trois femmes qui étaient à bord du navire: A. Greffan, L. Cartines et B. Obloom. Par la suite, elle a tué le père de Juliette D'Arcelot: Balnir D'Arcelot dans son manoir à Hurlevent et 30 Août de l'an 34, elle tua Lohen Slanzar et sa fille: Escarina Stolen alors officier de la Garde de Hurlevent dans le service enquête. Elle tua encore avec le meurtre de Falnel Cathules sur la place Faol le 14 Octobre de l'an 34. Son dernier haut-fait avait été l'incendie de l'Hôpital Montgomery en Mars 35, alors tenu par Ethan Rosco.

On pourra cependant remarquer que la Chancellerie Royale a oublié plusieurs crimes et délits de la Clef dont l'Art. DE-23.1 Publication de journaux ou autres médias allant à l'encontre de la politique du Roy. En effet, nous vous rappelons que l'année dernière, près d'un an jour pour jour, la Clef a investi les locaux de la Gazette et a fait paraître plusieurs articles contre la Garde et le Roi, ce qui a valu à la Gazette la perte de ses presses, ainsi qu'une interdiction temporaire de paraître. L'équipe de la Gazette de Hurlevent a même failli être déclarée complice de la Clef et être emprisonné comme des criminels. La Gazette de Hurlevent, qui était au procès de la Clef, a de suite remarqué que lorsque le Procureur Samuel Fizpatrick a déroulé la chronologie des événements et des crimes de la clef, qu'il a omis de parler du détournement de la Gazette. Chose étrange puisque la Chancellerie avait demandé l'internement de tous les membres de la Gazette de Hurlevent sous le motif de  l'Art. DE-23.1 : Publication de journaux ou autres médias allant à l'encontre de la politique du Roy et l'Art. CR-30.1 Complicité, bien que les faits aient démontré que la Gazette n'avait qu'été la victime d'un piratage qui a tâché son nom pendant de longs mois.

R.M alias le Carnet

 
Annonce d'une conférence d'Amelie Bayle 

Venez nombreux ce jeudi 10 Septembre de l'an 35 après 20 heures au donjon de Hurlevent -La Bibliothèque Royale- pour la conférence donnée par Amélie Bayle sur un sujet d'avenir: "Ingénierie mécanique et ingénierie arcanique. Les deux facettes du monde de demain."
R.M alias le Carnet

 
Alerte ! Quarantaine de Teldrassil !

Le Conseil Kaldorei, dirigé par Amonrah Aubelune, de Darnassus a informé ce vendredi la Gazette ainsi que l'Alliance qu'une étrange maladie sévit à Teldrassil. On compterait déjà plusieurs dizaines de malades et ce nombre ne cesse d'augmenter au point d'inquiéter les autorités. La vitesse à laquelle elle prolifère a forcé les autorités à réagir rapidement. L'origine de la maladie étant encore inconnue à ce jour et pour éviter qu'elle ne se propage hors de l'île, le Conseil Kaldorei a mis Teldrassil en quarantaine et interdit à tout navire d'accoster sur l'île pour une durée indéterminée. Quelques navettes continuent de circuler jusqu'à Lor'danel. Pour pénétrer ou sortir de la zone de quarantaine, il faudra obtenir une autorisation écrite du Conseil Kaldorei, la maladie se déclarant assez rapidement chez les malades. Les symptômes sont les suivants:
- Fièvres
- Douleurs à l'abdomen
- Des vomissements surviennent après l'apparition des deux premiers symptômes.
- Coma pour certains malades.

Si vous avez fait un voyage en Teldrassil récemment et que vous présentez au moins trois des quatre symptômes, veuillez vous présenter à l'hospital le plus proche au plus vite afin que votre cas soit rapidement pris en charge et signalé. Nous vous déconseillons donc de vous rendre en Teldrassil le temps que les médecins soient parvenus à trouver l'origine de cette maladie.
R.M alias le Carnet

 
Invasion de Rats sur Hurlevent et dératisation

La Gazette de Hurlevent vous invite à très rapidement investir dans de la "mort aux rats" ainsi que des pièges à rats en grande quantité ou en des chats. En effet, depuis une semaine, Hurlevent voit la prolifération massive de rats dans nos rues. Ces derniers, porteurs de maladies, sont en grand nombre et bien que des mesures aient été rapidement prises afin de limiter leur propagation et leur nombre, une partie continue d'échapper aux mailles du filet.

Cependant, ces rats ne ratent rien pour attendre car un gnome, suivi par une dizaine de personnes, s'est promis de dératiser la ville. Il s'agit en fait d'Allifeur, gérant d'une taverne près des ruines du parc, où une partie des rats survivants avaient élu domicile. Armé de ses talents d'ingénieur, et ne se fie pas aux félins organiques, il décida de se construire ses propres chasseurs afin d'être aidé dans sa quête de dératisation ayant pris un tournant plus que favorable le samedi 5 Septembre de l'an 35. Nous vous engageons quand même à la prudence ainsi qu'à la vigilance afin d'éviter tout risque de maladie ou de blessure.
R.M alias le Carnet

 
Les faits-divers d'Hurlevent et d'au-delà 

Mariage: Mariage d'Aldorey Kelbourg et de sa Grâce Ellesmere. Tous nos vœux de bonheur et de fidélité au jeune couple.

Ré-ouverture: Après deux mis de vacances, la Planque -taverne sous le tram- a rouvert ses portes le 23 Août de l'an 35. Nous rappelons leur jour et horaire d'ouverture: Le mardi, jeudi et dimanche entre 21h et minuit.

Destruction: Explosion de l'auberge du mauvais souvenir dans le quartier des nains le 28 Août de l'an 35. Aucun blessé n'a été déploré. Les coupables sont encore en fuite et la Garde dit n'écarter aucune piste quant à la raison d'une telle chose.

Destruction: Le 2 Septembre de l'an 35, durant un spectacle pyrotechnique d'Allifeur, le cabaret de la place blanche au quartier des mages est victime d'une succession d'explosion qui endommagea sévèrement l'édifice et qui fera une victime: une serveuse du cabaret, et de nombreux blessés dont Slei, patronne du cabaret, très grièvement blessée. La Garde enquête sur l'affaire et dit n'exclure aucune piste.

Meurtre en série: Un tueur en série sévit en Elwynn et Carmines depuis la dernière semaine d'Août de l'an 35.

Vente de vin exotique: Gendry, vendeur de vin exotique, est arrivé depuis deux mois sur Hurlevent et vend des vins de qualité venant des quatre coins du monde. Car avant d'être sur Hurlevent, il était sur les routes: baie-du-butin, sombre-comté, comté-du-lac, sombre-comté, la marche de l'ouest, Hurlevent...

Exorcisme:  Exorcisme à la cathédrale le 2 septembre de l'an 35, dont la victime fut très rapidement maîtrisée par Reiner Bosewicht et deux pandarens, qui le remirent aux prêtres et paladins de la cathédrale qui finalement, au cours d'une longue séance, sont parvenus à libérer le malheureux de l'entité démoniaque qui l'habitait.
R.M alias le Carnet

 
Histoires d'un soir et de l'éternité

La chope sucrée et la Gazette de Hurlevent est fière d'annoncer leur toute nouvelle collaboration concernant la veillée des contes! En effet, après la disparition du clan d'airain qui entretenait cette tradition à la bibliothèque de Forgefer en l'an 32, la chope sucrée a décidé de reprendre le flambeau de la veillée en l'an 33. Vous devez déjà sans nul doute connaître la taverne de la chope sucrée séjournant aux quartiers des mages, va prochainement fêter ses deux ans d'existence. Nous ne pouvons que les remercier de maintenir un événement ancien encore en activité. Désormais, après chaque veillée des contes, une à deux histoires seront pris au hasard parmi les histoires, poèmes ou chansons de la soirée afin d'être publiée dans la Gazette.
Selon les réactions de nos lecteurs, en plus de voir leur histoire publiée, les auteurs pourront gagner divers prix ou cadeaux. Et vous, lecteurs et lectrices, avez votre mot à dire: qui avez-vous préféré ? Avez-vous apprécié ? Vous avez une semaine pour répondre à la Gazette. Et sur ce, bonne lecture.
La Légende du Lac de Binan.

Il y a des siècles et des siècles, dans la grotte sur la rive Est du fleuve de Tigre, qui Monts de Kun-Lai, habitait un Serpent-dragon blanc comme la neige et dans la forêt de la rive opposée habitait un Phénix coloré.
Serpent-dragon et Phénix étaient voisins. Le matin, l'un sortait de la grotte et l'autre s'envolait de la forêt en se saluant, puis ils se séparaient pour aller à leurs occupations. Un jour, ils s'amusèrent ensemble : l'un nageait dans le fleuve du Tigre, l'autre s'envolait dans le ciel.
Tout en nageant et volant, ils arrivèrent sans s'en apercevoir à l'Île Féérique, endroit qui existait avant la construction du Temple du Tigre Blanc, là ils aperçurent une pierre étincelante. Phénix, très content, dit à Serpent-dragon :
- Serpent-dragon ! Serpent-dragon ! Tu vois cette belle pierre !
Serpent-dragon, plein de joie lui aussi dit à Phénix :
- Phénix ! Phénix ! Nous allons la tailler et la polir en une perle, d'accord ?
Phénix fit un signe d'assentiment et ils se mirent immédiatement au travail. Serpent-dragon ameublissait la pierre avec ses pattes et Phénix la picotait avec son bec, des jours s'écoulèrent, des années passèrent, finalement il faut dire qu'ils avaient réussi à façonner une perle ronde.
Phénix s'envolait dans les Monts de Kun-Lai, il recueillait dans son bec de la neige des pics, la faisant ainsi fondre pour la verser goutte à goutte sur la perle, Serpent-dragon nageait dans le fleuve du Tigre, il y aspirait de l'eau pure qu'il pulvérisait sur la perle, sous les gouttes et la pulvérisation incessantes, la perle petit à petit commença à émettre des rayons.
Dès lors, Serpent-dragon se prit d'affection pour Phénix et celui-ci adorait Serpent-dragon ; leur perle faisait leur bonheur. Serpent-dragon ne voulait plus rentrer dans sa grotte, ni Phénix revenir dans sa forêt ; ils vivaient donc ensemble dans l'Île Féerique située au milieu du fleuve du Tigre pour veiller jour et nuit sur la perle. C'était vraiment une perle sans prix. Là où parvenaient ses rayons, s'élevaient des bois verdoyants, s'épanouissaient des myriades de fleurs de toute beauté. On voyait des pays aux montagnes ensoleillées et aux eaux limpides qui se couvraient de riches récoltes.
Un jour, la Reine Mère des Yaungols sortit de son palais, et aperçus tout à coup la perle dardant ses rayons ; aussitôt son cœur avide brûla du désir de la posséder. A minuit, elle envoya un soldat Yaungol pour la voler alors que Serpent-dragon et Phénix s'étaient endormis. Elle était si contente de sa prise, qu'elle ne voulut pas que d'autres puissent y jeter un coup d'œil. Elle se hâta de rentrer dans son palais et fit verrouiller neuf portes derrière elle.
Dès qu'ils se réveillèrent, Serpent-dragon et Phénix s'aperçurent que leur perle avait disparu. Fous d'inquiétude, ils la cherchaient partout. Serpent-dragon fouilla toutes les grottes du lit du fleuve du Tigre, il ne trouva rien. Phénix explora chaque coin de l'Île Féerique sans plus de résultat.
Très tristes, ils continuèrent quand même leurs recherches jour et nuit. Ils n'avaient qu'un espoir ; retrouver cette perle à l'laquelle ils étaient tant attachés. A l'occasion de l'anniversaire de la Reine Mère des Yaungols, les Yaungols s'empressèrent d'arriver de toutes parts au Palais pour assister au Banquet de Yacks qui avaient lieu en l'honneur de la douanière.Celle-ci avait fait apporter des yacks sauvages en abondance pour les Yaungols qui buvaient du bon vin et prenaient la viande tout en adressant leurs souhaits d'anniversaire : « A Vous le bonheur de la Mer Brumeuse, la longévité des Monts de Kun-Lai!" Très satisfaite de ces félicitations des assistants, la douairière se prit à dire :
- Mes vénérables, je vais vous montrer une perle sans prix comme on n'en trouve ni au Ciel, ni sur terre !

À ces mots, elle détacha de sa ceinture neuf clés qui ouvrirent neuf verrous, passa neuf portes, puis sortit sa perle qu'elle présenta dans une assiette d'or et plaça au milieu de la salle. À ce moment même, Serpent-Dragon et Phénix continuaient partout leurs recherches. Phénix remarqua tout à coup le rayonnement de leur perle et dit aussitôt à Serpent-Dragon :
- Serpent-dragon, Serpent-dragon, dépêche-toi, dépêche-toi, vois, ce sont bien les rayons de notre perle ! Serpent-dragon sortit sa tête du fleuve du Tigre, regarda un moment et dit :
- Oui, c'est certaienement notre perle, allons vite la reprendre !
Et Serpent-dragon et Phénix de s'élancer aussitôt, guidés par les rayons. Arrivés au Palais Yaungol, ils trouvèrent les Yaungols tendant le cou vers la perle, en train de clamer leur enthousiasme. Serpent-dragon s'écria en approchant : Cette perle est à nous !
Phénix, à son tour, affirma : Oui, elle est à nous, cette perle !
La douairière fut très fâchée de leur intervention ; elle s'approcha d'eux en vociférant : Qu'osez-vous dire ? Moi, je suis la Reine Mère des Yaungols, tous les trésors des Monts de Kun-Lai m'appartiennent !

En entendant ces paroles, Serpent-dragon et Phénix, très fâchés eux aussi, dirent d'une même voix : - Cette perle n'est née ni du Ciel ni de la Terre, mais c'est bien de nous qui l'avons taillée et polie jour après jour, d'année en année, au prix d'un dur travail.
A ces paroles, la douairière se sentit envahie à la fois par la haine et la honte ; elle prit l'assiette d'or et ordonna à ses soldats et généraux Yaungols de chasser tout de suite les intrus. Phénix, voyant que la Reine Mère n'entendait pas raison, s'élança pour se saissir de la perle ; Serpent-dragon en fit autant. Trois paires de mains et de pattes s'agrippaient à l'assiette, personne ne voulant lâcher. Secouée par ces trois forces, l'assiette oscilla et la perle roula en bas des marches, vers la terre.
Serpent-dragon et Phénix, voyant que la perle risquait de s'écraser sur le sol, la suivaient en descendant, se précipitant d'avant en arrière, de gauche à droite, pour la protéger alors qu'elle tombait lentement.  Quand elle toucha le sol, la perle se métamorphosa soudain en lac, le lac de Binan. Comme Serpent-dragon ne voulait pas la quitter, il devint le magnifique Mont du Serpent-dragon qui monte la garde sur ses rives. Phénix ne voulait pas quitter non plus sa perle, il devint le Mont du Phénix qui la garde, elle aussi.

Dorénavant, le Mont du Phénix et celui du Serpent-dragon sont couchées silencieusement aux côtés du Lac de Binan. Et il est encore raconté aujourd'hui qu'une maldiction s'abat sur les nains bruyant interrompant ce compte. C'est tout pour cette histoire !

par Fe gnu

La tempête


C’est une nuit d’orage. Une vraie... Les terres d’Azeroth accueillent chacune à leur façon les torrents diluviens d’eau qui s’abattent sur elles.. Elwynn la belle fleurit, et ses esprits viennent danser sous les gouttes du ciel.. Le sol de Sombrivage se gorge du liquide sacré, ses cours d'eau débordent et ses cascades renaissent.. Le Mont Hyjal s’oublie dans de lourds nuages de vapeur... A Hurlevent les Prêtres prient pour leurs frères de l'Outreterre..  Là-bas, la tempête est létale.. Ce minuit n’est pas comme les autres.. Des éons plus tôt, c’est en cette révolution précise du monde que Lordaeron fut démise..
..Ce soir les ombres semblent se multiplier..
Dans la péninsule des flammes infernales, des cohortes de l'Alliance étreignent leurs armes, leurs boucliers.. Dans le ciel abyssal strié, déformé par les distorsions de flux déchaînés qui semblent danser un ballet primal de forces incontrôlées, se dessinent de longues et sinistres échardes.. ..Ce soir la Légion Ardente célèbre... Loin, très loin de là, deux enfants courent dans la nuit. Le marécage d'Aprefange les entoure, marigot humide qui semble sous les averses gonfler et grandir, prospérer.. Des routes familières s’ouvrent de nouveaux chemins parmi les lianes et les troncs, dans le vert vivant de cette végétation qui règne. Dans l’absence de tout mouvement animal, de tout battement d’ailes.. Ils pataugent avec courage, trébuchent sur les troncs et parfois l’un d’eux tombe dans une flaque. L’orage les a pris en traître, par surprise..

Maniant son pauvre bâton de mage en machette de fortune, la jeune femme avance en tête. Elle sonde ce qu’elle peut d’un œil vif sous le rideau noir de sa chevelure trempée. Derrière elle, son petit frère tient bon, titube avec courage une main accrochée au surcot de sa soeur, l’autre tenant contre lui un boisseau taillé en pointe. Ils s’encouragent l’un l’autre par des éclats de voix sourds qui peinent à traverser le mur sonore qui les sépare. Bientôt, ils seront rentrés.. Chaque arbre est un repère, chaque masse rocheuse une accalmie.. Lentement ils progressent et bientôt les sentiers se rejoignent pour former une pente glissante, boueuse à souhait, qui les mènera enfin vers leur sanctuaire : Théramore. La liesse d’une aventure bien terminée les prend, ils accélèrent le pas, quêtent des sourires les structures familières à travers l’ondée.
Puis s’immobilisent..

Devant eux la nuit a pris forme. Elle scintille de deux points rubis... Le tonnerre fait silence au grondement de la nuit, lourd de promesses d’échines broyées.. Comme pour annoncer son hôte d’un soir, la contrée s’illumine d’un éclair qui déchire l’obscurité, et dévoile la "bête".. C’est un fauve qu’elle éclaire, massif de muscles et de cuir déformé. Un monstre de cauchemar, une créature des ténèbres échappée de ses terres natales à l’insu de ses maîtres, ou par eux, guidée ici-même.. Les enfants la contemplent,.. interdits,.. comme un vieillard mourant contemple la faucheuse qui vient l’emporter.. Un instant la fascination les prend, hypnotique et berçante. La terreur surgit vite, contracte leurs traits, leur inspire la fuite.. Ils aimeraient courir, mais l’œil du félin difforme semble avoir pouvoir sur leurs volontés, et les cloue sur place plus sûrement qu’une entrave le ferait..
..Ce dernier sait que ces proies-là sont le festin de ce soir, et ce savoir.. d’un regard.. il leur transmet.. La malveillance exsude de lui comme une sueur colorée à travers les nappes de pluie qui s’acharnent à tenter de le couvrir, ne parvenant qu’à le faire fumer comme quelque chimère horrible et affamée.. Le garçon le fixe, pétrifié. Sa Soeur tourne la tête vers lui, déglutit lentement.. D’un courage né du désespoir, elle avance d’un pas et lève son bâton..  La honte l’étreint, le monde la moque.. Elle est dérisoire, face à son ennemi. Impuissante.. La bête le sent, la bête le sait. Avec la nonchalance du vainqueur, ce prédateur infâme se ramasse pour bondir.. Comme un défi ses queues claquent en écho au tonnerre qui gronde et sonne le glas du couple..
Soudain.. La jeune humaine cille.. En elle s’éveille un écho, le souvenir d’une émotion. Sous sa puissance, le temps s’écrase, l’espace se brise.. L’air ambiant se cristallise, aspiré dans le vortex soudain né de l’extase de la fillette. Le sombre pouvoir sans fard, sans manières et sans lois s’infiltre en elle, la gorge et l’enivre.. Un instant elle hurle, rit et pleure, jouit, existe.. Le temps reprend court, l’espace renaît.. Face à elle le monstre bondit, et l’enfant qui le voit soudain avec un regard plus vieux que sa propre vie lève la main et en appelle aux flammes..
..Et les flammes répondent..

Son corps encore fragile vomit un torrent de feu, une colonne ignée qui s’élève en trombe pour aller trouer les cieux noirs d’un phare éphémère.. Un instant il n’est que braise, le suivant scorie.. La pluie tombe sur la bête infernale. La fumée qu’elle y inspire ne masque pas le squelette noirci de ses os, les cendres d’une chair épaisse brûlée,.. d’une odeur de grillade. Tremblante de tous ses membres, son bourreau n’ose y croire. Elle y regarde à deux fois avant que naisse et éclate son exultation, sa gloire.. ! La liesse la déborde, elle a vaincu ! Le cri de joie qui se niche dans sa gorge pour exploser fait concurrence à la pluie, exprime son incrédulité comme sa fierté.. Elle se tourne vers son petit frère en quête de partage.. Sonnée par son acte, elle ne l’a pas entendu hurler..

Il est tombé à genoux puis en arrière, son corps maintenant tordu dans un angle grotesque.. De sa jolie peau lisse ne reste qu’une immense plaie nécrosée..  Sa bouche désormais sans lèvres laisse à nu ses dents roussies. Sa chevelure d'or plus longue qu’une épée n’est plus qu’un souvenir sur un crâne écorché.. De ses orbites vides coule encore l’humeur blanche des globes oculaires éclatés.. Le cadavre largue un dernier soupir et termine de s’effondrer, sa combustion finie. Avec horreur, sa meurtrière contemple les restes du gamin, l’énergie brûlante qui l’a consumé retrouvant un sommeil plus léger..

L’humaine s’est dressée sur sa couche, couverte de sueur. Elle sait qu'elle a crié.. Sur le lit d’à côté, un compagnon de chambrée est en train de se réveiller.. D’une pensée, d’un sort elle le renvoie à ses songes. Puis elle cache son visage entre ses mains et pleure.. La Gangremage veille sur son premier souvenir. Dix ans ont passé.. La corruption, aujourd’hui court librement en elle. Son corps inspire le mana plus facilement que l’air.. Elle n’est pas son alliée, elle n’est pas son outil. Elle est la drogue qui l’anime, l’addiction qui la motive..
Chaque sort qu'elle relâche est l’ombre de ce premier qui jadis lui sauva la vie et prit celle de son sang..
Chaque sort qu’elle relâche est un instant de cette extase première, de ce sentiment parfait..
Et chaque fois ensuite, elle jette un regard derrière elle.
Par Joey.


R.M alias le Carnet


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Message  Rislon Milloin Jeu 10 Sep 2015, 16:46


Brève de la Gazette de Hurlevent  


 
Mauvais présage pour les tavernes de Hurlevent

Il faut uN tEmps où les tAverNes de Hurlevent faIsait la unE pour Leur popularité et non pour avoir été victime d’un énième détraqué. Car ce qui avait commencé comme un acte isolé avec l’explosion du Mauvais Souvenir, taverne du quartier des nains, n’ayant heureusement fait aucune victime ni blessé le 28 Août de l’an 35, a très vite été suivis par d’autres plus tragiques pour certaines puisque l’exPlOsIon du Cabaret de la Place Blanche, le 1er Septembre de l’an 35, a fait une victime parmi leS serveuses et de nOmbreux blessés dont Slei, la géraNte de l’établissement, qui a été RetrOUvée dans un état critique. La déflaGration avait Eu lieu durant le numéro de pyrotechnique d’Allifeur qui ne semble pas être à l’origine de l’explosion, cette dernière ayant eu lieu à l’intérieur du cabaret, ce qui écarte la piste de l’accident pour se rapprocher de l’acte criminel.

Le 4 Septembre de l’an 35, la Chope Sucrée, malgré un renforcement de sa sécurité, découvre appareils d’ingénierie gnome s’apparentant à des bombes dans leurs locaux. Très vite, la garde arrive sur les yeux mais aucun démineur ou ingénieur n’est présent. C’est là qu’une employée de la Chope Sucrée, la mage El’sméra, se téléporta hors de la ville avec les deux appareils, parvenant à les désamorcer et sauvant ainsi la vie aux clients présents au moment des faits.
Deux autres boites, en mauvais état, ont été trouvées plus tard lors de la fermeture et mises dans les mains de la Garde pour une étude approfondie. Ces dernières se trouvant être en mauvais état, elles ne représentaient plus aucun danger.
Cela aurait pu en rester là mais la nuit du 6 au 7 Septembre de l’an 35, un incendie est déclaré au cochon siffleur dans le quartier de la vieille ville, mettant à mal l’édifice. D’après les faits en présence, il s’agirait là d’un acte indépendant des trois autres puisque le mode opératoire diverge… Il reste à noter que la Planque et le Diamant Ebène sont les deux dernières tavernes n’ayant pas encore été victime d’une quelconque attaque ou menace. La Garde n’a pas tenu à dévoiler ses impressions sur l’affaire, ni les mesures qu’elle envisage de prendre afin d’assurer la sécurité des tavernes hurleventoises.

Une chose est cependant certaine : ce n’est pas la Clef ou Sif qui ont pu faire une chose pareille. Il ne reste plus qu’à savoir qui en sont les auteurs et si ceux ou celles qui les ont commis subiront le même sort.

R.M alias le Carnet
 
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Message  Rislon Milloin Dim 20 Sep 2015, 18:33

 
Brève de la Gazette de Hurlevent


Suspicion mutuelle

Les récents attentats à l’encontre des tavernes a jeté un froid sur les relations qu’elles entretenaient par le passé. Devenues méfiantes ou paranoïaques, certaines cherchent la faute chez leur concurrent, provoquant une situation de crise au sein des tavernes dont la confiance a été mise à rude épreuve et qui cherchent la première victime idéale pour lui jeter la pierre. Cela ne s’arrête pas aux tavernes puisque certains membres de la population semblent avoir pris parti dans ces rumeurs et ragots, ce qui alimente des tensions déjà bien enflammées.  Au point que certains membres de plusieurs tavernes, dont la Planque ou la Chope Sucrée, ont reçu des menaces et dont plusieurs employés ont été agressés aussi bien verbalement que physiquement.

Il est réellement dommage d’en arriver à de telles extrémités, d’autant plus que certaines agressions viennent de valets de personnes tout à fait respectables.
La Grâce de l’Égide

La Grâce de l’Égide fête bientôt ses trois ans d'activité dans la protection rapprochée de biens et de personnes. Ordre de garde du corps ayant déjà eu affaire avec la Garde de Hurlevent et certaines maisons de la Noblesse de Hurlevent, elle se veut à portée de tous, du simple marchand au noble de la cité ayant besoin d’un ordre pour protéger le transfert de biens et de marchandises.
Création du Convoi des Quatre Vents et recrutement

Caelan Pigrabal, marchand et grand voyageur, est un mage marchand itinérant de Kalimdor, n’hésitant pas à aller dans les recoins les plus reculés du continent pour y trouver les articles les plus rares et les plus exotiques qui soient. Il a fondé le Convoi des Quatre Vents, qui se veut comme un regroupement de gens du voyage et marchands afin de garantir les meilleurs produits. Ils recrutent actuellement des Mercenaires, des Artisans et un médecin. Lui-même fabrique des articles d’aventuriers ainsi que des parchemins de sortilèges, des objets et des outils enchantés, et bien sûr… Les trésors qu’il a découverts au fil de ses voyages.

Si vous voulez le joindre vous pourrez le joindre à cette adresse par courrier : *Martiäl*
Hypnotiseur en ville

Le Docteur Walter Hayes présente une nouvelle facette de l’esprit par l’hypnotisme à Hurlevent.

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Message  Rislon Milloin Ven 09 Oct 2015, 20:29

 
La Gazette de Hurlevent  

Nous précisons que le Murloc de la Gazette n'est en aucun cas le murloc que vous découvrirez entre ces lignes et qu'il est peiné qu'on puisse penser le contraire.

 
Enquête : un murloc assassin à Hurlevent.

Un murloc géant sévirait de nuit au sein même de la capitale, où de nombreux meurtres ont été signalés, depuis au moins l’an 34, sur des citoyens de respectabilités douteuses. Le tout dans des circonstances des plus mystérieuses.

Nous sommes le 26 Juillet de l’an 35. Il est tard et la nuit est déjà tombée depuis plusieurs heures sur Hurlevent lorsqu’un étrange phénomène se produisit dans le quartier habituellement calme du haut-port. En effet, subitement et sans explication, une épaisse brume apparut dans la ruelle du Haut-port autour d’une vieille habitation abandonnée depuis quelques années. Peu de temps après, des bruits de rixes émanèrent de la bâtisse, remarqués par plusieurs citadins, persuadés alors que des clochards ou autres mendiants s’y battent.
Le lendemain matin, monsieur Intramount, cordonnier de Hurlevent et témoin oculaire de l’affaire, y découvrit le cadavre d’un homme ensanglanté avec la tête éclatée et méconnaissable. L’homme –dont nous n’avons pas su trouver l’identité- avait élu clandestinement domicile dans l’habitation où la Garde a retrouvé en plus du corps, des effets personnels, un lit, et des illustrations peu « lumineuses » sur les murs. Sa fille aurait la nuit précédant la découverte du cadavre, aperçu à travers la brume une bête rodant autour de la bâtisse : Une sorte de « murloc sombre et haut de deux mètres avec des parties luisantes et une espèce de loupiotte devant la tête. »
Nous avons posé la question à notre spécialiste des murlocs et ce dernier pense –à la vue de ce témoignage- qu’il pourrait s’agir d’un murloc des abysses, précisant par la suite que ces derniers sont généralement petits et vivent dans les profondeurs, là où il y a peu de lumière.

Loin d’être le fruit de  l’imagination fertile d’ivrognes, de romanciers en herbe ou un acte isolé, ce meurtre est là la triste réalité d’une suite d’événement s’étendant sur plusieurs années. Plus récemment encore, en début de l’an 35, la famille Carvos fut elle-aussi victime des circonstances. Cette famille de sinistre réputation vivait dans une cabane délabrée près du chantier naval de Hurlevent quand elle fut victime de la bête. Anciens défias devenus riches en profitant honteusement de la situation de crise dans laquelle se trouvait le royaume de Hurlevent, ils s’étaient ruinés durant la répression afin d’échapper à la prison et à la potence. En pleine nuit et à la lumière des bougies, on aurait vu la brume mystérieusement apparaître autour de la cabane, avant que leur corps ne soient retrouvés ensanglantés.
De nombreuses questions se posent mais restent hélas toujours sans réponse. La Gazette s’interroge notamment sur un point: A supposer que cela soit bien un murloc, car les murlocs n’ont pas pour habitude de laisser les corps « intactes » ou encore de s’attaquer aux gens hors de leur territoire, pourquoi se rendrait-il au sein même de notre capitale pour tuer ses habitants ? Il pourrait néanmoins s’agir d’un tueur original s’habillant d’une tenue de Murloc afin de commettre ses crimes en toute impunité car qui irait croire qu’un murloc assassine des gens en ville –même si cette ville se nomme Hurlevent- ? C’est sans doute pour cette raison –et la confidentialité de la Garde- que cette affaire, bien que des plus étranges et des plus tragiques, n’a jamais pu percer comme légende urbaine de la cité. Ou serait-ce encore l’œuvre d’un malade qui serait parvenu à « maitriser » et « contrôler » une telle bête et s’en sert pour de sombres desseins ?

Si vous avez été témoins de ces faits étranges, que vous n’avez jamais osé témoigner pour une quelconque raison ou si vous l’êtes à l’avenir, n’hésitez pas à vous rendre à la caserne pour en témoigner au plus vite à la Garde Urbaine et à la Gazette afin que cette affaire puisse être mise rapidement au clair.


   
Fin de quarantaine à Teldrassil

L’épidémie qui sévissait depuis plusieurs semaines à teldrassil a finalement été résorbée par le Cercle Cénarien. Après s’être assuré que la situation ne représentait plus aucun risque, le Cercle Cénarien a levé la quarantaine déclarée un mois plus tôt. D’après une source proche du cercle Cénarien, le trafic entre Hurlevent et Teldrassil aurait repris les jours précédents cet avis, annonçant déjà avant l’heure un retour à la normale.


 
La Chope Sucrée recherche des commerçants

En vue de la soirée organisée par Doubhée Beckris, gérante de l’établissement, au Port le Vendredi 16 Octobre de l’an 35 entre 21 heures et minuit, la Chope sucrée recherche des commerçants pour cette soirée dont les fonds seront consacrés aux réparations de la taverne, victime d’un attentat à la Bombe de Mr. Bones, afin de pouvoir rouvrir dans les plus brefs délais. Il ne reste plus qu’une semaine pour vous signaler.


 
Les tavernes ne font pas de vieux os ? La faute à Mr. Bones

Le criminel  « Mr. Bones » a déclaré ce premier Octobre de l’an 35, en ayant piraté les ondes des communicateurs, être à l’origine des explosions qui a manqué de ruiner les tavernes de Hurlevent telle que le Cabaret de la Place Blanche et la Chope Sucrée, et a dégouté le gérant du Mauvais souvenir qui a fermé officiellement depuis quatre semaines, en plus d’être le commanditaire de plusieurs meurtres ayant eu lieu depuis Septembre. Selon ses dires, cette démonstration de force n’est là que pour « […] mettre en avant l’incompétence de la Garde, l’absence de la Noblesse et la division du peuple.». Après cette critique de la Garde de Hurlevent, de la Noblesse et cette « mise en évidence » de la division du peuple, il menaça la Garde de démissionner et de rejoindre la population ou de subir les conséquences de son entêtement.
On peut cependant noter plusieurs incohérences dans ses dires. Il appelle le peuple à reconquérir sa ville, un peuple dont il a contribué à créer les faiblesses qu’il ose pointer du doigt, ainsi qu’à sa douleur en tuant des innocents, en ruinant le commerce des tavernes qui n’ont rien à voir avec la Noblesse ou la Garde. Ce ne sont là que des arguments d’un antiroyaliste ou pire, qui n’a trouvé d’autres excuses à ses méfaits qu’une pseudo-mission de libérer Hurlevent. Cette manière d’agir peut s’expliquer par le désir d’embobiner des citoyens crédules et de les impliquer dans ses actes répréhensibles et meurtriers. Faire couler le sang d’innocent n’a jamais servis à construire des bases solides et fiables ni à justifier n’importe attaque.

La Gazette souhaite tout son soutien aux tavernes victimes de ces attaques, aux collègues et familles des victimes.

 
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Message  Rislon Milloin Dim 08 Nov 2015, 16:10

 
La Gazette de Hurlevent  


 
Collecte de vieux vêtements pour les plus démunis par Ciel Dawton

Accablé de voir la pauvreté grandissante en Hurlevent et à la Marche de l'Ouest, Ciel Dawton lève, à partir du neuvième jour du onzième mois de l'an 35, une collecte de vieux vêtements de toutes tailles pour les donner aux pauvres du Royaume. Elle sera ainsi disponible tous les jours sur la place Faol de Hurlevent entre 13 heures et 15 heures pour les collecter et recevoir les dons.


 
Les Histoires de la Sanssaint - Veillée des Contes de la Chope sucrée

Cette soirée des contes a été dirigée par Doubhée, gérante de la chope Sucrée, dans le cadre de la Sanssaint à la Colline aux corbeaux du bois de la Pénombre en la nuit du 31 Octobre de l'an 35.

   
L'adorable plante dévoreuse

Oui... Oui.. C'était.. Par une longue et sombre nuit d'orage... Comme toutes les histoires effrayantes, ça se passait dans un laboratoire d'un gnome lépro-fléau-influencé.. Bref, quelqu'un de pas net. Et je vous rappelle, oui messieurs dames, que c'est une  histoire vraie. OUI. Hmhm... Bref.. Il s'agit de l'histoire du sinistre et effrayant Docteur dit "Tournesol"... Dont le projet lugubre et macabre était de créer des plantes gnomonoïdales !

Effrayant, je le sais bien.. Pourquoi faire me dites vous ? ... Et bien, pour une production énergétique troublée et étrange pardi ! Il avait mélangé les espèces les plus lointaines pour adapter la vie dans un petit tournesol... Une sorte de mélange, de chien, de chat, de plante, et tout ce que vous voudrez.... Pour faire tenir l'étrange créature en vie. Oh. C'était une jolie plante, faite par un gnome, qui lui a donné son nom... Mais... elle était même.. TROP MIGNONE. Oui mesdames et messieurs. Beaucoup TROP.

La créature était mignone.. Beaucoup trop.. Et personne n'osait l'arracher, ou même lui faire du mal... Oui, c'était terrible... Elle demandait de plus en plus de choses... De l'eau.. Puis des aliments. Puis.. des animaux, après tout. Et surtout, car si ça n'était pas le cas ça ne ferait pas peur.. Elle en finit par demander.. Des âmes HUMAINES !
Et naines.
Et gnomes.
Et toute autre espèce présente dans la salle... Bref.. Elle demandait vraiment beaucoup... Et elle était si mignone, on ne pouvait pas lui dire non... Petit à petit, elle grandissait et prenait de l'importance dans la vie du docteur... Au lieu de lutter contre elle... Il en créa d'autres, encore et encore ! Des plantes, des vallées de plantes... Remplies d'ââââmeess... Les villages locaux ne pouvaient le tolérer...

Alors, on forma des cueilleurs professionnels pour ramasser les tournesols à l'aveugle ! Mais.. TERRIBLE, les tournesols avaient développé des PICS. Des épines qui ne font pas très mal, mais tout de même, un peu, quoi... Les tournesols voyaient les armées aveugles.. Ne luttant pas contre la mignonerie.. Alors.. Fourbes, elles trouvèrent un stratagème. Se cacher parmi les pots de fleurs, proche des enfants. Toujours proche de ce qui est le plus proche des chasseurs...  Et en une nuit, ces chasseurs-cueilleurs tuèrent d'innocents petits écoliers.. On réalisa le danger des tournesols... Il fallait vivre avec eux... Alors on accepta de les mettre dans des pots..

Par Allifeur

A la fin de l'histoire, nous pûmes entendre discrètement la voix de la patronne de la Chope Sucrée - Doubhée - qui s'exclama: Je vais jeter toutes les fleurs !

   
Froide nuit


Il est amusant de voir que vous vous rassemblez dans ce village abandonné pour entendre des contes effrayants. Cependant, vous fermez les yeux sur ce qui vous entoure... Des dizaines de Worgens fûrent séparés de leur crâne là où est assis ce nain. *il désigna alors un nain dans l'assistance* Des dizaines de Villageois périrent là où vous êtes assis, leur sang tâchant encore les dalles poussiéreuses des lieux, leurs gémissements résonnent encore.. .A ceux qui les entendent.  Ne vous êtes-vous pas demandés si quelqu'un n'écoutait pas vos récits dans les ruines de l'Auberge ? Où le Tavernier fut dévoré par les goules durant la froide nuit d'hiver...?
Des ombres qui passent derrière vous sans bruit depuis le début de mon récit ? Plus la peur progresse en vous...Plus ils s'éveillent. Ils sont curieux de voir ceux qui troublent leur repos...A présent, tendez l'oreille...Ecoutez ceux qui agonisèrent sous vos places. *Nous pûmes alors entendre le chuchotement de rires enfantins*

C'était une nuit commune à celle-ci. Les villageois étaient rassemblés sur le centre de la Colline en profitant d'un feu de camps dans la nuit d'hiver. Les enfants s'amusaient, riaient... Comme vous, ils ne pensaient pas qu'un danger guettait...Ils ne pensaient pas que des choses qu'ils ne pouvaient comprendre, ni voir...Les observer. Comme l'ombre qui nous observe à l'étage de l'Auberge. Nul ne sait ce qui s'est produit ensuite...Mais ne retrouva que les corps sur le sol au lendemain.
Là où vous êtes assis... Dans une marre de sang.

Le Chef des voyageurs avaient le corps encore en place dans la guillotine...On dit que leurs gémissements résonnent encore...Les entendez-vous ? Ils sont pourtant là. *Des gémissements d'outre-tombe se firent entendre, puis un cri perçant vint de l'auberge* La dernière victime... Fut la femme du Tavernier.
A votre place...Je n'irais pas à l'intérieur...
Le spectacle...serait le dernier.

Le public se tourna comme d'un seul homme vers l'auberge en ruine de la colline aux corbeaux. La moitié s'inquiétant des bruits qui en émanaient et demandant à l'autre moitié pourquoi ils s'y rendaient " ...Tu ne comptes pas y aller, hein ?... ". Doubhée s'éloigna de la taverne, inquiétant en balbutiant que cela n'était pas prévu. Allifeur s'exclama qu'il devait s'y rendre au nom de la Science mais demanda à Xym de l'attacher avec une corde qu'il tiendrait de l'autre côté et de tirer si jamais il criait. D'autres le suivirent. Pour prouver que cette histoire était vraie, car c'était ça l'esprit gnome, et que le conteur avait stipulé que c'était VRAI.
Il sortit de sa poche une torse de bâtonnet qu'il appela lampe-torche et éclaira la salle avec. Une dizaine de personne l'avait suivis dont votre dévoué serviteur de la Gazette de Hurlevent ainsi que le conteur qui se cala dans un coin en observant la foule s'agiter. Alors que le groupe se divisa pour explorer la cave, l'étage supérieure et la salle centrale, la table en bois massive de la salle centrale se mit à remuer l'espace d'une seconde. Le plancher grinçant en haut, et même si on ne voyait rien, le bois grinçait comme si quelque chose ou quelqu'un s'approchait du groupe.

Allifeur dit, en s'approchant de la table : Sûrement un rat..  
Rysed s'exclama : Les rats ne bouge pas des tables...
Allifeur répondit : ça dépend, il y a des GROS rats. Rajouant par la suite un signe de la tête affirmatif à Rysed.
Rislon dit : tu dis toujours ça. On sait que t'es spécialiste des rats mais quand même...
Jalara rajouta: Un rat Ne pèse pas 40 kg !... Où sont passés les autres ? ...

Une chaise se mit à voler dans les airs et à traverser la salle en s'enflammant. Alors le cris d'une femme résonna dans toute la bâtisse jusqu'à s'entendre dehors. Margot de la Chope sucrée, voyant ce spectable, écarquilla les yeux et se cacha vers le premier bouclier-humain venu, c'est-à-dire, le conteur lui-même.

Allifeur s'exclama : Qu'est-ce que ! Tour de passe-passe ! Machination ! .. Je refuse de croire en ces absurdités ! Plusieurs personnes tenaient alors de se rassurer en se disant que cela n'était qu'une illusion, qu'un tour de magie... Le calme revint, plus silencieux que jamais, alors que la pièce semblait perdre toute chaleur. Le conteur lança un regard derrière lui puis revint vers le publique.

Brr... Ce lieu manque de chauffage.. Malgré tout, une incinération normale n'a pas lieu comme ça s'exclama Allifeur. Soudainement, des hurlements résonnèrent de partout dans l'auberge. Strident, agonisant puis le silence revient sec. Le conteur tituba comme pris de vertige alors que les occupants de la salle se couvrirent les oreilles, surpris par les hurlements.

Alors que certains pensaient qu'il s'agissait d'un enregistrement, d'autres émirent l'hypothèse d'un replis stratégique alors que tout le monde commençait à quitter l'auberge désormais silencieuse et inerte. Satisfait, Djar s'en alla en s'aidant de son bâton, baillant puis disparaissant dans la nuit lugubre de la pénombre.

Par Djar



 
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Message  Rislon Milloin Dim 06 Déc 2015, 19:40


La Gazette de Hurlevent

Le Renard Espiègle

Une petite soif ? Le Renard Espiègle vous acceuillera les Mardi et Samedi Soir à la Taverne du Cochon Siffleur dans la Vieille Ville de Hurlevent. Détente et amusement assuré !

Garde du Corps

Vous vous sentez en danger ? Vous avez besoin d'un garde du corps ? Dame Morgane Caelia propose les services de ses employés. Comment ne pas se sentir protégé ensuite ? N'hésitez pas à la contacter.

Les Annonces de la Chope Sucrée

La chope sucrée poursuit ses activités et ses partenariats avec les activistes de Hurlevent. Pour la joie des citoyens de Hurlevent, des aides aux démunis et aux plaisirs, voici les prochaines soirées de la chope sucrée.

  • Le Vendredi onzième jour du douzième mois de l'an 35 se déroulera une soirée caritative organisée par Ciel Dawton dans le cadre de sa collecte de vêtements. Donnez un vêtement et vous recevrez un verre offert de la boisson de votre choix.
  • Le 18ième jour du douzième mois de l'an 35 se déroulera à Forgefer la veillée des Contes pour le Voile d'Hiver, dans le grand cercle devant les célèbres bibliothèques de la cité.
  •  
    Et comme chaque année, fin Janvier 36, aura lieu l'élection de Madame et Monsieur Hurlevent. Inscrivez vous dès maintenant pour devenir Monsieur et Madame Hurlevent.




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Message  Rislon Milloin Jeu 17 Déc 2015, 14:47

La Gazette de Hurlevent

Introduction à la Gazette

La Gazette de Hurlevent est fière de vous annoncer, malgré les tumultes qu'elle a pu vivre depuis sa création, les tentatives d'attaque qu'elle a pu subir, qu'elle vient récemment de fêter son quatrième anniversaire, trois ans de bons et loyaux services et nous continuerons à suivre l'information et à vous en faire part, contre vents et marées et le manque d'effectif ! Depuis sa création par Heythe Nografe en l'an 31, la Gazette a su s'adapter aux différentes contraintes et à l'évolution du monde de l'information. La Maison Bayle n'en est aussi pas moins fière car elle nous accorde son soutien depuis l'an 33 autant financier que mental et nous lui sommes tous extrêmement reconnaissants. Nous profitons de cette introduction pour lui assurer que son Murloc, séjournant dans les locaux de la Gazette, apprécie énormément les lieux à tel point qu'il ne souhaite plus les quitter, du moins pour l'instant.

A tous et à toutes, merci de rester fidèle à la Gazette après toutes ces années, une édition d'Hiver devrait bientôt paraître pour vous parler d'une fin d'année qui fut mouvementée et peut-être d'une nouvelle année qui, nous l'espérons, sera meilleure que celle que nous venons de vivre.

Erratum de la soirée des Contes organisée par la Chope Sucrée

Nous nous excusons de la gêne occasionnée car, contrairement à ce que la dernière brève de la Gazette racontait sur l'organisation de la soirée de la Veillée des Contes spéciale Voile d'Hiver, cette dite soirée se déroule le 21 Décembre de l'an 35 à Forgefer. La Chope Sucrée se met à l'heure du voile d'Hiver avec des employés habillés dans l'esprit des fêtes et des locaux décorés en circonstance. Sachez toutefois que pour profiter des services de la Chope sucrée, il ne reste plus que deux soirées: Vendredi soir - 18 Décembre de l'an 35 et la veillée des Contes du lundi. Suite à ces deux soirées, la Chope Sucrée sera fermée et ré-ouvrira le 4 Janvier de l'an 36.
La Chope Sucrée vous souhaite un joyeux Voile d'Hiver.

Archéologie - Recrutement - Une passion dévorante en quête d'intéressés

L'archéologie est davantage qu'un métier, il s'agit d'une passion dévorante nécessitant de nombreux mécènes afin de poursuivre les expéditions. Nous avons ainsi rencontré le Vicomte Lucer Arthos, archéologue, qui, ayant déjà les financements de mécènes souhaitant rester anonymes pour l'instant, souhaite souhaite exhumer ce qui pourrait constituer l'une des plus grandes découvertes de ses dix dernières années. En effet, des éléments laissent penser qu'un artefact dort sous les sables d'Uldum. Et pour mener à bien cette expédition, il est à la recherche d'expert à recruter:
- Des Soldats
- un Médecin
- Un ingénieur
- Un chasseur pisteur
Les Industries Allen - Inauguration

Nommée du nom de sa fondatrice Lana Allen à la suite de son décès, les Industries Allen sont désormais gérées par Elana Lamedesang. Initialement à Dalaran, la boutique fut déplacée à Forgefer et, après une période de flottement, vient de ré-ouvrir. De l'ingénierie  et ses appareils aux explosifs en passant par les Lunettes et les carabines et arcs, les industries Allen disposent d'une vaste gamme de produit de qualité qui satisferont leur client. L'inauguration de leur boutique sur Forgefer aura lieu le dimanche 20 Décembre de l'an 35, et une soirée aura lieu pour cette inauguration. Venez nombreux.    



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Message  Rislon Milloin Dim 03 Jan 2016, 14:28



La Gazette de Hurlevent

La Gazette de Hurlevent est fière d'être toujours présente après tant d'années de bons et loyaux services. Toute la rédaction et notre Murloc tiennent à vous souhaiter une bonne année de l'an 36 et une bonne santé à tous et à toutes.

L'Armurerie/Horlogerie Clifton

Installée au Quartier commerçant à proximité du salon de coiffure, l'Armure Horlogerie Clifton marque déjà la rue de sa présence. En y pénétrant, vous serez assaillis par le nombre d'horloge et d'armes à feu sous vitrines qui ne sont qu'un faible échantillon de leur catalogue, adaptable selon les désirs des clients. Menée par Eithya Clifton, le catalogue dispose d'un large choix d'armes à feu, d’horloge, des munitions ainsi que quelques sacoches de cuir et des gibernes

La Gazette s'est rendue sur place pour analyser leur rapport avec les clients et la qualité de leur travail. Le résultat final est assez remarquable, ayant su répondre au désir du client tout en ayant su s'adapter aux demandes parfois contradictoires. On remarque les petits détails de la finition de l'arme à feu qui font la marque des Cliftons.


Les Contes du Voile d'Hiver

La Gazette de Hurlevent et la Chope sucrée est fière de vous présenter les contes du voile d'Hiver de la soirée du 21ième jour du dernier mois de l'an 35. Cette veillée a été une excellente soirée de contes et nous remercions énormément la Chope Sucrée pour continuer à perpétuer cette tradition né il y a cinq ans par le Clan d'Airan. La Chope Sucrée est la taverne se trouvant à la place des Mages aux quartiers des Mages, ouvrant le Lundi, mercredi et vendredi de 21h à minuit. Celle-ci va rouvrir le 4 Janvier de l'an 36 après sa période de veille Hivernale. N'oubliez pas qu'en fin de mois de Janvier, il y aura l'élection de monsieur et madame Hurlevent, comme chaque année
 
La fête des Étoiles

Bonsoir à toutes et tous,et j'en profite pour me présenter.Tom. Récemment arrivé. Ce n'est pas tout à fait un conte du voile d 'hiver mais... quelques similitudes vous verrez. J’ai vécu depuis quelques années avec les Pandarens. Leurs coutumes, leurs fêtes, différent  des nôtres, vous vous en doutez. Mais on retrouve un rendez-vous assez similaire en termes d’offrandes et d’échanges de cadeaux : le Tanabata.

Correspondant à la fête des étoiles, célébrée au 7ème jour du 12eme  mois du calendrier humain environ. Cette fête repose sur une légende , bien ancrée aux abords de la foret de jade,provenant du festival des temples. Comme tous les vieux contes, il en existe plusieurs versions mais veuillez entendre ce soir la plus connue.

La légende relate l’histoire d’amour d’Orihime, fille du dieu du ciel et de Hikoboshi, fils du dieu des éléments. Déesse tisserande, Orihime se voit confier la tâche de confectionner des vêtements pour ses pairs, ce qui l’occupe énormément, ne lui permettant pas de rencontrer l’âme sœur. Hikoboshi, lui, s’occupe de faire croître la nature, par la lumière du jour et l’obscurité de la nuit, au quatre coins du continent, ce qui l’occupe énormément et ne lui permet pas ..
De ? DE ?

Astuce dit : Trouver l'amour !

Très bien demoiselle. Pour tenter d’arranger cela, le père de la déesse  lui fait rencontrer Hikoboshi. Ils tombent tout de suite amoureux et se marient peu après. Totalement épris l’un de l’autre, ils en oublient tous deux de s’adonner à leurs occupations divines Et suscitent la colère du dieu du ciel qui leur interdit de se voir. Ils n’ont le temps que de s’échanger un cadeau ; Elle un drap de constellation et  lui, la lumière du soleil et de la lune pour que la nature puisse naitre et se reposer.

Pour s’assurer qu’ils ne dérogent pas à cette interdiction, Le dieu célèste décide également de les séparer par une rivière infranchissable, la voie lactée. De cet amour contrarié naît une pluie diluvienne, résultat des pleurs de leurs cœurs.

*Tom mima alors les étoiles,la lune et la voie lactée*

Le monde d’en bas décide  d’implorer le Dieu céleste, qui, pris de remords mais ne changeant pas son inflexion ,en échange d’offrande, décide finalement de les laisser se retrouver lors de la fête Tanabata, faisant stopper cette pluie incessante... Le 7ème jour du 12ème mois. Depuis lors, et pour  la nuit des temps, il est de coutume, pour que la mousson cesse et apporte les meilleures récoltes, que les gens se réunissent et, après une offrande au temple pour apaiser les deux amants, s’offrent une bougie, symbolisant à la nuit tombée, les retrouvailles des deux amants. Et cette nuit-là, d’en haut, ils peuvent voir les lueurs des bougies comme autant de leur étoiles, elle fille du dieu céleste et lui gardien du jour et de la nuit.

Tous deux pour ce moment réunis.
Tom


 
Un homme bon ?

Le bonsoir à tous. Mesdames et messieurs. Filles et garçons. Si les Rêves de la raison produisent des monstres... Le théâtre les chasse grâce à sa magie. Maintenant, tremblez devant l'invocateur... qui a soumis les créatures de la nuit... avec son génie et son coeur. Réservez un tonnerre d'applaudissements au grand fabricant de jouets! Célèbre et estimé, le fabricant de jouets... sera victime d'un triste sort. *place sa main sur son coeur baissant la tête.* Car en dépit de sa naturelle bonté... De tragédies et de mort sa vie est jalonnée.

De jour et de nuit, il travaille dans son atelier... Jouant du marteau, transpirant, sans même manger. Et chacun des coups réguliers qu'il donne... Insufle un peu de son âme aux silhouettes qu'il forme. On murmure, on chuchote, et son renom grandit... Du Nord au Sud, d'un bout à l'autre du pays. Jusqu'au jour où son nom... de tous est respecté. Voici qu'un jour, un noble seigneur frappe à sa porte. Le fait sursauter, *sursaute la main sur le coeur* pris d'une émotion forte. Les promesses et sourires de Walter Berhnard...  cachaient en vérité un coeur perfide et noir.
Walter lui offre gîte, amitié et foyer. Le château des Bernhard sera digne du vieil homme... Un havre, un écrin digne de son métier.Sois donc maudit, Bernhard, de berner ce pauvre homme! Sois damné pour toujours au fin fond du Néant. Notre héros heureux s'active à son ouvrage... Dans ce château semblable au plus fou de ses rêves. Mais, bientôt nous verrons de quel terrible outrage...Les horribles projets de son maître relèvent. Par la lumière!
Ce n'est pas un château, mais bien une prison! Pauvre fabricant de jouets, vois ta perdition! Allez vite vous cachez, garçons et filles Car Walter Bernhard prépare une invocation!
Une créature du Néant s'apprête à surgir! Oh non! Elle à lancée un charme et rugit... Si vous avez peur, n'hésitez pas à courir!

Oh, non! Son talent sert maintenant un perfide maître. Perdus pour lui sont les jouets qu'il aime de tout son être. Oh, s'il était possible de défaire ce sort... Et d'arracher l'artisan à ce triste sort. Un jeune garçon entré par malice fini par tombé sur l'artisant. Bien qu'il soit engourdi par son âme qui dort... Le coeur généreux du fabricant brille encore. Un peu d'amour est tout ce qu'il faudrait avoir... Pour briser le sort et reprendre espoir. Mais tu dois réfléchir vite, fabricant de jouets... Car la situation est déjà dangereuse. Walter Bernhard sera bientôt de retour et... comment réchapper d'une rencontre périlleuse? Quelle merveilleuse idée, enfants qui m'écoutez.  Approche, mon petit... Prends ce coeur convoité. Un jour viendra peut-être où tu me le rendras. Mesdames, et messieurs... Ce coeur vient d'un homme bon. Décidez maintenant... Si vous l'éveillez ou non...
Naolia


 
Le terrifiant bon Yéti du voile d'hiver

Cette Histoire se passe dans un petit village entouré de montagnes, un soir d'hiver.La neige a depuis longtemps recouvert les alentours. Dans ce petit village, une vieille histoire est racontée aux enfants pour qu'ils se tiennent sages. Dans une des montagnes alentours vivait un terrifiant et sanguinaire Yeti *elle montra à tout le monde bien haut le Yéti-peluche* Les parents racontaient à chaque enfant que, s'ils n'étaient pas sages, non seulement le grand père hiver ne passerait pas avec les cadeaux tant convoités... mais le terrible yéti viendrait les attraper pour les manger !  ... Mais voilà ! Cette année là, depuis le début du douzième mois, chaque nuit trois enfants disparaissaient !  Et.. chaque matin, de grosses et terrifiantes traces de pas dans la neige... traces qui venaient de la montagne et allaient jusqu'à chaque maison d'enfant disparu ! Les villageois adultes commencèrent à paniquer puis... finirent par s'équiper de tout ce qui leur passaient à porter de mains !

Des fourches, des bûches, des râteaux et même de terribles fourchettes de cuisine !Et ils se dirigèrent, avec leurs armes dérisoires, vers la montagne maudite ! Après quelques heures de marches harassantes, ils arrivèrent vers l'antre du terrible yéti *bouge la peluche* Ils le pointent de leurs armes ridicules, armés de  leurs seuls courages et... s'interrompent tout aussitôt ! Au pied du terrible yéti, les enfants sont non  seulement en vie mais... entourés de magnifiques cadeaux et de délicieux gâteaux ! Ébahis, ils regardent leurs enfants et le yéti ! Et ils finirent par reprendre la route du village avec les enfants et... chaque année... lors de la fête du voile d'hiver, ils montent voir le yéti qui... pour se débarrasser de sa terrible légende sanguinaire avait fini par imiter le  grand père !

Ewana glissa la peluche sur sa tête et offrit un grand sourire à tout le monde.
Ewana


La Compagnie de Lynth - Mercenaire et Archéologue - Recrutement

La Compagnie de Lynth est un groupe d'aventurier nouvellement formée à but lucratif en période de recrutement. Fondé par William Lynth - Mercenaire- et Bostin Courbefer -Conseiller Archéologue-, ce groupe d'aventurier parcourt le monde à la recherche d'antiquité à déterrer et à revendre et peut également remplir des contrats de mercenariat honnête, avec un partage équitable des récompenses.

" Nous sommes une chance pour tout ceux qui n'en ont pas eu. Nous sommes un avenir sûr pour eux et leur famille" par Bostin Courbefer.

Pour les contacter, vous pouvez envoyer une lettre ou se rendre au magasin "Bibelots Antiques" dans le Quartier des Mages.


Boulangerie Krems

La Boulangerie Krems rouvre ses portes à Hurlevent après une baisse de pression. Sur les canaux de la vieille-ville, en face des toits bleus du Quartier Commerçant, la Boulangerie Krems est une alternative aux boulangeries traditionnelles de Hurlevent avec leurs viennoiseries, leurs pâtisseries et leurs recettes innovantes. Plusieurs membres de cette boulangerie parcourent sans cesse les rues et ruelles de Hurlevent afin de présenter leur boulangerie et offrent des coupons offrant un macaron gratuit lors de la première visite dans cette établissement.


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Message  Rislon Milloin Lun 04 Avr 2016, 20:32

La Gazette de Hurlevent ! Demandez l'édition spéciale ! Des bandits s'en prennent à Hurlevent ! La population vient en renfort de la Garde ! Demandez la Gazette !

La Gazette de Hurlevent : Edition Spéciale
 
Hurlevent: Victime d'une attaque de bandit  

Profitant de la nuit tombée, des bandits s'étant infiltrés depuis plusieurs jours au sein de la capitale ont ainsi perpétué des actions à l'encontre de la Couronne.

C'est dans la douleur que s'est réveillée Hurlevent au lendemain du 03 Avril de l'an 36 où des bandits s'en sont pris à la cité lors d'une vendetta. Cette opération, dont les objectifs restent encore inconnus de la Garde, n'a toujours pas été revendiquée. La soirée avait pourtant bien débuté, puisque la cité jouissait depuis quelques jours d'une relative sérénité de calme après les récents troubles qu'ont connues certaines tavernes les semaines passées, lorsqu'une patrouille de Garde en déplacement près des entrepôts du port fut pris en tenaille par une troupe de bandit peu de temps avant la 22ième heure. Alertés par le Capitaine Shephard, les Gardes stationnées en ville et à la Caserne ont rapidement réagi pour lutter contre la menace, mais les commanditaires de cette opération, encore inconnus, avaient prévu ce retour de force et ont ainsi pris en embuscade les gardes aux portes de la Caserne. Les officiers de la Garde ont alors lancé une mobilisation générale en demandant à toutes personnes capables de se battre de se rendre au port afin de contenir la menace. Cette suite d’événement s'est déroulée en un temps relativement court de quelques minutes.

Avec l'aide des citoyens engagés, la Garde reprit rapidement le contrôle de la situation et gagna la bataille après une demi-heure de combat. Quelques attaques isolées eurent lieu durant ce temps dans les différents quartiers de la cité. Un bilan provisoire a été publiée, annonçant côté brigand l'arrestation d'une bonne dizaine de brigand et la fuite de plusieurs assaillants qui seront traqués, et annonçant côté Garde quelques blessées, dont certains graves, et le décès de la Garde Emilie Jones, seconde dauphine de Hurlevent, qui aura donné sa vie pour défendre la cité et ses citoyens. Nos pensées accompagneront la Garde et les familles des victimes.

Bien que la Garde ne se soit pas encore exprimée sur les raisons qui auraient pu justifier une telle attaque, elle déclara n'écarter aucune piste et ajouta qu'elle finira par remettre les commanditaires de cette opération devant la justice . Au vue de la coordination dont on sut faire preuve les assaillants, l'hypothèse d'une préméditation de longue date semble la plus valable. Quant aux objectifs de cet assaut, bien qu'encore inconnus, il reste évident qu'ils n'étaient pas de prendre possession de la cité au vue du faible nombre de brigand en présence mais qu'il s'agissait là plutôt d'une action directe à l'encontre des Gardes de Hurlevent. On peut ainsi supposer que l'un des objectifs était donc de mettre à mal l'un des symboles du Royaume afin d'instaurer un sentiment de crainte et d'insécurité au sein même des remparts de notre cité, un but ayant échoué au vue de l'implication de la population lors de l'attaque mais laissant l'idée que ceci n'était que le commencement d'une série plus vaste.

Nous recommandons donc à la population d'éviter les zones portuaires une fois la nuit venue afin de limiter les risques liés aux fuyards. Si vous détenez des informations en lien avec les fuyards et les attaques de la soirée, nous vous conseillons de vous rendre à la Caserne à la Vieille-Ville, 1er place des armées, afin de faciliter la Garde dans leur enquête.

Le Carnet

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Message  Rislon Milloin Ven 20 Mai 2016, 21:27

" Demandez la Gazette de Hurlevent ! La seule Gazette dont l'écriture est aidée par un Murloc ! Ce dernier fait savoir qu'il vend aussi de l'alcool de Murloc ! Demandez la Gazette ! Des nouvelles institutions en ville ! Mort d'un Orphelin lors de la semaine des enfants ! Arrestation de deux individus par la Garde de Hurlevent au Renard Espiègle. "

La Gazette de Hurlevent

La fondation martingale : une institution au service des autres.

Si vous avez mis les pieds dans notre capitale Hurlevent ces dernières semaines, vous aurez surement pu entendre le nom d’une mystérieuse fondation ou encore assister à un de leur événement dont elle était l’organisatrice. Cette bien étrange institution porte le nom de Fondation Martingale, et leurs locaux se situent aux quartiers des Mages, place de la Prison.


Naissance de la Fondation :

La Fondation Martingale est un nom récent pour une organisation qui n’en est pas à ses premiers pas. En effet, cette institution, agissant pour le bien des citoyens, a vu le jour il y a  de cela plus de dix ans grâce à la volonté d’un seul  homme : Monsieur Martin Gale. Il s’agit d’un Hurleventois d’un âge assez avancé ayant fait fortune dans l’exploitation minière et le raffinement des métaux, et qui vit désormais reclus dans sa résidence de Hurlevent mais toujours aussi attentif aux malheurs du Royaume, usant ainsi de son temps et de son argent pour organiser des événements dont le but est d’aider et de resserrer les liens entre habitants. Et si son passif ne vous évoque rien, ceci est sans doute normale puisque jusqu’à cette année de l’an 36, elle ne possédait aucun nom. Son nom actuel lui fut donnée en son honneur par Yrisia Dalmikiel-Beaumont, désormais porte-parole de la Fondation et ayant la charge de poursuivre sur la voie qu’il s’était donné il  y a plus d’une décennie. Elle fut ensuite suivie par Matuédoi « Matt » Dunbroc’h, Archibald « Archi » Beaumont, Moira Hersende et Nareen… Monsieur Gale leur alloue un budget et veille à ce que les activités restent dans la continuité de leur objectif. A savoir qu’ils ne perçoivent pas de salaire pour leur temps consacré à la Fondation et qu’ils ont tous un métier respectif, leur action étant donc complètement désintéressée.

La Gazette de Hurlevent - Édition & Brève - Page 2 Articl10
Gnomographie de la Fondation Martingale -  De Gauche à droite : Archibald Beaumont, Yrisia Beaumont et Matuédoi Dunbroc’h

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Gnomographie de la Fondation Martingale -  De Gauche à droite : Moira Hersende, Yrisia Beaumont et Matuédoi Dunbroc’h

Enjeux et Organisation de la Fondation :

La Fondation Martingale a récemment organisé plusieurs événements que nous allons vous détailler. La soirée des Orphelin s’est déroulée le 25 Mars de l’an 36 à l’Orphelinat de Hurlevent à la suite d’une idée de la Fondation, en collaboration avec Garrance Van Howzen du Mille-feuille,  la Chope sucrée, ou encore Kiel d’Althain, dont le but était de recueillir des dons pour les orphelins tout en leur dédiant une soirée pour montrer la solidarité des habitants à leur égard.   Et plus récemment, les différentes organisations de la cité démontrèrent leur générosité en offrant des lots à la Fondation qu’elle mit en tombola lors de la soirée du 13 Mai 36 en collaboration avec la Chope Sucrée.
Les organisations et les citoyens n’ont qu’à apporter les idées ; la fondation apportera la logistique et les moyens financiers nécessaires à leur réalisation. Car si faciliter et provoquer les rapprochements sont leurs buts, améliorer et faire travailler ensemble les forces-vives qui constituent la cité en sont la clef. Vous l’aurez compris, la Fondation Martingale se veut le moteur de la réalisation de vos projets. Ils recrutent des bénévoles qui eux-aussi veulent unir la population et améliorer les conditions de vie en ville face aux horreurs que l’on peut y rencontrer. Contactez-les pour les rejoindre et envoyez vos idées à leur local, place de la Prison, Quartier des Mages, qu’ils examineront afin de leur faire prendre réalité.



Soirée Tombola à la Chope sucrée, organisée par la Fondation Martingale

Dans la continuité des opérations humanitaires de la Fondation Martingale,  la Chope sucrée fut une nouvelle fois le théâtre d’événement animant la ville, toujours prêt à apporter leur aide en collaborant avec les différentes organisations de la cité, pour soutenir les plus démunis. En effet, ce 11 Mai de l’an 36, la Fondation organisa de leur propre initiative, et avec l’aide de la Chope sucrée ainsi que la Grâce de l’Égide qui assura la sécurité avec « efficacité et élegance », une tombola dont les recettes seraient reversées aux sans-abris de Hurlevent.

Cette tombola montre également la générosité et le désir d’aider à leur manière les plus démunis, des organisations et des commerces de la cité qui n’ont pas hésité  pas à faire don à la fondation de certains de leurs produits représentatifs, rendant cet événement possible, s’ajoutant aux lots de la Fondation Martingale : Un paonneau du Bassin de Sholazar, un lionceau de la savane, trois tapis de la famille Dalmikiel, un tonnelet de Rhum et un Garn Nocthurle de Draenor. La chope sucrée offrit deux billets pour un repas à la chope, un trotteur des Plaines printanières nommé Jocke. L’apothicairerie Aleister Baggins offrit cinq lots d’huiles essentiels et de parfums. La Grâce de l’Egide offrit un jambon fumé. Quatre tableaux de Izaël Rehaël Elessessil. Et le Duc Kiel d’Althain offrit une caisse d’arme de première qualité.
Durant le tirage au sort, la Chope sucrée a annoncé la fermeture de la Boutique « le Kraken » suite au décès de sa propriétaire Naolia une semaine plus tôt et a tenu à lui rendre hommage. Les collègues de Naolia ont ainsi tenu à offrir du matériel du Kraken à la Fondation pour la Tombola, comme un petit Bling-Bling, une hache bec mécanique et un bouclier en Forgeacier de l’habile. Matuédoi Dunbroc’h et Yrisia Beaumont ont ensuite fait un discours de remerciement envers la Chope sucrée, la Grâce, les participants de la tombola et les organisations donateurs sans qui rien n’aurait été possible.

Certains partisans de la SDPA ont cependant regretté le don d’animaux exotique, ces derniers considérant que leur place était davantage en liberté qu’en cage et offert comme don. Ils en appellent donc à la bonté des gagnants pour les réinsérer dans leur milieu naturel.



Arrestation d’une paisible soirée au Renard Espiègle

Lors de la fin de soirée du 14 Mai de l’an 36, La Garde a appréhendé deux individus lors de ce qui semblait être une opération de routine au Renard Espiègle dont un qui a du être maitrisé : Dayton. Ce nom correspond à un avis de recherche qui a été par la suite retiré désignant un certain « Dayton / Clayton Sheffarde » recherché pour la somme assez forte de 7 pièces d’or, pour les motifs suivants :
- Art. CR-30 Enlèvement & séquestration
- Art. CR-29.3 Empoisonnement
- Art. DE-22 Blessures volontaires

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Arrestion de l'homme recherché: Dayton

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Arrestation du second individu, suspecté d'être lié à l'homme recherché

Le Second se trouvait avec lui durant les faits et a été mené à la Caserne pour vérifier son innocence ou une éventuelle complicité. On peut cependant noter qu’il aura coopéré avec la Garde, en se laissant faire sans réagir et en répondant aux questions. La Caporale en charge de l’affaire n’a pas tenu à faire de déclarations sur cette arrestation. Elle a rajouté par la suite: « On [Les Gardes] fait simplement notre boulot, et c’est agréable de voir des citoyens réagir et coopérer aussi vite ».  

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La Caporale Finegann de la Garde, après l'arrestation du l'individu recherché et du suspect

On peut cependant penser que la venue des Gardes au sein de la taverne de la vieille-ville n’est pas fortuite.  En effet,  les Gardes ne sont en effet pas arrivés en un seul groupe, comme il devait censé l’être d’usage,  mais petit à petit, et l’entrée de l’établissement n’a pas de suite été barrée pour empêcher les citoyens de pénétrer ou de sortir de l’établissement, comme il est d’usage.  Une chose est sûr, on peut être rassuré de voir l’une des menaces qui pesaient les habitants de Hurlevent derrière les barreaux.


Inauguration Exceptionnelle et Époustouflante de la Boule de Neige, de Katsou Industrie

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Devanture de l'établissement: la Boule de neige

Depuis plusieurs semaines, les habitants de Hurlevent ont pu remarquer la présence d’un groupe de gobelin en provenance de Baie-du-butin souhaitant s’insérer dans les affaires commerciales, gastronomiques et distractives de la capitale. Ils n’ont ainsi pas regardé à la dépense afin d’offrir à la ville, une boutique-taverne d’un genre nouveau…
Dirigé par Faltz Katsou, et aidé de ses associés Sploseur et Gozo, la Boule de Neige est ce nouvel établissement, inauguré ce 14 Mai de l’an 36, offrant un regard nouveau sur les affaires et les divertissements. Ce modèle de magasin, dont l’enseigne se situe sur le Quai de Fer aux Quartiers des Nains, se base sur la restauration rapide, une approche qu’il qualifie lui-même d’ambitieux, et ce dans la plus grande sécurité des clients. Les clients pourront ainsi profiter d’un divertissement ou pourront acheter diverses affaires, tout en dégustant des plats rapides. Cette inauguration fait suite à un pari qu’il s’était lancé à Baie-du-butin : briser les préjugés sur la gastronomie d’Hurlevent et des Hurleventois avec ses « fish-burgers », mais ceci n’était pas le plus surprenant.
En effet,  cette soirée permettait de dévoiler au public leur toute nouvelle invention qu’ils qualifient eux-mêmes de « révolutionnaire » : l’Holograsphoscope –marque déposée et schéma de conception brevetée –, un nom assez étrange pour une machine qui reflète bien le génie des Gobelins, rivalisant avec celui des Gnomes. Il s’agit d’un appareil qui projette des images en relief, plus vrai que nature ! La séance portait sur l’histoire de Maximillien de Comté du Nord, le tueur de Dragon.

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Gnomographie d'un hologramme du Holographoscope - Scène de l'histoire: Maximillien de Comté du Nord, le tueur de Dragon

Les avis sont sans appel : Un spectacle révolutionnaire, une mise en scène unique, du jamais vu. Une idée complètement nouvelle et originale. Et si le scénario pourrait facilement être amélioré, les dialogues faisant sourire et rire le public, la prouesse technique et la visualisation de l’Holographoscope dépassent de loin ce que j’ai pu été amené à voir en terme de spectacle utilisant de l’ingénierie. Les plus pessimistes diront que l’imagerie présentait des erreurs visibles et des incohérences de mouvement, mais ce serait négligé l’avancée que présente ce pas en avant. Les histoires seront découpées en épisodes et chaque ouverture présentera un nouvel épisode.  L’entrée de l’établissement est payante : 8 pièces de cuivre par personne. Six pièces de cuivre à partir de cinq personnes. Et comme disent le porte-parole de Katsou industries :


« Buvez Kaja’Cola ! Ca vous donne des Idées ! TM »
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Gnomographie des hauts-membres de Katsou industrie - De gauche à droite - Gozo, Katsou et Sploseur




Mort d’un Orphelin dans les faubourgs de Hurlevent

Chaque année, la semaine des enfants permet aux orphelins de toutes les nations et de toutes les races d’être au centre de l’attention, rappelant funestement à ceux qui y participent que les guerres et les assassinats laissent derrière eux de nombreuses victimes en plus (et différemment) de ceux que l’on trouve sur les champs de bataille. Il est toujours important de leur montrer qu’ils ne sont pas seuls et qu’ils auront toujours sur qui compter, et les événements qui leur sont dédiés tout au long de l’année sont là pour le rappeler.
Alors que la semaine des enfants venaient de débuter, le corps d’un jeune adolescent d’une quinzaine d’année fut retrouvé à proximité de l’étang d’Olivia grâce à l’aide d’un pandaren et d’un elfe qui ont tenu à garder l’anonymat, en soirée du 2 Mai 36. L’examen du corps a révélé qu’il se serait noyé quelques heures plus tôt. Tout commença dans la mâtiné dans les faubourgs où, échappant à l’attention de la surveillante lors d’une sortie éducative, un petit groupe d’orphelin s’en allèrent jouer plus loin. Les enfants ne parvinrent pas à le retrouver et revinrent prévenir de sa disparition à leur surveillante.
Un drame qui ne laissa pas Hurlevent de pierre puisque dès le lendemain, l’orphelinat reçut des dons de nombreuses personnes souhaitant elles-aussi garder l’anonymat, permettant ainsi à l’enfant d’obtenir une sépulture au cimetière de Hurlevent. Puisse la Lumière guider son esprit et qu’il puisse enfin trouver le repos.

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Message  Asra Dim 22 Mai 2016, 17:08

" Demandez la Gazette de Hurlevent ! Dernières brèves venues des jungles ! Le concours de pêche de Strangleronce mis en cause ! Demandez la Gazette ! Les courbines font surface ! Enquête sur un massacre dominical ! "

La Gazette de Hurlevent




Derrière les violences dans la vallée de Strangleronce se cachent les courbines




Depuis le milieu de l'année 25, un accord mutuel entre la Horde, l'Alliance et le Cartel Gentepression encadre la pêche de la courbine de Strangleronce. Mais les hostilités suscitées autour de ce sport n'ont pas cessées.

Chaque dimanche après midi, depuis 10 ans à présent, une vague de violences sanglantes touche les côtes de Strangleronce, une grande jungle luxuriante au sud du Royaume. Selon l'Alliance, au moins 860 personnes ont été tuées et au moins 9500 autres ont été déplacé depuis le début des hostilités.

«Nous craignons que le concours de pêche de la Baie du Butin ne soit un retour aux jours sombres pendant lesquels la Horde et l'Alliance s'affrontaient ouvertement sur les champs de bataille du Royaume d'Azeroth», a déclaré un porte-parole de l'Etat Major de Hurlevent, Ambroise Farale, lors d'une réunion de crise à Fort Livingston.

Dans un discours bref et arrogant, la Horde s'est également alarmée du sort de ses ressortissants encore sur place : «Baie-du-Butin était relativement en paix mais la fin de la guerre sur Draenor a causé un regain d'intérêt pour la pêche sauvage de courbines, causant des troubles au sein des populations locales et des mercenaires de passage.»


Courbines de sang

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Le Courbinus Dominicus, vulgairement appelée courbine par les guérilleros de Strangleronce


Cette rupture de la paix - précaire - qui régnait dans le port depuis la fin de la Rébellion Sombrelance, qui avait opposé les peuples libres de la Horde, soutenus par l'Alliance, à la tyrannie de Garrosh Hurlenfer, survient au moment même où le Cercle Cénarien publie un rapport sur le braconnage des "courbines de sang" qui touche la région et profite à des groupes armés. Cela malgré la mise en place d'un encadrement strict du concours de pêche dominical, en vigueur depuis le onzième mois de l'année 25 et signé par les groupes affiliés au Cartel Gentepression, à l'Alliance et à la Horde.

Le concours de pêche de Strangleronce est un régime international de compétition, qui réunit gouvernements et industriels du poisson, dans l'objectif d'éviter de négocier sur le marché noir la distribution des bancs de courbines qui, pour des raisons toujours inconnues de nos plus éminents spécialistes, ne se rapprochent des côtes qu'entre deux heures et quatre heures de l'après midi chaque dimanche.

Mais depuis que ces règles ont été fixées en l'an 25, les escarmouches entre pêcheurs n'ont pas pas ralenti dans la jungle de Strangleronce où des groupes armés sont présents, comme l'affirme le Cercle Cénarien dans son rapport :

«Pendant qu'une partie des bancs de courbines situés loin de Baie de Butin restent relativement tranquilles, de nombreux autres bancs ont fait l'objet de convoitises. La sortie de guerriers depuis les jungles, visant à éliminer les protagonistes du concours de pêche, était une pratique courante par le passé mais de nombreux experts s'accordent à dire qu'à présent le conflit a pris une toute autre ampleur avec de véritables escadrilles aériennes patrouillant au dessus des bancs pour fondre sur les imprudents n'ayant visiblement pas été en mesure de gagner de l'expérience sur Draenor.»

Les enquêteurs du Cercle ont notamment rencontré les organisateurs du concours de pêche qui leur ont certifié avoir échangé des courbines contre des "bottes de pirates", des lignes de pêche en éternium et des cannes à pêche en arcanite à des guildes pro-horde autour du campement de Grom'gol le troisième mois de l'an 36.

De son côté, la Horde estime dans un autre rapport que l'équivalent de 40 courbines suffit à provoquer un bain de sang général dans la région septentrionale, «Que très peu de courbines remises aux organisateurs du concours ont été identifiés comme étant pêchées de mains expertes». Ce qui signifie qu'une large part des courbines de Strangleronce ramenées à la Baie proviennent en vérité des cadavres chauds de pêcheurs innocents.


Les bancs, une plaque tournante

Selon Nat Pagle, éminent expert en courbines, une large partie de ces poissons de Strangleronce passent par les bancs communs aux autres espèces, provoquant irrémédiablement l'ire des malchanceux :

«Dans l'parcours des courbines, on assiste à un mélange des poissons», nous explique le vieux loup de mer tout en engloutissant un bock de grog salé. «Il suffit qu'un pêcheur mette son hameçon dans un banc pour qu'il ait une chance de rater la précieuse courbine qui lui ramèn'ra l'premier prix.». De la sorte, les courbines font l'objet de toutes les passions.

Il existe également «des poissons très spéciaux qu'valent des babioles rigolotes mais sans intérêt», nous confie ce même analyste, intendant, rappelons le, de sa propre faction de pêcheur indépendants.

Dans les conclusions de son enquête, le Cercle Cénarien affirme que ses enquêteurs ont trouvé «plusieurs faiblesses» qui pourraient laisser penser que le concours de pêche est en réalité la seule motivation aux affrontements. «Notre sentiment, c'est qu'ils (les pêcheurs meurtriers) sont tout simplement assez bêtes pour gâcher deux heures d'une belle après midi à essayer d'attraper des poissons sans intérêts en échange de surplus gentepression. Mais ça ne veut pas dire que les organisateurs du concours de pêche savent qu'ils achètent des courbines volées», rapporte le Baron Revilgaz, maître de la Baie, visiblement amusé par la tournure des événements.


Un concours qui bénéficie d'abord au Cartel Gentepression

Parmi les factions pittoresques de Strangleronce, ce sont les milices du Cartel Gentepression qui tirent le plus de recettes de la pêche aux courbines. Depuis l'an 25, le nombre de courbines arrachées à la mer par les aventuriers de tous bords ne cesse de progresser.

«Les aventuriers viennent depuis longtemps et connaissent mieux l'emplacement des bancs de courbines que le nom de leur propre roi», souligne Nat Pagle.

Lors de son avancée dans les jungles, le Cartel Gentepression s'est approprié de nombreux territoires considérés comme sacrés par les trolls. Jusqu'en l'an 25 et la mise en place du concours, personne ne venait à Strangleronce à part pour abattre quelques dizaines d'animaux et repartir vers de nouveaux horizons, les bras chargés de reliques des cités temples. D'où l'idée pour le Cartel de motiver les aventuriers à revenir chaque semaine dans la région afin de nourrir la ville, incendier quelques villages trolls et empêcher, par des biais détournés, une implantation durable des factions de la Horde et de l'Alliance.

«Même après qu'un régiment de l'Alliance ait fait défection suite à une dispute concernant la première place au concours de pêche à la courbine, le Cartel a délibérément encouragé les fous furieux d'Azeroth à revenir en agitant de nouveaux prix attractifs », dénonce le Cercle Cénarien dans son rapport.

Mais le contrôle des bancs de courbines par des groupes armés n'est pas nouveau. Le Cercle Cénarien souligne également la connivence de certains Scalps rouges avec des trolls sombrelances dont les aspirations sont loin d'être «très Vol'jiniennes» selon les experts vaudous de l'organisation.

«Le refus du Cartel Gentepression à vouloir partager les bancs de courbines avec les tribus locales a poussé ces bons sauvages à devenir une part active du trafic. C'est ainsi que l'on peut voir des trolls bleus, verts et même jaunes, rouges et oranges, venir suriner les elfes de sang qui pensaient disputer tranquillement une partie de pêche dans une région paradisiaque», selon le magistère Solardent, qui vient de publier une thèse sur le rapport entre le complot Zandalari et le trafic de courbines.

Cependant, il est difficile d'établir dans quelles proportions le concours de pêche de Strangleronce a pu profiter aux diverses organisations suprématistes qui ont plongé la région dans le chaos. «On ne sait pas dans quelle mesure les indépendantistes trolls se financent grâce à la contrebande de courbines car ils ont aussi d'autres revenus. Mais ce qui est sûr, c'est que la courbine est un poisson totalement dénué d'intérêt, qui n'a même pas bon goût une fois passé sur le grill», confie maître Shon Wang, vénérable patron de la voie du Grill en Pandarie.

La firme gobeline Brouillécrou & co, dont les courbines représentaient 80% du tonnage total des poissons pêchés et réduits en "pâté de mer pour kodo", a, elle, gagné gros depuis la mise en place du concours de pêche de Strangleronce.


Lawrence Philips, journaliste indépendant
Asra
Asra

Personnages Joués : Asra, Managosa, Hariet

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La Gazette de Hurlevent - Édition & Brève - Page 2 Empty Re: La Gazette de Hurlevent - Édition & Brève

Message  Rislon Milloin Dim 10 Juil 2016, 15:52

" Lisez la Gazette de Hurlevent ! La Seule Gazette a possédé un Murloc œnologue ! La Rosa Mortis continue de perpétuer ses crimes à l'encontre de Hurlevent, disant viser les nobles mais ne touchant que le peuple. Inauguration de taverne ! Lisez la Gazette ! Celle-ci est soutenue par la Maison Bayle ! "


La Gazette de Hurlevent

La Rosa Mortis poursuit ses attaques - Réponse des habitants

Plusieurs attaques d'explosif de la Rose Mortis ont eu lieu ce dimanche 3 Juillet de l'an 36 devant la Caserne et devant la Cathédrale faisant de nombreux blessés dont plusieurs Gardes et des citoyens comme Fanélia Cathules ou Azraëll Noréane. Ces attentats ne sont pas un acte isolé puisque de nombreuses autres explosions ou attaques ont été revendiquées par la Rosa Mortis, ainsi qu'une contamination des eaux de la cité rendue publique par la Garde le 26 Juin de l'an 36. La Garde a su cependant réagir efficacement en sécurisant les points d'eau et en réquisitionnant les prêtres et druides de la cité afin de mener une opération de purification de l'eau, évitant ainsi la pénurie. Il est encore actuellement conseillé d'être prudent quant à sa consommation et de vous rendre aux puits sous la surveillance des Gardes. Il est nécessaire d'alerter la Garde si vous apercevez une Rose Noire à proximité des points d'eau de la cité, les méfaits de la Rosa Mortis étant signés ainsi.

Mais qu'est-ce que la Rosa Mortis ? La Rosa Mortis est un groupe terroriste récent s'étant lancé en guerre contre la Noblesse de Hurlevent qu'elle accuse d'être à l'origine de la crise que subît Hurlevent depuis sa reconstruction après la première Guerre. Ses actions se veulent démonstratives, passant par des attentats à la bombe (où des "suicidaires" se font exploser au milieu des foules) ou encore par des attaques ciblées. On peut y voir l'influence des procédés des anciens grands ordres de la Pègre lors des Guerres des Gangs de l'an 28 à 33 ou des ennemis publics comme Mr. Bones qui avait fait sauter la quasi-totalité des tavernes de la cité entre Septembre et Novembre 35. Cette démesure ne sert qu'à instaurer un climat de terreur dans la cité...

Les Hurleventois ne sont cependant pas dupes quant aux motivations de ce groupe et sont bien plus fort que la Rosa Mortis pourrait le croire. En effet, sur toutes les attaques de la Rosa Mortis aucune ne visait les Nobles ou leur maison aussi bien directement qu'indirectement. Ce sont les citoyens de Hurlevent, ceux qui font vivre quotidiennement la cité et qui participent activement à son fonctionnement, qui sont les véritables cibles de cette entité. Les Nobles ne sont qu'une excuse pour passer à l'acte.
Cette réalité n'a pas été ignorée par les Hurleventois dont beaucoup en ont plus qu'assez d'être pris pour des pigeons à qui on peut faire avaler n'importe quoi, se montrant vindicatifs quant à la Rosa Mortis. Le message des Hurleventois à leur encontre est clair: Ils le payeront et ne l'emporteront pas avec eux dans la Lumière. Certains sont beaucoup plus directs comme Thomas Spark qui n'hésite pas à les menacer:

Ce message est destiné à tous les fous furieux appartenant à la Rosa Mortis, j'aimerais vous envoyer des fleurs. Je sais que vous êtes des lâches, des bâtards et des chiens. C'est pour cette décision que j'ai décidé que vous serez mis hors d'état de nuire, et si vous en avez l'audace, je vous donne mon adresse personnelle: Quartier des Nains, maison adjacente du tram des profondeur.
Je laisserai la porte ouverte.

Un sentiment partagé par bon nombre de Hurleventois.

Mais quels sont alors les véritables objectifs de la Rosa Mortis ? Nous savons que les Nobles ne sont qu'un prétexte à leur agissement et que la terreur et la démesure ne sont qu'un moyen d'aboutir à leur fin. Postulons un instant que le prétexte des Nobles soit vrai, comment le gouvernement pourrait accepter que la Rosa Mortis massacre ces habitants dans l'unique but de destituer les Nobles de leur titre ? Si elle parvient à ses fins, que deviendra Hurlevent ? Cette destitution laisserait un grand vide dans la cité dont certains pourraient se servir pour renforcer leur propre emprise.
Cela ne tient pas. plusieurs nobles ont d'ailleurs mis leur force et leur richesse au service du peuple afin qu'ils bénéficient d'une amélioration de leur condition de vie, du moins pour les plus nécessiteux d'entre eux, comme la duchesse de Edenblow, bien que certains sont à dire que ce n'est qu'une façade pour mieux paraître amical et mieux œuvrer dans l'ombre pour appuyer leur domination.

Il se peut que tout cela ne soit qu'un moyen d'assouvir leur plus noir penchant à travers des actes que les trois vertus de la Lumière réprouvent et condamnent. D'autres partisans du complot pensent que ces attaques, dont les gangs ont été, ces derniers années, les principaux protagonistes, ne sont là qu'un moyen parmi d'autres envoyé par la Horde d'affaiblir Hurlevent en vue d'une attaque de plus vastes envergures sur ses frontières.

En tout cas, la Garde continue de redoubler d'effort afin de mettre hors d'état de nuire les responsables de ces attaques. Un avis de recherche a d'ailleurs été ajouté la veille dans la cité, un avis que nous retransmettons:

Nom : Halincar
Prénom : Marnid
Dignité(s) : Humain
Appartenance(s) : Rosas Mortis

Description : Homme, précisément 1m88, peau très pale, voir tein maladif, visage fin.
Signe(s) distinctif(s) : Armure blanche et tabard rouge portant un marteau blanc, portant deux dagues incrusté de rune rouge.
& Usage d'une rose noire pour signer leurs crimes. ATTENTION! Ces roses sont empoisonnées et peuvent être mortelles pour ceux qui les touchent.

Vu la dernière fois : Hurlevent, sur la place Faol. Date inconnue.
Motif(s) :
• Art. DE-17 Dégradation de biens.
• Art. DE-22 Blessures volontaires.
• Art. DE-23 Blasphème allant à l'encontre du Roy et de son royaume.
• Art. CR-32 Rébellion.
• Art. CR-33  Meurtre en série.
• Art. CR-27.1 Appartenance à divers ordres bafouant le Roy et son Royaume : Peine statuée par l'Etat-Major ou la Chancellerie.
Récompense(s) : 10 pièces d'or

Mots du rédacteur de l'article:

Sachant que la Gazette de Hurlevent est soutenue par la Maison Bayle, nous vous présentons d'ors et déjà en avant-première le prochain argument de la Rosa Mortis à l'encontre de cette article: Que la Gazette de Hurlevent ne serait que le pion des Nobles de Hurlevent et ne serait ainsi qu'un intermédiaire obéissant pour faire avaler à qui veut l'entendre les mensonges de la Noblesse de Hurlevent.
En autre avant-première, nous donnons d'ors et déjà l'argument contre l'argument que nous venons de dire: Qu'il n'y a pas de fumée sans feu et que l'avoir écrit sans qu'ils ne l'aient dit avant signifie que cela est vrai et que le mettre en dérision ne sert qu'à faire perdre la crédibilité à cette argument. La Gazette ne les savait pas partisan de la théorie du complot à ce point. Tout cela est absurde.

Ils ne penseront jamais qu'il est juste difficile d'assister à la détresse des familles innocentes et des blessés qui n'ont rien demandé et qui sont une fois de plus les cibles d'un combat dont ils ne sont ni les acteurs ni les observateurs. L'information n'est pas un jeu ni un terrain de jeu, et les journaux et les Gazettes se doivent de la répandre fidèlement au plus grand nombre et de savoir rester critique sur ce qu'ils écrivent pour montrer que les informations ne sont jamais absolues et peuvent n'être qu'une vision indirecte et incomplète de la réalité.



Le Corbeau Argenté - une auberge dans une terre de pénombre

Délaissé depuis plusieurs années par le Royaume, les habitants du bois de la pénombre n'ont du se reposer que sur eux-mêmes afin de survivre et de sécuriser la région la plus dangereuse et désolée du Royaume de Hurlevent sur ses territoires mères. C'est en partie pour ces raisons que Lythiel Wilson, ancienne croisée, a décidé de s'installer à Sombre-comté et d'y ouvrir une auberge afin d'essayer d'y ramener un peu de vie. Née de parents aubergistes, elle considère que ce choix allait dans l'ordre des choses.

Inaugurée le 23 Juin de l'an 36 à Sombre-Comté, le Corbeau Argentée ouvre aussi comme taverne le Mardi, Jeudi et Dimanche soir à partir de 21 heures. Elle assure ceci dit la Restauration à ceux séjournant au sein de l'auberge. Lors des soirs d'ouverture comme taverne, la sécurité est assurée par la Main de Cendres, nouvel ordre mercenaire dirigée par Gwardocia Rasteriä. Comme boissons proposées, on peut voir comme offre: de la bière, du cidre, du "Chateau Défias", une "Rincette d'Abercombie", du jus de fruit ou du Whisky.

N'hésitez plus, si vous êtes curieux et que, vous aussi, vous appréciez Sombre-Comté.

Rubrique décès


  • Charle Dillinger, joueur de flûte et de piano a été retrouvé pendu par la Garde dans sa chambre d'Auberge la semaine du 24  Juin, a-t-on appris d'une source proche de l'affaire. Dillinger, qui commençait à obtenir une certaine renommé dans les Carmines depuis qu'il se présentait dans l'une des tavernes de Comté du Lac, se serait suicidé pour une raison inconnue, mais la Garde n'exclue pas la possibilité d'un meurtre.
  • On dénombre aussi la dizaine de membres de la Rosa Mortis qui se sont fait sauter lors d'attentat suicide contre les Nobles de la Cité et qui n'ont touché aucun membre d'une quelconque maison aussi bien directement qu'indirectement, seulement de simples citoyens. Une chose est sûr, grâce à la Rosa Mortis, les fossoyeurs et les médecins ne manquent plus de travail à et peuvent désormais vivre confortablement. Ils ont remplis leur mission, et peuvent désormais arrêter leur méfait. Au-revoir !



Victoria Adhémar - Viticulteur

Vous savez que les locaux de la Gazette de Hurlevent sont habités par le Murloc de la Gazette, liée à la Maison Bayle. Ce murloc possède de nombreux talents mais nous ne lui connaissions pas celui de véritables gourmets du vin. En effet, nous avions pris plusieurs échantillons de vin en vue d'un futur article sur les viticulteurs mais c'était sans compter notre murloc qui s'est empressé de vider nos stocks... Un mal pour un bien puisqu'on a découvert son gout pour le vin et surtout, pour celui de Victoria Adhémar dont le vin provient d'Elwynn. Elle a aussi été appréciée par la rédaction et les imprimeurs.

Un vin avec un fort arôme de fruit, une teinte de sucrée et de l'infusion de "chêne'" (nous ne sommes pas sûr de la traduction) est bien présente. Un vin appréciable en somme !

PS: Nous recherchons aussi un remède contre la gueule-de-bois chez les Murlocs, celle-ci s'éternise un peu pour le nôtre.

Incendie du Manoir Derington dans la forêt d'Elwynn

Dans la nuit du 24 au 25 Juin 36, les soldats du feu durent lutter farouchement contre un incendie qui s'est déclaré à proximité de la Demeure des Derington, une famille qui s'était récemment faite remarquer dans plusieurs affaires. La stoïque demeure n'a hélas pas pu être sauvée des flammes et a été entièrement brûlée, seul le mausolée de la famille, en retrait par rapport à la demeure, a pu échapper aux flammes.

Alertée par les Soldats du feu, la Garde s'est rendue sur place afin d'enquêter sur l'origine de l'incendie. Ceux-ci ont découvert les corps calcinés des domestiques tanarides, ayant été piégés par les flammes, identifiables grâce à certaines pièces métalliques de leur tenue. Chose surprenante, Edward, Andrew, Iris, Bruce  Derington et Olga O'mallet n'ont pas été retrouvés.
La Garde se refuse à tout commentaire, mais on a appris d'une source venant des Soldats du Feu que l'origine du feu avait peu de chance d'être accidentelle. Le mystère reste encore complet. Reste à savoir quand la Garde trouvera bel et bien le fin mot de l'histoire.


Rislon Milloin
Rislon Milloin

Personnages Joués : Ai-je vraiment l'air d'un coupable? (voir image)

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Message  Rislon Milloin Mar 09 Aoû 2016, 14:16

" Demandez la Gazette de Hurlevent ! Le Parc est reconstruit mais vous l'avez sans doute déjà remarqué ! Marchée Antique organisée par la Duchesse Ashley Margaret de Edenblow et la Compagnie de Lynth ! Le commerce des armes de qualité légendaire continue de prendre son essor ! La Griffe du Lion vous fait redécouvrir les armes avec la nouvelle édition de son catalogue ! *



La Gazette de Hurlevent


Inauguration du nouveau Parc de Hurlevent le 19 Juillet de l'an 36

Détruit en Décembre de l'an 30 par Aile-de-mort, le Parc de Hurlevent avait laissé derrière lui un grand vide dans le cœur des habitants de la cité, peut-être plus profond encore que le cratère visible à sa place. En quelques minutes, Aile-de-mort était parvenu à balafrer presque irrémédiablement notre cité en effaçant plus de quinze ans d'histoire, des centaines de vies innocentes et la preuve vivante de l'union entre Kaldorei et Humain. En effet, en l'an 25, des travaux avaient permis d'installer un puits de lune au centre du Parc, symbolisant le lien nouveau avec leurs nouveaux alliés: les Elfes de la nuit. Ce Parc avait aussi accueilli grand nombre d'institution et de tavernes célèbres comme l'Arche ou le Khaz'ino.

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Image d'archive de notre collègue: Judgehype - Vue du Parc de Hurlevent avant sa destruction

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Image d'archive de notre collègue: Judgehype - Un puits de Lune se situait au centre du Parc, où Kaldorei et membre de l'Alliance venaient y méditer.

Cette destruction avait provoqué une crise du logement à Hurlevent, aggravant les finances du Royaume déjà mises à mal par les années de guerre en Outre-Terre et en Norfendre. La reconstruction du Parc avait été mise de côté par les autorités, mais jamais oublié. Les années passants, les Hurleventois ne s'étaient jamais habitués à ce cratère, le souvenir de l'ancien Parc encore trop profondément ancrés dans leur mémoire. La cité a alors décidé de combler le cratère et a débuté la reconstruction du parc. Choix surprenant, les architectures ont du travailler sur un projet en complète opposition avec ce qu'était l'ancien parc, favorisant un vrai espace vert sans aucun immeuble, détruisant ainsi les ruines de la vieille caserne, désaffectée peu de temps avant le cataclysme.

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Image de notre collègue: Judgehype - Vue plongeante du Nouveau Parc de Hurlevent

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Image de notre collègue: Judgehype - Vue de haut du nouveau Parc de Hurlevent - Nous remercions encore la Garde pour les avoir permis de se placer sur les remparts afin de prendre cette gnomotographie.

Enfin, cinq ans et huit mois depuis sa destruction, le Parc renaît enfin de ses cendres le 19 Juillet de l'an 36 où la population fut enfin autorisée à pénétrer ces jardins où se marient fontaines, arbustes et chemins de pierre. Tous auront pu ainsi observer du surplomb du Parc, une vue imprenable sur la mer et sur les lunes d'Azeroth.
Certains nostalgiques regrettent cependant encore l'ancien Parc où s'organisaient davantage d'événements que de simples promenades: des bals, des fêtes, des tavernes ou encore les réunions d'organisation légendaires..




Alerte Imposture

Un sectateur aurait récemment enlevé un citoyen de l'Alliance: Léonidir Dragonrage, et ce dernier userait de son identité avec un double magique afin de commettre de salir sa réputation et de commettre des crimes comme des enlèvements d'enfants et des meurtres, selon des sources provenant de son entourage. Wandell Brise-Ecu a ainsi perdu la vie dans l'enquête après avoir été pris au piège par le sectateur.

Si vous apercevez cet homme, n'hésitez pas à alerter la Garde.



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La Griffe du Lion
Boutique officielle de la Maison Cœur-de-Lion en Hurlevent

Maison de Qualité pour la Qualité

vous invite à (re)découvrir son catalogue, mis à jour cette année, et propose au plus grand nombre ses épées à deux mains dans ce fascicule spécial consacré à quatre armes exceptionnelles de la collection des Héritages de la Terre. Nous retrouver dans la capitale est toujours des plus simples, grâce au plan ci-joint à cette affiche, au 11, Quai de la Rédemption, face au Quartier de la Cathédrale.

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Ouverture possible sur rendez-vous en après-midi comme en soirée. Notre équipe, formée et professionnelle, se tient à votre disposition pour répondre à vos questions et à vos demandes.

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Héritage de la Terre, première partie


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Ca’aldan, la Destinée des Princes


De nombreuses théories circulent au sujet de l’origine de Ca’aldan et de son premier porteur : est-ce, comme la tradition le veut, un prince d’Arathor dont le nom serait proche de celui de l’arme ; un prince des bandits du Syndicat la trouvant assez à son goût pour ne pas la revendre ou la lame d’un des premiers paladins ? Quoi qu’il en soit, l’arme longue forgée dans le sanctacier, à une ou deux mains est un bijou de forgeron, pourvue d’une double pointe perpendiculaire aux deux-tiers de la lame à gouttière très large gris sombre contrastant avec le blanc étincelant des tranchants, dépourvue de nervure centrale.

La garde finement gravée réhaussée de cobalt et d’une cornaline incrustée en son centre, de chaque côté se prolonge sur la lame pour protéger l’emboîtement des deux, soutenant de magnifiques dessins ciselés à l’argent. La poignée droite et longue accueille une large perle d’acier gravée de rosettes, motif répété sur le pommeau, sur la face orientée vers la pointe. De l’autre côté, un sceau est gravé, figurant un double hexagone lié par une ligne droite depuis l’angle supérieur, symbole mystérieux à la signification faisant toujours débat entre spécialistes de l’héraldique.

Il est dit qu’entre les mains du bon porteur, armée de la bonne cause, la lame s’embraserait de flammes pures, ardentes comme le feu solaire, réchauffant son porteur et brûlant à chaque coup ses adversaires par le feu de la sainte justice. Il est certain que cette histoire soit réelle, l’arme vibrant quelques instants lorsqu’on pose la main sur sa poignée ou sa lame.


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Vhalchakeen, Fureur des Neuf


« Le rugissement infini des bassins de magma en fusion, la fureur du feu de la terre, portée par le souffle de mille dragons de lave, inexorable et sans pitié. »

Autrefois portée par un seigneur draconide noir lui ayant donné son nom, Vhalchakeen a semé la terreur dans d’innombrables batailles opposant le Vol Noir aux nains sombrefers et aux seigneurs élémentaires dont elle finissait par drainer la puissance enflammée pour mieux s’embraser dans les griffes de son sinistre porteur. Barthazath le Ligecroc fut vaincu lors d’un énième combat entre les Sombrefers de Dagran Thaurissan et son unité d’assaut menée au cœur de la cité d’Ombreforge. L’arme fut emportée comme trophée par les nains puis de nouveau perdue avec la chute de Thaurissan et le retour de Moira dans l’Alliance avant de se retrouver dans les collections de la Maison Cœur-de-Lion, acquise lors d’une partie de dés contre un mercenaire sombrefer.

Du bout de la pointe jusqu’au talon de la hampe, Vhalchakeen est fondue dans un métal noir, alliage de tungstène, de mithril et de sombrefer qui lui donne cette lourdeur caractéristique et cette teinte obscure, nimbée de flammes dessinées par des inclusions de métal forgé et trempé différemment du reste de l’arme. Sa pointe dentelée semble imiter le croc d’un dragon et est en grande partie parfaitement lisse et régulière, à l’exception d’une ébréchure rayant l’un des plats du fer d’un coup ondulé, comme un coup de griffe.

Lorsqu’on se saisit de l’arme, un grondement vibrant semble agiter la hampe et se communiquer à la main durant une courte seconde, reflet des tumultueux éléments lui ayant donné forme et matière. Dans la fureur d’un combat, elle ne se gauchit ni ne s’émousse, au contact des armures et des armes adverses, le feu qui couve en elle se déchaîne et l’embrase sans pour autant transmettre sa chaleur terrible à son porteur, brûlant à chaque coup ses adversaires éblouis par sa pointe chauffée à blanc, scintillante comme une petite étoile dorée.


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Ialdar


Un éclair, son claquement dans l’air et le rugissement du tonnerre au loin. Ialdar est le mariage crépitant entre la foudre qui agite et transperce parfois les cieux de Talador et le souffle du vent pur et rugissant des plaines de Givrefeu. Portée par un officier de garde draenei qui effectuait par malheur sa ronde sur l’une des murailles de Shattrath un jour d’orage, l’arme joua le rôle d’un conducteur de foudre et attira un énorme éclair qui tua fort tristement son porteur sur le coup. La hachette palpitait encore de cette énergie brute venue du ciel lorsque la relève découvrit cette macabre scène, et fut emportée pour étude par les magi de la cité, qui canalisèrent sa puissance dans deux cristaux draeniques bleu ciel. Passant du statut d’arme de réserve à celui d’arme de guerre, elle fut donnée à un champion de la cause des Exarques qui combattit avec fougue ses ennemis, ogres, tribus orques et primordiaux déchaînés avant de connaître son trépas face à un gronn enragé. Son âme fut emmenée en Auchindoun et ses propriétés enterrées avec son corps dans un tombeau oublié qui fut ensuite pillé par des Adhérents arakkoas en quête d’apogides dans les cavernes jalonnant Talador. Leur raid fut de courte durée car ils furent dispersés par un groupe d’aventuriers et prospecteurs de la Maison Cœur-de-Lion, qui leur reprirent les trésors volés.

Forgée dans le véracier draenique, alliance du vérifer et de la rochenoire, Ialdar se pare de teintes bleu-gris comme le ciel avant l’orage. Au profil découpé, le fil aiguisé comme un rasoir,  son fer est paré d’un cristal draenei bleu taillé en losange, incrusté dans la masse, dont le cœur semble abriter une tempête de foudre en perpétuel éclatement. Un manche épais, lacé de cuir et un pommeau en acier lourd, décoré de pointes contrastent avec la ligne nerveuse du fer de l’arme. A ce pommeau taillé en pointe se rattache une chaînette retenant dans un support ouvragé un deuxième cristal bleu émettant une lueur douce et dont le cœur, lui, semble cacher un tourbillon permanent.

En main, Ialdar semble plus légère qu’il n’y paraît, vive comme un souffle de vent, crépitant la première fois qu’on pose la main sur son manche. Une fois sortie de son fourreau, ses gemmes s’illuminent doucement, le cristal de la lame paraissant scintiller d’étincelles et le cristal de chaîne s’agiter au gré d’une brise invisible. Lorsqu’elle frappe, elle crépite d’arcs de foudre blancs et est nimbée d’étincelles électriques.


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L’Ordre de Dirk


Dirk "Le Squale" Heartfield était un grand capitaine et un marin chevronné. A la tête de son brigantin Le Brise-Côte, il n'a eu de cesse de pourchasser les flibustiers et autres pirates infestant les côtes de la Marche de l'Ouest, n'hésitant jamais à faire parler la poudre de ses canons et de ses pistoles, quelques années après la Première Guerre. Sa lame était son emblème et son amie, une curieuse épée tenant plus de la dague, sinueuse et teintée de bleu, que la légende disait arrachée des mains d'une princesse naga au nom perdu. Son fil avait tranché tant et tant de gorges ennemies que le sang de ceux-ci l'avait peu à peu irrémédiablement colorée de rouge carmin.

Il livra sa dernière bataille lame à la main lorsque son navire fut attaqué et abordé par une flotte de pirates s'étant ligués contre lui, au large de Strangleronce. Constatant qu'il ne pourrait être victorieux cette fois-ci, il ordonna à ses matelots de mettre le feu à leurs réserves de poudre, de façon à faire exploser dans une rafale de flammes leurs assaillants en même temps qu'eux-mêmes. Lorsque les rares pêcheurs du coin s'aventurèrent sur le lieu du combat, ils ne trouvèrent qu'un rescapé du vaisseau du Squale, dérivant sur une planche et mal en point, au milieu de débris encore fumants d'une dizaine de navires. Ainsi, il put raconter son histoire, celle de son capitaine et de son Ordre final.

Après de nombreuses recherches et après avoir recueilli cette légende, la Maison Cœur-de-Lion a décidé de recréer la lame du capitaine Heartfield, telle qu'elle était lors de sa découverte. Une ligne sinueuse comme l’échine d’un naga, dotée d'une garde originale imitant des palmures aplaties bleu sombre, incrustée d'un saphir océan à la couleur profonde, d'une légèreté incomparable, forgée dans l’obsidium teinté par une pointe d’adamantite, le pommeau se terminant par une courte pointe arquée.


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Les Créations de la Griffe


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Rislon Milloin
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Message  Rislon Milloin Sam 13 Aoû 2016, 16:12

" Demandez la Brève de la Gazette de Hurlevent ! Hurlevent est en deuil avec la mort de son Roi. Vive le Roi ! La Légion a posé pieds sur Azeroth et tente de nous envahir ! L'Alliance et la Horde parviennent à leur tenir tête et à les repousser ! Elle est gratuite ! "

Lutte des Nations contre la Légion - Mort du Lion d'Hurlevent

La Légion Ardente a encore une fois frappé Azeroth et lui a infligé une nouvelle fois des blessures que le temps ne parviendra pas à guérir... Les armées de toutes les nations et de tous les peuples se sont rendues sur les berges de l'archipel brisé afin de combattre et de repousser les forces de la Légion qui sont hélas parvenues à poser pieds sur Azeroth. Accompagnées des plus grands héros d'Azeroth, l'Alliance et la Horde ont pourtant échoué à les repousser, subissant des pertes considérables. C'est ainsi que Varian Wrynn, roi de Hurlevent, a fait le sacrifice de sa vie en essayant de sauver son peuple et Azeroth de la Légion Ardente. Un sacrifice qui n'aura pas été vain puisqu'il aura permis le repli de nos forces et de nous faire gagner un temps précieux sur leur plan... Un Roi noble et juste qui aura jusqu'à son dernier souffle fait du bien-être de son peuple une priorité et de l'union des peuples une réalité... Nombreux sont les soldats de l'Alliance qui auraient sacrifié leur vie sans hésitation si cela avait permis de le sauver et plus nombreux encore sont morts en le suivant dans ce qu'ils savaient être une mission sans retour, pour Azeroth. Sa fin tragique n'a pas laissé de marbre son peuple et ses alliés qui ont multiplié les hommages à Hurlevent.

Notre Roi est mort. Vive le Roi ! Désormais, c'est à son fils Anduin Wrynn de lui succéder et de prendre sa place à la tête de l'Alliance. Cependant parmi la population, des voix s'élèvent sur les circonstances de sa mort encore actuellement peu connues. Les interview de plusieurs soldats rescapés sont unanimes: La Horde aurait trahi les forces de l'Alliance les laissant seules face aux hordes de démons. Devant ces accusations pouvant mettre en péril la coalition Alliance-Horde, la Pax Legatus/Legatum (Ordre pacifique) a réagi rapidement grâce à leur contact inter-faction et affirme que la Horde n'a pas trahi l'Alliance: Subissant eux-aussi de lourdes pertes, ils durent se replier lorsque de nombreux chefs de la Horde furent grièvement blessés par une attaque de démon dans leur dos. Vol'jinn, le chef de guerre lui-même, fut blessé par une arme gangrenée. Ce dernier est mort suite à ses blessures, un coup rude contre la Horde qui perd elle-aussi son chef. La Horde n'a donc pas trahi l'Alliance et n'a jamais eu l'intention de la trahir surtout dans un moment aussi crucial.
La Pax rajoute que la Légion se fiche bien que nous soyons de l'Alliance ou de la Horde et que nous sommes pour eux que des nuisibles à éliminer. Une déclaration forte et véridique mais suffira-t-elle à apaiser les doutes et à de nouveau s'unir contre la Légion ? Il le faudra bien si on veut espérer l'emporter.

Pendant ce temps, la Légion Ardente continue d'apparaître aux quatre coins d'Azeroth. Nos observateurs font état de combat dans la Marche de l'Ouest, les Contreforts de Hautebrande, Dun Morogh, les Tarides, Azshara et bien que la Légion ait réussi à s'implanter, les forces de la Horde et de l'Alliance parviennent à les contenir et à détruire leurs infrastructures au sol mais très vite celles-ci réapparaissent.
Tout le monde participe à l'effort de guerre: Le chancelier Khassim Al-Rakim s'est rendu ainsi à la Marche de l'Ouest, accompagné de plusieurs paladins, afin de refermer les portails. La Chope Sucré a été réquisitionnée par l'Ordre des Hospitaliers afin de servir de centre de fortune, la Cathédrale et l'Hospital étant submergés par la quantité de blessés. La Pax assure elle-aussi des soins et un soutien logistique dans les zones envahies.

Car cette guerre est l'affaire de tous. Nous vaincrons ensemble.

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Message  Rislon Milloin Lun 29 Aoû 2016, 21:59

" Demandez l'édition en Brève de la Gazette de Hurlevent ! "

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La Légion Ardente intensifie ses attaques - Dalaran attaquée

La Légion ardente poursuit ses opérations sur Kalimdor et les royaumes de l'Est malgré la résistance effrénée que nous lui opposons, sans toutefois être capable de gagner du terrain. Les batailles permanentes ont ainsi remplacé les vas-et-viens des troupes infernales entre les différentes régions attaquées sans qu'aucun camp ne parvienne à porter un coup décisif sur l'autre... A l'exemple de la Marche de l'Ouest où l'armée et les forces civiles luttent sur des champs de céréales dévastées et boueux voire corrompus par la souillure de la Légion, Azshara, les Tarides, Tanaris, Dun Morogh ou encore Hautebrande vont eux-aussi subir les effets secondaires de leur occupation par la Légion. La dernière cible de la Légion est Dalaran qui a quitté son ancienne position pour Karazhan et qui est elle-aussi en proie à des combats fantastiques dans ces ruelles historiques. La Horde aurait d'ailleurs été de nouveau acceptée dans la cité, et participe actuellement aux défenses.

Il faut cependant relativiser ces attaques malgré les tragiques et lourdes pertes qu'elles provoquent... La Légion Ardente ne nous enverrait pas de telles forces si nous étions incapable de les repousser. Rien qu'avec les forces qu'ils ont perdu dans les combats au quatre coins du monde, ils auraient été capable de briser les défenses de n'importe quelle cité d'Azeroth. Non, bien que les régions menacées soient stratégiques, nous ne pouvons pas considérer que leurs attaques aient comme but de nous vaincre.

Ces attaques ont davantage l'apparence de diversion que d'une réelle envie d'annihilation de notre monde. L'hypothèse la plus crédible serait que la Légion ardente, nous sachant en mesure de la vaincre et de la repousser comme nous avons déjà pu le faire par le passé, ait décidé de nous faire perdre notre temps et de notre énergie sur les continents pour gagner du temps et s'implanter sur l'archipel brisé et finalement, nous vaincre avec davantage de préparations.

Mais avec quoi la Légion espère-t-il nous vaincre ? Il nous faudra le découvrir au rivage brisé avant que nous ne lui laissions le temps de le mettre en oeuvre.

Nouveau Forgeron en service en ville

Vendant ses services depuis un mois à Hurlevent, Lucas Oarl a su lentement s'y faire un nom. Sortant de sa formation reconnue chez les nains de Forgefer, cet homme ambitieux s'est lancé directement dans la création de son propre groupe au sein des Industries Allen. Sa formation l'ayant ainsi spécialisée et rendue expert dans la création d'armure, la gravure et les armes, il accorde une attention toute particulière à chacune de ses créations. Il travaille aussi dans une moindre mesure dans l'argenterie. Cette vocation et cette qualité sont apparues avec son précédent métier: Mineur, lui permettant aussi de choisir la meilleure qualité de minerais pour ses forges. Il ne travaille néanmoins qu'avec les minerais et les métaux d'Azeroth.

Sa véritable priorité n'est cependant pas son entreprise mais d'initier les gens au métier de forgeron. Si vous souhaitez suivre une formation de forgeron, Oarl est en quête d'un apprentie à qui il pourrait transmettre ses connaissances. N'hésitez pas à le contacter à Forgefer si vous souhaitez passer commande. Il est reconnaissable en ville à son imposant chapeau rouge.


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Message  Rislon Milloin Dim 09 Oct 2016, 20:50

" Demandez la Gazette de Hurlevent ! La Seule Gazette publiant les histoires de la veillée des contes ! Demandez la Gazette de Hurlevent "

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La veillée des Contes de la Chope sucrée

La Gazette de Hurlevent et la Chope sucrée continue de vous proposer certaines histoires de la veillée des contes, un événement régulier de la taverne dans le cadre de leur coopération. Nous remercions encore la Chope Sucrée pour ses nombreux événements qui animent la cité et qui font la réputation des auberges et des tavernes de notre cité.
 

La dentelle vous va si bien.

Il était à peine quatorze heures lorsque la vertueuse passa la porte de l’atelier Slingsbury. C’était une vieille baraque a peine habitable, une de ses vétustes choses datant d’un autre siècle. La devanture n’était guère attrayante et le passage dans lequel elle se trouvait empestait la mort. Mais même malgré cela, la boutique jouissait d’une grande visibilité. Les ateliers Slingsbury ? Tous connaissaient ce nom ; il était cependant plus difficile déjà de trouver ne serait-ce qu’un habitant capable de vous dire quoi que ce soit sur les activités de ce commerce. La gérante, la vielle Slingsbury, était une femme hautaine et aigris, mais dont le talent dans la composition des dentelles et broderies était certain. Elle avait de nombreuses clientes, mais il était rare, pour une raison inconnue, de voir ses ouvrages portés en ville.
Lucy, c’était son nom. Un nom pur qui reflétait assez bien la douceur de ses traits et de sa personne en général. Ses cheveux étaient aussi blonds que les foins des campagnes du sud, et ses grands yeux gris laissaient entrevoir les méandres de son cœur de pucelle. Cette pureté ; c’est bien ce qui avait plu à la vielle couturière, oui, cette pureté mais aussi cette mélancolie joyeuse, cet air de petite fille faussement affligée, comme si toutes ses joies n’étaient que tristesses et ses peines éclats de rire.
Elle allait ainsi, tous les dimanches à quatorze heures depuis deux lunes, en sortant de la cathédrale, fouler le pavé de cette lugubre ruelle, espérant une bouché de pain en guise de rétribution pour le service rendu. L’intérieur de l’atelier n’était guère mieux loti : en entrant, à gauche, une canalisation avait vraisemblablement cédé et avait été rafistolée comme faire ce peut. Deux des trois fenêtres étaient condamnées, et, la lumière ne se risquant pas dans le passage, les baies de la vitrine ne permettaient que de distinguer rapidement le ramassis de bibelots présents dans la pièce. Les étagères étaient poussiéreuses, tremblante et sur le point de céder. L’horrible tisseuse - car elle n’était pas très jolie, et d’une maigreur sans nom - se tenait dans un coin de la pièce, assise derrière un petit guéridon d’ébène sur lequel était posée une grosse bougie à la flamme vacillante et trois baguettes de bois autour desquelles avaient été enroulés d’étranges fils noirs, blancs, et rouges-orangés.
Lorsque Lucy poussa la porte de la boutique, le vieux carillon tinta. Les notes s’en échappant étaient à l’image du reste de l’atelier : grinçantes, lugubres et froides. Elle entra comme à son habitude, posant le pied droit en premier sur le parquet mit à nu par des années de passage. Le sol craquait à chacun de ses pas, les poutres semblaient comme s’incliner sur son passage, déposant sur ses cheveux et dans le reste de la pièce une fine brume poussiéreuse. La vieille femme ne releva pas la tête, entrouvrit les lèvres sans qu’aucun son n’en sorte. Elle fit alors un geste lent semblant designer une vieille chaise au bois fendu, dont le coussin de velours avait été griffé et déchiré par endroit. Le mobilier était vétuste et sale, mais Lucy s’en moquait. Elle prit donc la chaise par son dossier et l’installa de l’autre côté du guéridon, en face de l’artisane. La femme tissa pendant près d’une heure, sans dire un mot, la jeune fille l’observant consciencieusement. Vint le moment où elle se leva et fit signe à la belle de se lever.
Debout au centre de la pièce, Lucy faisait face à la vitrine. La vielle Slingsbury pinça de ses doigts longs et secs le petit galon qui tenait la robe de Lucy attachée autour de son cou. Les tissus de lin glissèrent sur la peau de la pucelle comme s’ils valsaient pour la dernière fois le long de ses hanches. Nue, sa peau blanche reflétait la moindre lumière. La brodeuse avait choisi son plus beau fil rouge-orangé pour Lucy. Cette dernière frissonna lorsque les doigts de la couturière effleurèrent ses jambes, ses hanches, sa taille et ses côtes et enfin le dessous de ses bras juvéniles. L’intention n’était que de les lui faire lever, mais le geste lui avait paru dérangeant, malsain. L’artiste enfila son œuvre sur le corps de Lucy par le bas. La robe rouge n’était que de dentelles, dont les motifs étaient plus petits et resserrés au niveau des endroits que la pudeur nous commandait de cacher. Le buste était cintré, et un peu trop serré afin de rendre le décolleté pigeonnant. Les manches ne couvraient ses bras qu’après les épaules, se finissant par un poignet au tombé long. La jupe de la robe était, elle, plutôt simple dans la forme. « Quelle créature en ce bas monde produit un fil aussi solide, ma Dame ? » demanda Lucy, suffoquant dans cette toile rouge aux reflets de feu. « C’est une douce créature, mon enfant, chuchota l’horrible vielle femme en retouchant le pendant des manches dans le dos de Lucy, une créature pouvant avoir mille visages et mille noms ».
Elle était magnifique. Sa peau de nacre étincelait entre les mailles rouges des dentelles. La vieille femme lui tendit alors innocemment un verre d’eau que la pauvre, étouffant, s’empressa d’avaler. Il ne fallut que quelques secondes à la toxine de la Clostridium Botulinum pour paralyser le cœur de la belle, offrant à son bourreau une nouvelle poupée de sang aux cheveux blonds, qui prendrai gentiment le thé aux côtés de ses nouvelles amies aux cheveux de geai, d’argent et de feu. « Les cheveux des Hommes poussent même après leur mort et sont d’une beauté et d’une solidité sans égal. Vous êtes une douce créature mon enfant, et la dentelle vous vas si bien. » murmura la gérante de l’atelier, préparant une quatrième bobine de fil.
Constance Malowney


 
L'arène.

Dans le fin fond d'une contrée lointaine ou l'air est chaud, la forêt peu présente et l'eau rare, vivaient plusieurs tribus de guerriers. Là bas, les garçons devaient passer des épreuves pour montrer qu'ils étaient devenus des hommes. Des rites de passage, de l'enfance à l'âge adulte.
La première épreuve était de tuer un Sabot-Fourchu avec quatre lances. Epreuve difficile, mais pas la plus dangereuse, il restait encore trois épreuves.
La deuxième épreuve était de pouvoir dompter un animal pour s'en faire une monture, un Ombre-Cavale. C'était là une des épreuves les plus risquées, les animaux ne se laissaient pas attraper aussi facilement.
La troisième épreuve était de pouvoir tuer un Elekk avec des lances. C'était pour récupérer ses défenses et en faire un ornement de maison. Celui qui avait réussi à tuer l'Elekk avec les plus grandes défenses gagnait la faveur de toutes les jeunes femmes de la tribu en âge de se marier et de donner des enfants.
La dernière épreuve était la plus difficile, la plus dangereuse et la plus meurtrière. Le jeune mâle devait combattre le champion de chaque tribu qui habitait la terre Aride dans une arène qui avait été bâtie selon leur coutume. Des rondins de bois, des pieux, de la boue séchée et plein d'autres choses.
Alors que les garçons, en groupe, unissaient leurs forces pour passer les épreuves une à une, non sans dégâts et grosses blessures, un s’étant fait empalé par une défense d'Elekk, un autre piétiner par un Ombre-Cavale noir, une femme vint faire entendre sa voix :

- Moi, Xénaline ! Je veux passer les épreuves comme les garçons ! Pourquoi eux et pas nous ?!
Le chef n'était pas quelqu'un de conciliant, ni même de sociable.
- Parce que tu es une femme ! Tu dois rester dans la hutte et faire ton travail de femme !
- J'ai autant envie qu'eux de montrer que je suis aussi forte, aussi rapide et aussi puissante !
Xénaline ne se laissa pas avoir si facilement, elle était tenace ! Une guerrière !
- Tu n'as pas le droit ! Tu es faible !

La tribu se rassembla autour du chef et de la jeune fille, presque en âge de se marier. C'est ça qu'elle ne supportait pas. Elle était amoureuse d'un homme, un beau jeune homme. Mais dans leur tribu ce n'était pas elles qui choisissaient un mari, mais leurs parents. Xénaline était déterminée à prouver sa valeur pour choisir son mari qui vivait dans une tribu voisine. Ils s’étaient rencontrés alors qu'elle était partie chercher de l'eau dans l'oasis tandis que lui était en train de panser les blessures faites par un tigre dent de sabre.

- Vous interdisez aux femmes les épreuves parce que vous avez peur ! Vous avez peur qu’on réussisse ! Qu’on vous surpasse ! Qu’on soit plus fortes que vous !
Le chef était agacé par la tournure que prenait la situation, de plus en plus de femmes étaient en train de marmonner et de faire entendre qu'elles voulaient voir Xénaline réaliser les épreuves.
- Silence Femmes ! Xénaline ! Tu dis être aussi forte que les jeunes garçons ! Je te laisse nous le prouver ! Dans sept lunes se tiendra le grand combat dans l'arène ! Si tu as passé toutes les épreuves, tu combattras dans l'arène parmi mes hommes ! Mais si tu échoues, tu devras emporter la honte avec toi en quittant cette tribu !

Xénaline était aux anges. Elle venait d'obtenir ce qu'elle avait toujours voulu, prouver sa valeur de guerrière, telle qu'elle se voyait.
Il lui restait sept lunes pour y arriver, avant le prochain passage dans l'arène.
Elle était prête pour passer la première épreuve. Elle s'équipa des quatre lances, d'un sac de vivres et s'en alla avec la promesse de ramener une tête de Sabot-Fourchu au Chef. Elle n'avait dit à personne qu'elle partait avec l'homme qu'elle aimait, elle avait besoin d'un peu d'aide. Après tout ! Elle avait le droit ! Les garçons eux partaient en groupe de cinq ou de six !
Après une longue matinée de marche intensive, ils s'arrêtèrent pour casser la croûte et c'est là qu'ils la virent. La bête. Ni une, ni deux, ils laissèrent leurs affaires à côté du rocher pour prendre chacun deux lances et commencer la chasse.
La course poursuite était presque un jeu pour l'animal, mais elle épuisait les poursuivants. Une lance dans le flanc de la bête fini par l'énerver et la mettre en rogne. La guerrière se mit alors face à l'animal, la lance bien en main et... SCHLAK ! La lance enfoncée dans l'œil de la bête. Par la force de son coup, en se fit éjecter par-dessus l'animal et retomba brutalement sur le sol, se fissura deux côtes, mais elle était vivante. Elle devait maintenant retourner parmi les siens pour montrer son trophée. Son amoureux lui l'attendait près d'une oasis pour l'aider à passer la seconde épreuve dès le lendemain.
La route fut longue, mais elle arriva en vue du camp trainant la tête de la grosse bête jusque devant la tente du Grand Chef.

- J'ai passé la première épreuve ! Comme les autres ! En voilà la preuve !
Le Grand-Chef sorti de sa hutte pour observer avec attention la tête tranchée et mutilée à l'œil de l'animal. Satisfait mais contrarié qu'elle ait réussit :
- Tu as réussi la première épreuve ! Devant tous ici, je la déclare validée !

Le soir n'était que chants et festivités pour les jeunes vainqueurs de la première étape, Xénaline fut marqué par de la peinture sur le visage, un trait sur le front, signe de force.
Plus que cinq jours pour accomplir les deux autres épreuves. Elle partit se coucher de bonne heure, les côtes douloureuses, sachant que demain allait être difficile.
Le lendemain, elle rejoignit son fiancé qui l'attendait pour l'aider à passer la seconde épreuve, dompter un animal. Xénaline ne voulait pas n'importe lequel. Elle voulait l'Ombre-Cavale Noir. Le plus redoutable de tous !
Leur région désertique n'offrait pas un bon climat pour ces animaux qui préféraient les forêts denses et luxuriantes. Alors le jeune couple marcha, une journée entière et n'atteignirent cette forêt que le soir. Ils durent se mettre à l'abris tous les deux, nombreux danger rôdant au ras du sol dans cette contrée qui leur était inconnue... Ils décidèrent de s'installer dans un grand arbre et de se reposer un peu avant de commencer leur traque.
Ils grignotèrent quelque chose dès l'aube. Ils ne voulaient pas perdre de temps. Rapidement ils découvrirent une piste sur le sol, un sentier que les animaux traversaient souvent. Ils s'y avancèrent et tombèrent nez à nez avec un troupeau de ces merveilleux animaux à corne.
Ils essayèrent d'en isoler deux, un noir et un bicolore noir et blanc. Les animaux n’étaient pas contents, ils se débattaient, donnaient des coups de sabots, se ruant dans tous les sens jusqu'a être enfin séparés du groupe, les deux jeunes gens essayèrent de grimper sur eux. Même combat, les animaux ne se laissèrent pas faire... Ils essayèrent de les amadouer avec de la nourriture, des coups de bâtons, des caresses... Tout ! Ils essayèrent tout ! la corne du bicolore transperça la cuisse de Zal'eb, le compagnon de Xénaline et l'envoya rouler dans les fourrées. Ce n'est que lorsque la nuit fut bien avancée, que les animaux capitulèrent doucement, et finirent par se laisser approcher et monter. Ils firent quelques tours de pistes avec les deux belles bêtes. Ils apprirent à tourner, reculer, avancer... Le tout avec des fruits qui poussaient dans les alentours, pour mettre en confiance les Ombre-Cavales. Ils attachèrent leurs animaux à un arbre et s'y hissèrent pour passer la nuit. Zal'eb pansa sa blessure. Elle n'était pas belle à voir.
La route pour rejoindre la tribu fut moins longue à dos de cheval. Elle fit très grande impression lorsqu'elle arriva à dos d'Ombre-Cavale noir au centre de la tribu. Elle mit pieds à terre et réclama l'attention du chef.

- J'ai réussi à passer la seconde épreuve ! Admirer mon Ombre ! Admirez-le ! Je l'ai appelé Cherrval !
Le Grand Chef sortit de la tente et l'observa.
- Je suis très impressionné. La seconde étape est validée !
Ce fut une explosion de cris et de joie qui s'élevèrent parmi les femmes et un murmure d'admiration parmi les hommes, Zal'eb eu le regard brûlant de désir envers Xénaline, mais aussi fiévreux, la blessure s’était infectée. Xénaline a été marquée une seconde fois sur le visage avec de la peinture signe de persévérance.
- Grand-Chef ! Je vous demande d'aider cet homme ! Il est mon ami et me soutient dans toutes les épreuves que je passe !

Le médecin personnel de Juguarété vint soigner Zal'eb, il ne pouvait malheureusement plus aider sa compagne, mais priait les esprits de lui venir en aide et de la soutenir pour passer la troisième et avant-dernière épreuve.
C'est montée sur le dos de Cherrval que Xénaline prit le chemin vers la Plaine des Elekks. Elle était accompagnée de plusieurs garçons, qui l'invitèrent maintenant dans leur groupe, voyant que la jeune femme est aussi forte qu'eux. Il ne leur restait plus que deux jours avant le grand rassemblement.
La traque était longue, la technique hasardeuse, mais il fallait le faire. Leur coutume interdisait aux personnes de tuer les femelles avec des bébés, il fallait que la race continue de peupler les terres, pour l'équilibre de la nature. Le petit groupe se scinda en deux. Xénaline et deux garçons devaient en premier lieu séparer les femelles et les bébés du groupe, tandis que les trois autres garçons, devaient éloigner les mâles. Ce n'était pas facile. Un des hommes fut projeté contre des rochers, le crâne fendu en deux. Ils recommandèrent son âme aux esprits le soir même. Ils continuèrent de séparer le groupe en deux du mieux qu'ils le pouvaient. Il leur fallait cinq paires de défenses. Ça en faisait un de moins à tuer, c'était déjà ça.
Le combat commença, long, difficile, éprouvant pour ses jeunes gens déjà fatigués par les épreuves passées, mais ils devaient le faire. Il fallait éviter les coups de pattes, les coups de défenses, de trompes. La vigilance était à son maximum ! Les lances filaient vers leurs cibles, les transperçant, les maltraitants, les malmenant... Les épuisants ! Jusqu'a ce que l'animal rende l'âme. Quatre animaux furent tués parce qu'un second homme, qui faisait parti du groupe de Xénaline n'avait pas été assez vigilant et s'était fait piétiné par l'Elekk qui protégeait son petit.
Ils récupérèrent tous les défenses qu'ils voulaient, elles n’étaient pas si différentes les unes des autres, le mâle dominant ne s'était pas laissé faire, le jeune groupe avait décidé de s'attaquer aux plus jeunes Elekk. La tribu entière les accueillie comme il se devait. Dans la première partie de la soirée se déroula une cérémonie pour les deux jeunes hommes morts. S'en suivit une fête grandiose ! Elle fut marquée pour la troisième fois, la Puissance. Viande à foison, chants, musiques, toute la tribu dansait, chantait, s'amusait ! Xénaline avait profité du repas avec Zal'eb, avant de lui faire la petite surprise de danser pour lui. Une sorte de... Charme.
La fête dura toute la nuit. Le lendemain tout le monde se reposa encore, car tous le savaient, la grande épreuve arrivait. La tribu entière se déplaça pour cet évènement, encourageant leurs jeunes hommes au combat. Xénaline serait la seule femme. Elle doit combattre les hommes.
La septième lune passa.
C'est aujourd'hui. La grande épreuve. Les tribus se déplacent toutes vers le même endroit. Une grande carrière. La nature fait parfois bien les choses, au fils des siècles, se cratère s'est créé, les tribus y voyaient un signe des esprits pour prouver la valeur des jeunes hommes.
Des centaines et des centaines de huttes s'élèvent ici et là, au quatre coins de l'arène. Tous les valeureux combattants sont là. Les autres tribus sont choquées de voir une femme parmi le rang des combattants, mais les chefs s’étaient sont concertés et ils lui laissaient sa chance. Elle l'avait mérité. Les tribus s'installent, les combattants s'échauffent dans l'arène, ils ne sont qu'une vingtaine à tout casser. Beaucoup périssent pendant les premières épreuves.
C'est au tour de Xénaline de combattre. Elle s'avance au milieu de l'arène, bouclier au bras gauche et sabre dans la main droite, bien maintenu. Elle est concentrée sur son adversaire, qui s'avance face à elle, bouclier au bras gauche et une lance dans la main droite. Les adversaires sont face à face, ils se regardent, se jugent. Le chef prononce quelques paroles en recommandant l'âme du perdant aux esprits avant de hurler au combat !

- BATTEZ-VOUS ! Prouvez votre valeur ! Votre force ! Votre puissance ! Faites honneur à votre tribu !  

Xénaline s'élance vers Vadried, bouclier devant elle, sabre dans la main prête à en découdre. L'homme reste bien encré dans le sol, sur la roche, les muscles contractés prêt à recevoir l'attaque, mais au dernier moment il abaisse sa lance qui percute le bouclier de Xénaline et l'envoi mordre la poussière plus loin. Elle crache du sang sur le sol, s'essuie la bouche et se redresse tant bien que mal.
Elle fait de nouveau face à Vadried. Elle s'avance avec prudence, le contourne, il suit les mouvements de la jeune guerrière, il ne la lâche pas du regard. Elle attaque une seconde fois, mais elle ne refait pas la même erreur et dévie la lance de son adversaire pour se rapprocher au maximum et frappe avec son sabre visant le visage ! Il donne un coup de bouclier pour éloigner Xénaline, elle roule sur le sol et lâche son bouclier dans la chute. Elle essaie de se redresser rapidement mais il fonce déjà droit sur elle, le visage mutilé, ensanglanté. Elle ne parvient pas à dévier suffisamment la lance... Le coup l'atteint au visage, l'œil gauche est mutilé, crevé.
Elle l'éjecte avec un coup de genou bien placé dans les roubignoles. Il s'éloigne en se les tenant, penché en avant. Elle se redresse, lui faisant face et s'avance, sabre ensanglanté en main. Elle n'avait pas prévu le coup bas de son adversaire, le pensant affaiblie. Dans son mouvement de retournement, il lui ravage sa tenue de cuir au niveau du torse, le sein gauche est touché et saigne abondamment, Mais Xénaline est proche de lui, elle lutte contre les vertiges qui l'assaillent, elle arme son sabre le tenant d'une poigne forte et l'envoi en direction des parties de l'homme, les lui transperçant. Le sabre perce le cuir, traverse le membre, les parties, et ressort derrière...
Xénaline se redresse face à son adversaire qui la regarde, incrédule, un hurlement figé sur le visage, il s'éfondre à genoux, devant elle. Xénaline le fixe dans les yeux, elle ne baisse pas le regard. Vadried finit par succomber à ses blessures, il expulse son dernier souffle. La lame retenant le corps dans une inclinaison particulière. Il meurt pour de bon.
Xénaline remporte son combat, elle a prouvé sa valeur aux yeux de sa tribu ! Elle a réussit !
Sa tribu était fière d'elle. Xénaline choisit de quitter sa tribu avec son fiancé pour fonder son propre clan ou les femmes auraient les mêmes droits que les hommes. Quelques membres de son ancienne tribu la suivirent et ils fondèrent un clan ensemble. Xenaline en fut la chef et son fiancé Zal'eb son précieux conseiller. Ils vécurent très heureux ainsi.
Doubhée Beckris




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Message  Asra Mar 06 Déc 2016, 11:41

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Affaire Tholring : le gérant condamné à mort


Il y a des affaires dont on préférerait se passer en ces temps de tumultes. Pourtant, le froid glacial n'a pas empêché une petite foule de venir assister au procès de Frone Tholring ce lundi 5 décembre.

Arrivé en même temps que le public, l'accusé fût installé au fond du tribunal, encadré par deux gardes. Petite queue de cheval, longue barbe, cheveux grisonnants, l'homme garde le regard devant lui, échangeant quelques mots avec l'officier à sa droite comme pour souffler la tension avant l'audience. Finalement, le procès s'ouvre avec près de vingt minutes de retard, présidé par la chancelière Faral.

Face à Tholring, qui a choisi de se défendre seul, le procureur Thorne entame par une simple question : Comment vous définissez vous en tant qu'homme ?

Une question ambiguë. Mais peu importe la vérité ; la réponse de monsieur Tholring annonce la couleur : Courageux.

Monsieur le procureur rétorque : Un homme courageux assumerait ses actes devant pareille cour, ne pensez vous pas ? Vous vous lavez donc de presque toutes les accusations ?

Tholring répond, sans une once d'hésitation : Non, je reconnais bien volontiers certaines d'entre elles.

Sans baisser les bras, le procureur enchaîne : Curieux pour un homme qui, pendant son incarcération n'a eu que le courage de reconnaître une petite affaire de contrebande. Que reconnaissez vous ?

Tous les regards se posent sur Monsieur Tholring. Ce dernier, mesuré, insiste : Je m'incline très largement devant l'article 09 et les brimades sur mes employés.

Agacé, le procureur enfonce le clou : Voyez, l'accusé n'a eu de cesse de minimuser ses actes depuis son arrestation. Il s'est présenté de nombreuses fois en victime du système. Il prend les gens de haut.

Ne pouvant se contenir, Tholring répond : Je ne pense pas que minimiser soit réellement le mot, monsieur le magistrat. [...]

La bataille entre le défendeur et le procureur se poursuit sous les yeux d'une assistance qui se doute déjà que le procès allait durer longtemps. Puis vient, comme un coup de tonnerre, au moment où les cloches de 22 heure sonnent à travers le donjon, l'étude des faits reprochés à monsieur Tholring ;

Menaces, brimades, enlèvements... Monsieur Tholring avait une bien curieuse manière de gérer les affaires de son cabaret de la Place Blanche. A le croire, il se montrait paternaliste au point d'enfermer ses employés les plus agités au lieu de les envoyer aux mains de la garde les soirs de dispute. Alors que monsieur le procureur lui demande s'il est sérieux sur ce point, Tholring se contente de répondre : "Je pense sincèrement qu'un bleu est préférable à des jours de prison." Quelques rires dans l'assistance. Tholring insiste néanmoins sur ce point, expliquant qu'il ne peut se contenter d'autres méthodes avec ses employés venant tout droit des bas fonds. Cette affaire aurait pu en rester là. Après tout, il n'est pas rare qu'un maître en vienne aux mains avec ses employés de nos jours.
Toutefois, la suite des événements présente monsieur Tholring sous un visage plus sombre, d'aucuns diraient monstrueux.

Madame Lamedesang se lève et vient témoigner, à nu, de ce qui lui est arrivée. Pâle, droite, son oeil gauche est remplacé par une cicatrice labyrinthique. Les mots n'en sont pas moins une plaie ouverte. Concise, elle répond aux questions du procureur, ne lésinant pas sur les détails, la voix brisée. Elle livre au tribunal le récit selon lequel elle fut enlevée, battue, torturée par Monsieur Tholring, au point d'en arriver à une fausse couche. Le bourreau ne montre pas le moindre signe de repentance. Au contraire ; profitant de son statut, il est autorisé à questionner la victime et s'attaque à son honneur plutôt qu'à défendre le siens. Madame la chancelière finit par renvoyer monsieur Tholring à son banc. Après de nouveaux échanges, il apparût évident que rien de plus ne serait obtenu sur les activités de Monsieur Tholring durant ce procès.

Ainsi, le procureur en vint à son réquisitoire. Ses mots ne se firent pas plus doux à l'égard de l'homme ; Un repenti en apparence, un infâme bourreau dans le fond. Ces qualificatifs ne suffisent guère à décrire celui qui s'attaquait non seulement à ses proches, mais aussi à ceux qui approchaient ses affaires. D'autre part, il y avait chez lui un côté bestial : celui d'un tortionnaire à la violence caractérisée, capable d'enlever et de mutiler ses victimes, y compris les femmes enceintes. En somme, le procureur brossa le portrait d'un homme vaniteux, au point de manquer de discernement et d'en venir aux sévices les plus infamantes. Quand vient son tour de parler, Tholring campe sur ses positions. Il n'admet rien de plus ni de moins sur les faits qu'il a précédemment exposé, puis amène le tribunal à s'interroger sur le fait que "ses victimes" lui aient échappé. Ce retournement des rôles n'a sans doute pas ému la juge ...

Après trois heures de procès et une courte délibération ; Monsieur Tholring a été rendu coupable de toutes les accusations portées contre lui sauf celle de tentative de meurtre à l'encontre de madame Lamedesang. Condamné à la pendaison, il sera prochainement exécuté en place publique.


Asra Plumenvogue



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Message  Rislon Milloin Mer 07 Déc 2016, 18:37

La Gazette de Hurlevent


Chronique
-Justice du Roy, rien d’autre-

Dans la journée d’hier une crapule sans nom a été mise à mort au nom de la Justice Royale et pour le Bien Commun. Rien d’autre. Souvenez-vous de cette phrase.

Qu’est-ce que la Justice dans notre bon royaume de Hurlevent ? Conformément à la volonté du Roi exprimée au travers de ses représentants, la justice est rendue en son nom. Est délivrée une punition. Celle-ci est méritée, elle était prévue, donc prévisible. L’individu qui se soustrait aux règles de la loi s’inscrit au dehors de celle-ci, il brise le pacte qui permet au bonnes gens de vivre en paix. Il doit être puni pour cela. Et voilà ce qu’on doit voir : un homme est coupable, il paie le prix de sa culpabilité. Telles sont les lois fondamentales et immuables qui s’appliquèrent hier. On paie de la corde, un bourreau, le textile qu’on prévoit de lui mettre sur la tête. Pourtant, tout comme la loi est ce qui doit être, ce qui doit être vu ne l’est pas nécessairement. Certains voient alors autre chose. Et c’est cependant tout ce qu’ils voient. Ils ne voient plus la Justice, ils l’oublient, au profit d’un sentiment, guidé par ces choses que l’on nomme émotions. Ce sentiment porte un nom. C’est une vengeance ; et comme elle ne regarde qu’eux elle est privée. Une vengeance privée.

Qu’un individu soit condamné, c’est la loi du Royaume. Mais la loi du Royaume ne prévoit pas l’humiliation, qui sert toujours les intérêts des dissidents plus que l’Intérêt supérieur du royaume, d’une part, et qui ne servirait qu’à contenter d’éventuelles victimes d'autre part. Mais doit-on croire qu’un châtiment, qu’une humiliation sert réellement les victimes d’un crime ? Quand bien même l’humiliation n’est pas prévue par la Loi, certains ne manquent pas de se la représenter. De la désirer. De chercher à la provoquer. Au minimum, ils veulent la ressentir, alors ils la ressentent dans leur tête. Cela les « soulagerait ». Illusion. Artifice.

En pareil cas voilà ce qui peut être vu : un ennemi juré ? Si ce n’était que ça. On va y voir un monstre, un animal, un prédateur devenu proie. Une chose à briser, qu’on aimerait pourquoi pas insulter, écarteler, faire souffrir de ses propres mains, ou à défaut de ses propres mots. Ou à défaut d’un seul regard bien placé, au moment fatidique. Repensez à l’utilité du textile fiché sur la tête. La lâcheté des uns ou la lucidité des autres faits que la majorité de ces hypothèses d’action s’avère impossible. Alors, par dépit, plutôt que d’être dans l’action on entre en contemplation perverse, et on se délecte de ce qui est fait pour mieux se l’approprier. On se venge par procuration. On regarde faire. On apprécie la souffrance, l’humiliation, la destruction. On jouit de la mort. On ne se venge pas directement, certes. Mais on se venge, quand même.

« Respect. Ténacité. Compassion ». Voit-on là quelque mention de la vengeance ? Voit-on là quelque incitation aux représailles, ou l’évocation d’une reconstruction possible ou facilitée parce qu’effectuée à l’aide d’un tel spectacle morbide ? Vois-t-on cela quelque part dans les préceptes de la Lumière ? Toi qui te venge par le regard gourmand de tes sombres émotions, les mêmes qui d’ailleurs faisaient se mouvoir ce condamné que tu abhorres, les vois-tu dans ces trois mots sacrés ? Non. La vengeance n’engendre que plus de cendres, et les cendres n’appellent qu’à alimenter d’autres brasiers.

Stimuler la vengeance, c’est stimuler la guerre en soi. Qu’est-ce que tout cela a à voir avec la Justice ? On répare par dédommagement la victime, mais on ne punit pas pour elle. On punit pour préserver l’harmonie du Royaume.  Je me suis posé la question, encore et encore.  La vengeance : mais qu’est-ce que la vengeance a à voir avec la Justice ? Rien, sans doute. « Mais la vengeance, c’est infliger du mal en réaction à du mal, c’est le principe de la punition ! Non ? » me rétorque un jeune chevalier de la mort. Mais non. Non, car il oublie une chose qu’il faut rappeler, la distinction essentielle entre la vengeance et la Justice. L’une est personnelle, privée. L’autre est l’affaire de tous : elle harmonise un peuple, un royaume, Azeroth, pour préserver la paix et la sécurité ; elle est publique.

Ce n’est pas pour le plaisir sadique et pervers d’une population ; quel mépris envers elle ce serait ; que certaines peines sont publiques comme la pendaison. C’est parce que le principe même de la peine est d’essence publique. Lorsque vous avivez en vous le plaisir de la souffrance d’autrui, même à l’égard d’une personne coupable, surtout à l’égard d’une personne coupable, vous êtes dans la vengeance. Vos intimes et noires émotions sont le monstre qui s’éveille en vous, et il est de la même nature que ce que vous honnissez.

En l’observant être mis à mort avec joie, en acceptant en soi ce sentiment de vengeance personnelle comme s’il était légitime, on s’abaisse. Pire : en son for intérieur, on se met en dehors de la règle. Comme le criminel, on s’écarte hors de la Loi, suivant ses émotions.  On ne pense plus qu’à sa propre perception, son propre intérêt, on se fait l’esclave de ses plus bas instincts ; les mêmes qui conduisirent le condamné à ses crimes, puis sur la place publique. C’est ainsi sous l’effet des ténèbres que le mal se manifeste une dernière fois, émanation des sombres instincts de l’accusé, et vient une ultime fois se propager, tenter de germer, atteindre au plus profond d’eux-mêmes ceux qui se croient légitimes à obtenir vengeance. C’est ainsi sous l’effet des ténèbres que nous avons tous tendance à oublier une chose importante : La loi du Roy n’est pas ainsi faite pour satisfaire les désirs de vengeance privée des uns ou des autres. Elle n’est pas faite pour humilier, pour blesser, pour venger. Non car elle ne venge pas, elle rend justice, justice pour tous, pour le Royaume, et au nom du Roy. Dans la journée d’hier, une crapule sans nom a été mise à mort au nom de la Justice Royale et pour le Bien Commun. Rien d’autre. Souvenez-vous de cette phrase.

Elthël Wolfern


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Message  Asra Sam 10 Déc 2016, 14:20

La Gazette de Hurlevent



Grand-père Hiver avant l'heure !


La Gazette de Hurlevent - Édition & Brève - Page 2 Ovy30T


Les annonces ne vous auront certainement pas échappé, le grand marché du Voile d'Hiver s'est tenu sur les quais de Hurlevent en cette nuit du neuvième jour du douzième mois. Comme chaque année, artisans et colporteurs de tout le royaume sont venus nous apporter leurs spécialités et savoir faire, le tout dans une ambiance festive. En raison du succès des dernières éditions, le marché a pu proposer de nouvelles attractions toujours plus originales malgré une sécurité redoublée en raison des événements de ces derniers mois. Immersion dans cette soirée féerique du marché du Voile d'Hiver de Hurlevent :


Restauration et gastrognomie :

En arrivant au bas des escaliers, c'est l'incontournable odeur du vin chaud qui vous guide à travers les stands. D'emblée, vous savez que vous repartirez le ventre plein. La tournée gastronomique commence alors par la dégustation d'un fishburger tout droit sorti des barbecues des industries Katsou. Pénétré par le goût du graillon et le pétillement d'un kaja'cola zéro importé, vous vous laissez emporté par la foule. Bientôt, c'est le tintement des carillons qui vous attire au stand coloré des Quatre vents. De la cuisine pandarène toute droite venue des Carmines ? C'est le pari audacieux de Grayfu Poings de Pierre qui nous propose ici des nouilles cuisinées avec toute la rigueur et le raffinement de la Pandarie. Conquis, vous apprenez que l'auberge "aux Quatre Vents" de Comté du Lac propose encore plus de recettes exotiques. Cet exotisme est justement au coeur du marché du Voile d'Hiver. On regrette presque les côtes de sanglier à la bière ! Mais il est bien plus douloureux de manquer les délices d'un cocktail de la Chope Sucrée ou du Grogneur Assoiffé. Le morobito, proposé par cette dernière taverne, est non sans rappeler les Mers du Sud. Si vous tenez à découvrir la recette, l'établissement ouvre ce soir même au Quartier des Nains.


Jamais à court de lames :

De tous les secteurs représentés, celui de l'armurerie était le plus visible sur le marché. Cette année, les industries Allen et la Maison Coeur de Lion ont décidé de nous montrer leurs plus belles pièces. Une concurrence sévère, certes, mais dans laquelle chacun arrive à se démarquer par son style et sa conception du monde. En effet, nous n'en sommes plus à l'époque des vendeurs aux longs favoris expliquant quelle arme va faire les plus gros trous. L'armurerie est devenue un art à part entière, transmettant les valeurs des artisans par le biais de leurs oeuvres. L'homme au chapeau rouge des industries Allen vante immédiatement les mérites de la hache naine, faisant un éloge vibrant de son tranchant parfait et de ses ornements qui résument à eux seuls le rayonnement de la civilisation. La question de la fiabilité ne se pose pas ! Pour les industries Allen, le client est satisfait du premier coup et ne revient jamais se faire rembourser. Du côté des Coeur de Lion, Ca'aldan, la destinée des princes que nous avions déjà présenté dans nos articles, cherche toujours preneur. Si cette arme antique de Stromgarde ne répond pas à vos désirs les plus chers, les Coeur de Lion ne remettent pas en doute leur savoir faire pour vous trouver ou vous créer la perle rare.


La magie du Voile d'Hiver :

Tous les charmes du marché du Voile d'Hiver résident dans ces petits stands à l'écart qui vous proposent des activités pour le moins singulières. A l'ombre d'un paravent, éclairé par des bougies, Rovar du Clan Marteau-hardi vous propose de tenter les dieux ou le hasard au tirage des cartes. Fortune n'a pas été faite dans cette loterie, mais l'ambiance même valait bien les dix pièces d'argent ! Plus loin, ce sont les explosions, les éclats de voix et les musiques tonitruantes qui annoncent le stand des industries Katsou. Fidèles au rendez vous, les gobelins ont une fois de plus misé sur la variété pour contenter tout le monde : entre danses à la mitraillette et tours de manège, on ne sait plus où donner de la tête. Une bonne lecture fait alors du bien. Quand on s'écarte de la foule, un détour par le stand de la gazette de Hurlevent permet dans la première demi-heure d'avoir en main la dernière édition gratuitement. Exceptionnellement, vous pouvez même vous faire tirer le portrait par M.Milloin armé de son gnomographe. Mais alors que la brume du flash se dissipe, les premières explosions retentissent. Au dessus des quais, le ciel s'embrase de feux d'artifice multicolores sous les yeux fascinés d'une foule qui laisse désormais un peu de répit aux marchands. Ces derniers ne se sont d'ailleurs pas privés d'assister au spectacle.

Un marché du Voile d'Hiver décidément féerique...

Asra Plumenvogue



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Message  Rislon Milloin Ven 16 Déc 2016, 13:37

La Gazette de Hurlevent


Immersion en Mulgore: La Marche des Kodos

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Point de Rendez-vous de la Marche, au pieds des Pitons-du-tonnerre. Les gens sont venus nombreux pour y assister.  

Evènement traditionnel pour la Horde mais méconnu pour l'Alliance, la Marche des Kodos est une tradition taurène ouverte à tout ceux souhaitant honorer la mémoire des Kodos en suivant leur parcours funéraire des plaines de Mulgore au cimetière des Kodos de Désolace. La Gazette de Hurlevent vous propose de vous découvrir cette onzième édition en immersion.

Un voyage de Mulgore à Désolace
En raison de cette cérémonie, nous sommes autorisés à pénétrer à l'intérieur les plaines de Mulgore, territoire sous le contrôle de la Horde. Nous rejoignons alors le point de rendez-vous, aux pieds des Pitons-du-tonnerre, où attendent la Horde et Demiora de la Pax Legatum qui sera la traductrice de Razkan, la conteuse taurène. Dès notre arrivée, plusieurs orcs d'un des clans présents s'avancent vers Demiora et Razkan pour exprimer leur mécontentement à notre venue, énonçant les massacres dont ils furent victimes et dont l'Alliance aurait été l'auteur. Ce clan nous a ainsi fait suivre afin de s'assurer de notre "bonne volonté et tenue", comme vous pouvez le voir sur la gnomographie ci-dessous:

La Gazette de Hurlevent - Édition & Brève - Page 2 Wowscr14
De charmants gardes-fous.

Sur plus d'une soixantaine de personnes, seul six font partis de l'Alliance et pour assurer leur protection et maintenir le calme au sein de cette marche, Razkan fit appel à la ligue Séparatiste, une organisation neutre connue pour ses événements et son influence au sein de la Horde. Vint le moment où la taurène s'éclaircit la gorge sur sa butte et déclare:

" La marche est un événement tauren, mais ouvert a tous les peuples, pour faire connaitre la tradition de la marche des kodos. Je vous remercie de votre présence pour cette 11ème marche des kodos.
Il existe un conte qui était presque oublié. Elle a pour héros un jeune kodo, et Corneblanche était son nom...
"
Discours de début de la marche traduit du Tauraene par Demiora

Comme chaque année, une nouvelle légende taurene, transmise par tradition orale, commence et nous voilà partis pour une marche, rythmée par les intonations de Razkan et de sa traductrice Demiora, de plusieurs heures. Nous nous arrêtons régulièrement afin de pouvoir suivre le conte et admirer les paysages grandioses de ces régions méconnues de l'Alliance.

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Passage du col entre Désolace et Mulgore

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Les étendues de Désolaces, devenues verdoyantes depuis le passage d'Aile-de-Mort

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Demiora (humaine - traductrice) et Razkan (taurène - conteuse) au cimetière des Kodos

Une fois la marche terminée, les participants furent invités à discuter de la marche et à faire connaissance au campement du cercle cénarien aux Terres Sauvages Cénariennes, au nord-ouest du grand cimetière de Kodos. Ce fut des instants de calme et de repos après avoir marché plusieurs heures, permettant le dialogue entre les différentes factions composant la Horde et l'Alliance, sauf pour Demiora, chargée de nous traduire leurs dires. Une fin conviviale et agréable loin des querelles militaires des îles brisées et des affaires politiques des factions.

La présence de l'Alliance critiquée
Ce rassemblement n'est cependant pas au goût de tous. A l'instar de certains orcs à la marche, des organisations de la horde et de l'Alliance ont dénoncé l'initiative pacifique de cette marche, l'accusant de trahison et de complicité envers l'ennemi au vue des événements politiques et militaires de ces derniers mois aux îles brisées ainsi que la mort des chef de l'Alliance et de la Horde: Varian Wrynn et Vol'jinn.

Il faut pourtant rappeler que cette marche a toujours été pacifique, ce que ces organisations semblent avoir oublié puisque aucune dénonciation de ces dernières n'a été recensée ces dernières années, et le but du "pacifique" est de permettre à tout ceux souhaitant honorer la mémoire des kodos puissent le faire, et n'a aucune visée politique. Il faut de plus souligner que cette marche reste un événement assez méconnu au sein de l'Alliance et que les membres de notre faction s'y rendant se comptent sur les doigts des mains, ce qui écarte tout enjeux ou but politique que certaines personnes mal-informées ou mal-intentionnées veulent lui étiqueter.

Dans un tout autre domaine: celui de la culture; Intéressée par une parution du conte de "Corneblanche", Zagethia, ancienne membre du Clan de la Terre-mère dont faisait aussi partie Razkan, a contacté les Éditions Nénuphars, dont les locaux se situent à Darnassus, pour permettre sa parution écrite, même si certaines formulations durent être retravaillées en raison du passage du support oral à papier. Elle sera ainsi disponible ce Vendredi 16 Décembre 36 dans les librairies et les bibliothèques pour tout ceux souhaitant connaître davantage les contes taurènes ou/et ceux n'ayant pas pu se joindre à cette marche. 

Puisse la Terre-mère guider vos pas.

La Gazette de Hurlevent - Édition & Brève - Page 2 Wowscr20
Gnomographie de la marche en Désolace, près du cimetière des kodos

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Message  Rislon Milloin Sam 24 Déc 2016, 11:57


La Gazette de Hurlevent
Chronique


- Et si grand-père était Elune ? -

Le grand-père Hiver existe-t-il ou bien est-ce que c’est un monsieur déguisé ? Non, mais non, c’est Elune bien-sûr ! C’est là une affirmation qu’un jeune nain un poil (de barbe) moqueur me tint sur le ton de la plaisanterie. Naïf comme je suis, je ne pouvais pas faire sans mener ma petite enquête et en faire une petite chronique. Petite oui, après tout la période des congés du Voile d’Hiver, c’est aussi pour bibi.
Bien.  La question est donc posée. Cette question, elle peut paraître étrange au premier abord, obscure même. Tâchons de faire la lumière sur cette interrogation. Tout d’abord, et vous pouvez – voire même il faut - lire  ce paragraphe aux enfants, répondons à la question sans détour : non, non et NON,  le grand-père hiver n’est pas Elune. Premièrement, il n’existe aucun écrit ni même aucune transmission orale, aucune coutume qui parle d’un vieux nain barbu comme étant la déesse suprême des elfes de la nuit. Deuxièmement s’il est possible, à la limite envisageable que l’un est offert un cadeau ou deux à l’autre ; ainsi qu’ un sucre d’orge (Fumebois : achète, offre ; un cœur tu réjouiras ♫) ; ils n’ont vraiment pas les mêmes attributions et, on peut le dire, ne travaillent pas vraiment dans le même secteur d’activité non plus. La mécanique astraluminicamazono-quantique n’ayant pas grand-chose à voir avec les psychopouvoirs de l’hiver du vénérable barbu. Le grand-père hiver n’est donc pas Elune, c’est prouvé ; partant de là on peut conclure que le grand-père hiver est… le grand-père hiver.

Et pour ceux qui feraient les malins à lire en diagonale et qui n’auraient pas suivis depuis le début, cela veut nécessairement dire qu’il existe et c’est bel et bien le véritable seigneur et maître du voile d’hiver qui prendra la pose pour une photo P.R.O.F.I.L avec tous les enfants du monde qui viendront le voir à Forgefer.
Maintenant si vous n’aviez pas d’enfants avec vous, vous pouvez poursuivre la lecture à haute voix si ça vous chante, mais dans le cas contraire faites diversion avec une tranche de (délicieux) pain d’épice Fumebois car le sujet va se corser.

Le grand-père hiver est, on le sait, issu d’une tradition qui remonte à la nuit des temps et les recherches des nains sont arrivés à des hypothèses intéressantes mais encore floues concernant une descendance titanide. Certains professeurs d’archéologie affirment même qu’il s’agirait à l’origine d’Hodir, un puissant Gardien conçu par les titans encore en vie à ce jour. Des thèses s’affrontent à son sujet. Pour une partie des chercheurs Hodir serait le seul et l’unique Grand-père Hiver, et aurait au fil des siècles donné naissance à la légende du Grand-père Hiver. Cette thèse est tout à fait concevable, car on sait aujourd’hui à quel point l’alliance des ancêtres et du temps qui passe est un puissant moteur de mythification.

Certains chercheurs expliquent ainsi que cette croyance, si ancrée dans les civilisations anciennes du continent Azeroth, a littéralement tapé dans l’œil de certains patriciens gobelins restés neutres. En effet, cet évènement ancestral relevant quasiment du mythe est désormais doté d’une image qui fait vendre ;  l’impact et l’intérêt périodique inextinguible de cet état de fête folklorique ne cesse de relancer une économie de marché totalement débridée dans la joie et la bonne humeur qui a inévitablement attiré le sens des affaires des sociétés désormais célèbres des gobelins Fumebois.

On déplore pour beaucoup cette transformation consumériste d’un évènement festif aux valeurs spirituelles fortes et essentielles aux cœurs de tous dans nos sociétés civilisées gravement marquées par le retour de la Légion. Dans la communauté naine, les critiques sont vives à l’égard des gobelins que certains -pas tous- stigmatisent, souvent à tort. A côté de cela, les sombrefers soufflent un peu, les critiques vides de fondement et les préjugés faciles se reportant en cette saison sur ceux qui sont montrés du doigt comme les « profiteurs verts de l’esprit du Voile ».  Mais il faut dire aussi que les plus résistants à l’alcool, les plus stoïques, les plus pragmatiques des nains regardent leurs congénères éméchés un peu trop excessifs d’un œil amusé. Evidemment, ce sont les amusés qui constituent l’écrasante majorité, mais en une période sombre où, il n’y a pas si longtemps que cela encore, des démons semaient de sombres pensées dans l’esprit des peuples de l’Alliance, il n’est jamais mauvais de rappeler de telles évidences.
Alors, que le Grand-père Hiver tel qu’on l’imagine existe ou pas, il est une chose qui existe bel et bien certainement et qu’il est possible à tout un chacun d’expérimenter par lui-même : les valeurs qui y sont associées. Générosité, chaleur, amour pour petits et grands, jeunes et beaucoup beaucoup (beaucoup) moins jeunes. Tout cela est bien réel et pourtant, impalpable : ça ne s’entend pas, ça ne se voit pas, quoi qu’on en pense, quoi qu’on en dise.

Quant à Elune, même combat si l’on peut dire. Quoi qu’on en pense, quoi qu’on en dise, et à défaut de pouvoir l’interviewer (elle n’a pas encore de campagne marketing à son nom), nous lui souhaitons une bonne fête du Voile d’hiver, ainsi qu’à tous les lecteurs de la Gazette (et même aux autres par-dessus le marché(du Voile d’hiver et des marchandises Fumebois ♫)).

Bonnes fêtes du Voile d’hiver à tous.
Elthël Wolfern


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